La gratuité reste la gratuité, et Delcourt Planète, s’affranchissant des problèmes relatifs au passage à l’Euro continue à nous offrir de belle manière de somptueuses images tirées des parutions à venir ou déjà présentes sur les étals de votre libraire préféré. Au sommaire de ce numéro 18 la présentation de « Felix contre le nuage qui changeait tout », les aventures oniriques d’un petit garçon dont les rêves tout en couleurs et en créatures craquantes se voient un jour – ou plutôt une nuit – gâchées par l’intrusion d’un nuage noir tout droit venu du pays des cauchemars [suite de l'article]

On aurait pu imaginer que " Delcourt Planète " ne survivrait pas à " Pavillon Rouge ", le nouveau mensuel des éditions Delcourt. Difficile en effet de partager les friandises habituellement réservé au premier - interviews, croquis, études - avec le second qui lui offre l'avantage certain - pour l 'éditeur - d'être une publication payante, au contraire de son prédécesseur qui lui s'inscrit dans une optique gratuite et purement publicitaire.

Mais force est de constater qu'au terme des quatre premiers numéros de " Pavillon rouge ", " Delcourt Planète " se porte tout à fait bien, preuve d'une gestion habile et bien ordonnée de la communication chez Guy Delcourt, ce dont personne ne se plaindra, puisque la lecture de ce numéro reste riche et plaisante même si il faut bien l'avouer, certains entretiens sont moins étoffés qu'auparavant, puisqu'il convient d'en laisser la primeur aux lecteurs du " Pavillon ", ce qui est tout à fait logique [suite de l'article]

C’est le printemps, l’imagination bourgeonne et les éditions Delcourt (qui fêtent leurs quinze ans d’existence) ne sont pas en reste avec pas moins de 33 nouveautés chamarrées dont se régaleront les amateurs avides de neuvième art et d’expériences visuelles gratifiantes.

Printemps oblige, c’est le retour à la nature, à « la vraie BD vraie » sous la plume d’Etienne Davodeau (La gloire d’Albert), au service d’une histoire comme seule en dessine parfois le quotidien de nos campagnes benoîtes [suite de l'article]

15ème Planète, 15ème anniversaire pour les éditions Delcourt, et 31 pages de présentation pour 23 albums dissemblables autant que représentatifs de la belle constance de l'éditeur dans l'éclectisme.

Ses nouvelles fonctions d'héritier de la fortune Morgenstern l'obligeant sans doute à plus de civilités, Nao prend le temps de répondre à quelques questions par entretien holographique, même si son robot-nurse Cybot (dont son créateur Thierry Cailleteau se plaît à répéter qu'il est le véritable héros de la série Aquablue ) l'interrompt à volonté pour donner sa vision des finalités de la fondation écologiste Aquablue dont les premières aventures (T8 L'œil du Voivode, dessiné par Tota) viennent de paraître [suite de l'article]

L'automne arrive et les éditions Delcourt ont pris soin de ramasser à la pelle quelques feuilles des nouveaux albums maison qui nous sont présentés dans le "Planète" daté octobre-décembre 2000.

Un schéma valant parfois mieux qu'une bonne image, Fabrice Lebeault nous présente à l'aide de quelques graphiques colorés les finesses administratives de la cité d'Horologiom, indispensables à quiconque souhaiterait faire carrière dans le monde délirant et robotisé de cette série futuriste à l'inventivité graphique et scénaristique remarquable, et dont le tome 5 (Le grand rouage) paraîtra en novembre [suite de l'article]

Delcourt Planète nous propose son habituelle galerie de nouveautés vantées (entre autres !) par Mosdi, Le Tendre (qui, je vous le rappelle, développe son propos sur plus de longueur sur votre site favori), et Joann Sfar, le "kabbaliste gratteur" dont l'honnêteté du propos n'a d'égale que le talent (les deux vont en général de paire). Sans oublier la présentation kaléidoscopique de toutes vos futures séries préférées jusqu'à la prochaine mouture. Au rythme ou ça va, le catalogue 2025 de Guy Delcourt tiendra plus du bottin (voire du BDM) que du catalogue d'éditeur [suite de l'article]