Du soleil, du soleil,.. on veut du soleil... ! Heu, bein oui, quoi, il faut si froid en cette fin d'année 2003 !. Et pourquoi pas le trouver dans la lecture du dernier Lanfeust, tout de rose couvert ? C'est en effet l'adorable Sky Doll qui vous y accueille, et qui se met à votre service ! Outre les prépublications des très attendus Lanfeust des Etoiles, L'odyssée de Japper Jack (dont on nous promet la sortie de l'album depuis des mois), Marlysa, Akameshi, Slhoka, quelques planches N&B de Trolls de Troy (nan, nan, ils ne sont pas en retard !!!), Moréa, etc [suite de l'article]

Du soleil, du soleil,.. on veut du soleil... ! Heu, bein oui, quoi, il faut si froid en cette fin d'année 2003 !. Et pourquoi pas le trouver dans la lecture du dernier Lanfeust, tout de rose couvert. C'est en effet l'adorable Sky Doll qui vous y accueille, et qui se met à votre service ! Outre les prépublications des très attendus Lanfeust des Etoiles, L'odyssée de Japper Jack (dont on nous promet la sortie de l'album depuis des mois), Marlysa, Akameshi, Slhoka, quelques planches N&B de Trolls de Troy (nan, nan, ils ne sont pas en retard !!!), Moréa, etc [suite de l'article]

A l'heure des lignes édito parfois ampoulées, de la propension de certains à se poser en mag-sandwichs des éditeurs qui les soutiennent (non non je ne vise personne, chacun fera le tri dans ses lectures) Lanfeust Mag tire son épingle du jeu, une fois de plus, avec au sommaire rien que de plaisir, sans que l'on puisse avoir l'impression que l'équipe sert la soupe au catalogue Soleil. La recette est pourtant simple. Roborative même. Peu ou pas de rédactionnel, un ton déconne et jeune, des prépublications dont la qualité est souvent remarquable, et vous obtenez un mag populaire, décrié par les puristes, mais qui constitue actuellement, quoi qu'on en dise, le seul vrai magazine de bande dessinée, celle qu'on lit sans se poser la question de connaître la marque de pinceau du dessinateur ou la couleur des manchons du scénariste [suite de l'article]

On pourrait croire, à la lecture de ce numéro 52 de Lanfeust Mag, que la souriante publication des éditions Soleil retombe en pleine potacherie, vers cette époque pas si lointaine où l’on publiait en l’état les planches inédites, qu’elles soient à peine crayonnées, en noir et blanc ou au simple état d’ébauche dans l’esprit enfiévré des scénaristes. Rappelez-vous : en cette délicieuse époque, Lanfeust Mag tenait de la pouponnière pour grands prématurés, on y croisait des pages avec une case en moins, des personnages albinos faute d’encrage léché, bref un fabuleux bestiaire qui lui insufflait un esprit je-m’en-foutiste revendiqué ainsi qu’une périodicité parfaitement irrégulière [suite de l'article]

Lanfeust Mag, il fallait bien l’avouer un jour, est un mensuel épuisant, qui devient aussi difficile à lire que le bottin. Non qu’il soit aussi indigeste, mais le bougre a très nettement tendance à l’embonpoint ces derniers temps, avec pour cette livraison de février 112 pages de BD sans que le prix habituel ne prenne lui plusieurs tours de taille. Car il convient de le souligner, même si l’édito de ce numéro 51 ne manque pas de le faire, le Mag est de plus en plus copieux, sans pour autant céder à la facilité de gonfler le prix de vente [suite de l'article]

Quoi de mieux pour célébrer sa première communion que de se projeter vers son auto canonisation ? C’est le message que semble véhiculer cette amusant portrait d’un Lanfeust cinquantenaire, symbole ironique du joli parcours effectué mais aussi de la niaque de longévité de l’équipe de Lanfeust Mag, prête à en découdre pour quelques centaines de numéros de plus sitôt retombés les confettis de la célébration du cinquantième.

Discrètement relooké, le mag comporte bien sûr son lot de prébublications Soleil mais aussi quelques gâteries exceptionnelles, dont un savoureux roman photo qui devrait permettre à l’aficionado – ô sublime délice - de pénétrer l’intimité des auteurs du studio Gottferdom [suite de l'article]

Que voilà un édito curieusement satisfait dans un mensuel réputé pour sa tonalité badine ! Qu’on en juge plutôt : « Tous les mois de nouveaux auteurs, de nouveaux talents, de nouvelles séries… et de nouveaux lecteurs : aucun doute, dans la BD, Lanfeust Mag, c’est LA que ça se passe ! ».

