Alors que le film Michel Vaillant sort ce 19 novembre au cinéma, les amoureux du célèbre coureur automobile vont faire des petits bonds de joie à la découverte de ce hors-série "Option-Auto" entièrement consacré à Michel Vaillant, la BD et la sortie du film.

D'un édito d'Alain Prost - qui confie qu'il a découvert le sport automobile grâce au héros de BD-, ainsi que d'autres témoignages de pilotes automobiles tels que Jacky Ickx ou Jean Alesi, Jacques Lafitte, Thierry Boutsen et bien d'autres encore, de la viste du studio Graton en passant par les coulisses du film, le montage de l'accident spectaculaire des 24h du Mans, le bonheur de Jean Graton de voir son personnage de papier prendre vie sur grand écran, à l'interview de Sagamore Stévenin qui incarne le personnage de Michel Vaillant dans le film, et bien d'autres choses encore, rien ne manque dans ce numéro exceptionnel [suite de l'article]

Heavens, un moustique a piqué le professeur Mortimer !

Pour célébrer à sa manière le centenaire d'Edgar P. Jacobs, Télémoustique nous propose une édition bien particulière. L'entièreté de l'hebdomadaire est en effet dédié aux héros de Blake et Mortimer. Actualité, dessins de Kroll et Dubus, programmes télévisés, potins, chaque article est aggrémenté par des illustrations choisies avec soin dans les différents albums de nos héros, ou inspiré de leurs aventures. Sur le sujet même, nous pouvons y retrouver plusieurs interviews bien intéressantes [suite de l'article]

Salmigondis : nm (1627) Ragoût fait de restes de viandes. Ah bon. Mais mon dictionnaire de me préciser immédiatement qu’il existe une seconde utilisation du terme – Assemblage disparate et incohérent - qui correspond tout de même mieux à cette curieuse publication dont tout l’art est de naviguer gaiement entre bande dessinée et littérature, sans privilégier aucune autre thématique que celle du bon goût.

Evidemment, quelques illustrations, quelques textes aussi, volent parfois un peu trop haut dans l’esthétisme et le suggéré, avec une nette propension parfois au style ampoulé voire satisfait [suite de l'article]

Comme chacun sait – lire les fréquentes interventions sur le Forum à ce sujet - Télérama entretient de curieux rapports haine-amour avec le neuvième art. Car si l’hebdo culturel accueille traditionnellement durant l’été quelques valeurs sûres de la bande dessinée, comme Blake et Mortimer en 2001 - ce que certains lecteurs leur avaient curieusement reprochés au vu de la dimension (je cite de mémoire) « machiste et colonialiste » des deux héros – la plupart des journalistes-maisons ne se gênent généralement pas pour qualifier de personnages ou d’intrigue de BD les composantes de long-métrages qui n’ont pas eu l’heur de plaire à la rédaction [suite de l'article]

A l’approche du festival d’Angoulême, la plupart des magazines se fendront de leur dossier spécial BD, et c’est Beaux-Arts qui le premier s’y colle avec sa « Une » plutôt ironique, comme si la bande dessinée se cantonnait toujours aux « p’tits Mickeys » de l’expression consacrée, ironie d’ailleurs bien vite démentie au profit d’une série d’article rares, parfois intéressants qui sortent, il faut bien l’avouer, des réflexions habituelles et microcosmiques du milieu bédéphile.

Au sommaire, donc, de ce dossier sobrement intitulé « Art et Bd : une case en plus », un long article signé Pierre Sterckx et Vincent Bernière, à l’éclairage très particulier puisqu’il jette des ponts tour à tour inspirés ou obscurs entre les mondes du neuvième et de l’autre, celui qu’on a coutume d’écrire avec un grand « A » [suite de l'article]