L'exhaustif est son sommaire. LDC Bédégrammes ne se commente même pas, il se goûte comme un instantané admirablement documenté de l'univers du neuvième art, où la richesse se comptabilise non seulement en informations diverses (sorties, festivals, ex-libris etc etc) mais aussi en considérations plus personnelles de l'auteur qui rendent cette publication tout a fait originale et indispensable. Une couverture extrêmement soignée signée Régis Loisel tempérée par une mise en pages que certains jugeront indigeste (une suite de rubriques numérotées, hétéroclites (dans le bon sens du terme) et très peu illustrées) en font un détour obligatoire pour tout boulimique d'informations [suite de l'article]