Au delà de l’auto célébration parfaitement assumée de l’exercice, reconnaissons toutefois que le magazine des éditions Soleil atteint pour cette mouture datée Décembre un niveau graphique particulièrement intéressant, avec quatre nouvelles séries bien agréables à l’œil : « Les seigneurs d’ombres », par Dim D et Istin, belle production fantasyste à l’ultra réalisme informatique soigné, « Les brumes d’Asceltis » (Istin et Jarry), tout aussi irréprochable, « L’Arche » par Felix et Maillé, prépublié en deux parties et enfin « Power interim » (par Giorgi et Emeriau) ou les tribulations gaguesques d’une bande des supers héros débiles [suite de l'article]

Le nouveau Lanfeust Mag, trèèèèès Lanfeust avec le nouveau… Lanfeust, et Cixi en couverture. Mais qu’on ne s’y trompe pas, le casting évolue, et la relève est assurée, avec « Tom et Nina » (Dutto) deux sales gamins frondeurs et plutôt attachants, qui entre Kid Paddle, Titeuf et Lili et Winkler, ont l’air bien décidés se faire une place à grands coups de désintégrateur moléculaire. A suivre. Dans un tout autre style, notons également l’arrivée de Will, héros fascinant d’inutilité et chantre du ridicule dont Bianco nous narre les aventures [suite de l'article]

" Lanfeust mag est encore plus lourd que d'habitude " diront ses détracteurs. " Lanfeust Mag est encore plus lourd que d'habitude ! " s'écrieront les amateurs, comblés de recevoir " des papates de leur facteur ", selon l'expression consacrée, un magazine très charpenté, épais de 148 pages qui font la part belle à la bande dessinée. Et le moins que l'on puisse dire est que le plus " fantasyste " des titres de la presse BD jette toutes ses forces dans la bataille de ce numéro double, avec pas mal de surprises, des jeux volontairement débiles qui n'ont rien à envier à ceux du Psikopat et bien sûr beaucoup beaucoup de prépublications [suite de l'article]

Un Lanfeust Mag qui se porte bien, merci, pour un numéro 43 d’où débordent bonne humeur, aventure, fantasy et Science Fiction. On ne trouve donc rien de très étonnant au menu de ce dernier numéro, ce qu ravira les inconditionnels et consternera les autres… si ce n’est que l’édito précise que les « projets bouillonnent autour du plouc rouquin le plus niais ayant jamais vu le jour à Glinin » - un jeu vidéo en particulier – et que « Le mag lui même ne reste pas insensible à cette déferlante de nouveautés » [suite de l'article]

Allez, pas de publicité mensongère sur Lanfeust Mag, où l'on revendique clairement sa dimension légère et adolescente, avec en couverture une Morea immergée et furieusement déshabillée dont on nous précise qu'elle " se mouille "... Cet humour on l’aime ou on déteste aucun doute, mais après tout personne n'oblige ceux que le ton dérange à feuilleter le magazine des éditions Soleil !

Au contraire de la plantureuse héroïne d'Arleston et Labrosse, on ne se mouille pas du coté de la nouvelle série d'Ange qui calque un brin - et c'est sans doute très revendiqué - les ambiances toutes en magie et décontraction d'Harry Potter [suite de l'article]

Dans la famille « De Troy » je voudrais les Trolls. Même s’il est vrai que la formule est inefficace depuis que Lanfeust s’en est allé dans les étoiles, il est amusant de constater qu’une locomotive chasse l’autre pour emmener Lanfeust Mag sur les terrains accidentés de la SF et de l’Héroic Fantasy. Alors après le premier tome de Lanfeust des étoiles, voici venir le sixième opus des aventures des Trolls (« Trolls dans la brume ») menés de main de maître non pas par Diane Fossey mais bien par Scotch Arleston, Jean-Louis Mourier et Claude Guth [suite de l'article]

Grande nouvelle, Lanfeust mag, le mensuel des body buildés sauveurs d’univers se féminise, sous la menace de Killiwatch, délicieuse aventurière bardée de gros calibres. La recette est simple, évidente même : futur improbable + désert + violence + humour = Tank Girl… euh pardon Killiwatch. Bon, sans en rajouter, force est de souligner que la nouvelle héroïne d’Herenguel (Edward John Trelawnay), marginale loufoque et braqueuse, accompagnée d’un robot taillé dans le nonsense et la brutalité, emprunte dans l’ambiance quelques éléments fondateurs de la série Tank Girl qui fit les beaux jours de Gotham, ex-magazine des éditions vents d’ouest [suite de l'article]

Un Lanfeust mag copieux avec un petit goût de vacances malgré sa sortie tardive. Au programme LA prépublication de l'année : celle du nouveau Lanfeust… des étoiles pour une transition sur quatre pages tout à fait réussie (lire à ce sujet le " Pour ce que j'en pense " ci-contre). Avec un Scotch Arleston décidément très en forme qui offre aux lecteurs du magazine à parution irrégulière des éditions Soleil un jeu de plateau stratégique inspiré des " Forêts d'Opale ", " Les guerres d'Opale " dessiné par Philippe Pellet, son collaborateur habituelle sur cette série d'héroïc fantasy [suite de l'article]

Puisque le soleil est de saison, autant s’adresser à un spécialiste. Même si en l’occurrence Lanfeust Mag délaisse la chaleur estivale d’Aix-en-Provence et du Gottferdom studio pour nous entraîner dans les geôles du « Château pointu » (Dutto-Bianco-Cartier), cadre humide d’une histoire complète de cette série vaguement médiévale et carrément loufoque se déclinant habituellement en gags d’une page. L’occasion de découvrir les origines d’un personnage récurent – le prisonnier Raoul – perpétuellement persécuté par un bourreau cruel et décalé et de partir à la rencontre du Roi, du fou débile et de la princesse nymphomane [suite de l'article]

Lanfeust Mag, le journal « de tous les @# !ù$ de retards [des] §# &% de dessinateurs et coloristes ». Ce n’est pas moi qui le dit. C’est dans l’édito. La citation n’est pas retranscrite tout à fait fidèlement ( les termes exacts comportant plus de « @ » et de « # » mais également d’autres caractères improbables qu’il aurait été trop fastidieux de chercher sur mon traitement de texte) mais j’espère avoir su en conserver l’esprit. Passons.

Du retard donc, certes - ça colle si bien à l’esprit potache de l’équipe Soleil – mais un retard tout en nouveautés avec en prépublication ce mois-ci le premier épisode de « Slhoka » (Floch et Godderidge), fresque Soleil dans la tradition la plus pure : au programme, univers hostile, bestiaire imaginatif, personnages contrastés et couleurs made in Lyse, coloriste décidément de plus en plus active [suite de l'article]

Lanfeust Mag toujours sans Lanfeust célèbre dans un grand souffle d'effluves musclées le retour de " L'aventure qui pue ". " Les maléfices de la Thaumaturge " (Trolls de Troy T.5, par Arleston et Mourier) vous emmènera la tête dans les mouches plutôt que dans les étoiles, à la découverte d'un art culinaire interactif dont vous pourriez être le héros. Car ainsi va la règle de Troy, on y trouve de tout et son contraire, signature de l'imagination déjà légendaire de Scotch Arleston. C'est bien simple, même les coloristes ne suivent plus, pour preuve les dernières cases de cette première partie, aussi blanches qu'un sourire de Troll en appétit [suite de l'article]

Lanfeust Mag négocie avec brio le dangereux virage de l'après Lanfeust en nous régalant d'un lâcher de nouvelles séries dont la moindre n'est pas Zorn et Dirna , grande fresque décalée d'un univers médiéval d'où la mort s'en est allée, à jamais prisonnière d'un grand psyché magique. Concrétisation ultime des aspirations humaines les plus secrètes autant qu'élimination de notre peur la plus fondamentale ? Que nenni, car si l'âme est immortelle, le corps, lui, poursuit sa décrépitude au gré des assauts du temps [suite de l'article]

Ce mois-ci, un Lanfeust Mag " plus épais, disons, le mot, plus gras ", en une sorte de baroud d'honneur du Team Lanfeust de Troy qui tire sa révérence (provisoire ?) à l'occasion de ce numéro 28. La saga imaginée par Scotch Arleston et Didier Tarquin prend donc ici fin sur les 18 dernières pages de ce cycle, même si de nombreux bruits au sujet d'un futur " Lanfeust des étoiles " persistent de manière plus qu'insistante. Gardons le nez levé vers le ciel. L'avenir nous dira sans doute très prochainement s'il convenait d'accorder du crédit à ces rumeurs [suite de l'article]

Lanfeust mag n° 27 prend des faux airs de Zoo improbable en ponctuant ses pages de novembre de quelques rencontres avec plusieurs bébêtes pas forcément amicales.

Une sardine-Garou, par exemple, que l'on hésiterait forcément à mettre en boite au vu de son caractère manifestement féroce, aux prises avec Sir Pyle (Morvan, Munuera), notre" mythecin " de profession, soigneur de créatures magiques depuis pas moins de trente siècles. Une histoire où le non-sens est roi et les références à des mythes constitutifs de nos civilisations multiples et savoureux [suite de l'article]

Lanfeust mag n° 26 adopte un visuel très " Nouveau Détective " (présentation des séries en cliché flou sauce papparazzi et barre noire pour masquer le regard des personnages emblématiques du fameux magazine des Editions Soleil). Lanfeust Mag, dans le monde de l'édition, est une sorte de supérette de l'étrange : on y trouve de tout en peu de pages. Pour preuve la prépublication, comme d'habitude de séries diverses et variées.
Le chant d'Excalibur tome 3 (Arleston, Hübsch), nous narre la suite du cycle arthurien, où comment ce vieil alcoolique de Merlin, tiré de son sommeil en plein Moyen Age, tente de bouter la chrétienté hors d'Irlande, aidé de la jeune Gwynned, descendante de Galahad, qu'il a pris soin d'armer de la célèbre Excalibur [suite de l'article]

Lanfeust Mag se place sous le signe de la famille et des amitiés. Les gars et les filles de la Purgatory se tombent dans les bras au cours d’inattendues retrouvailles concoctées par Bajram dans UW1 volume 3. Lanfeust et sa raie au milieu oscillent entre peines de cœur et membres arrachés. Syr Pyle, qui ne respecte rien, pas même l'amitié innocente des jeunes garçons, fait du touche pipi au Manneken pis. Jerry Mail envoie aux urgences son comptant de gredins (il faut dire que son petit frère Georges y travaille) [suite de l'article]