Après quelques petits flottements dans la ligne éditoriale, Vécu privilégie à nouveau, pour notre plus grand plaisir, ce qui a jusqu’ici justifié tout le bien que l’on pense de la nouvelle formule du magazine des éditions Glénat, à savoir une série phare éclairée à la lumière de l’Histoire avec un grand « H ». On touche d’ailleurs ici précisément à la difficulté de l’exercice. Pas évident en effet de trouver pour chaque numéro une bande dessinée assez attractive et cohérente dans sa réalisation pour que l’on puisse l’opposer à des historiens chevronnés comme à des événements historiques avérés [suite de l'article]

On pourrait croire à quelque belle résolution de bonne année devant l’ardeur affichée de nos quotidiens, hebdomadaires et autres mensuels à afficher leur goût du neuvième art… si ce n’est que passé le festival d’Angoulême, nos chers albums retomberont dans l’oubli méprisant, ce que se prend à regretter Didier Convard dans l’édito de cette livraison numéro 34 de Vécu, publication intelligente qui n’oublie pas que le bande dessinée, « que l’on effeuille, gourmand, hors saison […] vit très bien en février et tous les autres mois de l’année » [suite de l'article]

Alors que « Pavillon rouge » réchauffe avec inspiration la vieille soupe du magazine inféodé à un éditeur, avec ce que cela comporte de bonus et d’inédits maison, « Vécu », sorte d’ancêtre historique en la matière, s’en démarque résolument par sa nouvelle ligne éditoriale. Bien sûr, entre « Sambre », « Neige », « Le roman de Malemort », « l’Epouvantail pointeur » et les « Morin-Lourdel », l’essentiel des nouveautés Glénat est ici disséquée, avec interviews et croquis préparatoires habituels, mais la réorientation du titre vers une véritable assise historique constitue, rien à faire, une superbe trouvaille conceptuelle [suite de l'article]

Du neuf dans la presse BD, avec cette refonte complète de " Vécu ". A la barre du magazine, qui pour l'occasion devient bimestriel, on retrouve Didier Convard, déjà en charge de nombreux scénarios mais aussi de la collection " Loge noire ", et dont l'importance dans le groupe Glénat se voit ici confortée. Concrètement l'équipe n'a gardé que le meilleur pour se débarrasser du superflu, avec quelques initiatives très intéressantes, et qui justifient pleinement cette fois la fameuse devise " L'histoire c'est aussi l'aventure" [suite de l'article]

Un Vécu sombre et gothique à souhait puisqu’il s’ouvre sur une large tribune offerte à Kergan le vampire, le « Prince de la nuit » (5 tomes parus chez Glénat) par la bouche de son créateur Yves Swolfs (Dampierre, Durango). Très étonnante interview où l’on apprend que l’auteur a pour ambition de mener par-delà les aventures de l’immortel Kergan persécutant au fil des générations la famille Rougemond une réflexion sur la marche du monde. Ce sixième et dernier tome ne prend donc pas place pour rien dans les années 30, en Allemagne, théâtre de l’émergence du nazisme [suite de l'article]

La lecture de ce numéro 27 du magazine Vécu constitue plus que jamais une incitation au voyage immobile. Mais quel dommage de toujours s’arrêter à la première porte d’embarquement. Que voulez-vous c’est la règle du jeu : le magazine des éditions Glénat est une redoutable brochure d’agence de voyages. Les interviews riches et confortables, les esquisses rares et variées vous donnent des envies de destinations dessinées. Et ajoutent finalement à la déception de ne jamais lire plus de 6 ou 7 pages des séries présentées [suite de l'article]

Au programme de ce numéro 26 du magazine des éditions Glénat : histoire, aventure et spiritualité, où comment prouver avec éclat que l’on peut concilier rigueur des faits et fiction bien ordonnée, que l’on peut conjuguer la puissance d’évocation du passé à la magie contemporaine d’un dessin enbullé pour le rendre abordable.

Franc-maçonnerie, Vatican et… succès constituent les trois sommets d’un triangle qui n’est plus vraiment secret à force d’être apprécié tant par les Loges que par le Clergé et le public qui a très largement répondu présent à ce grand projet de réécriture de la mort du Christ (deux rééditions en neufs mois pour le premier tome du « Triangle secret ») [suite de l'article]

" L'histoire, c'est aussi l'aventure ". Jamais maxime n'aura sonné aussi juste que celle du magazine des éditions Glénat, dont les présentations d'albums complétées d'interviews réputées font le renom de cette publication toujours riche d'ambiances historiques et de destins fabuleux.

Ce premier numéro de l'année vous conviera d'abord à une promenade sur " Les chemins croche ", le tome 13 des " Pionniers du nouveau monde ", saga humaine et réaliste dont le seul héros récurrent reste avant tout l'Amérique, terre d'aventures et d'espoirs [suite de l'article]

Il y a bien longtemps Dieu apparut à Julius de Samarie pour lui confier un coffre qu'il devait soustraire au regard des hommes sans chercher à percer le secret de son contenu. Julius se dirigea vers le lieu le plus secret de la terre. Mais à l'heure de dissimuler le coffre, l'élu ne put s'empêcher d'en soulever le couvercle alors Dieu l'engloutit dans les entrailles de la terre.
Août 1307. Tous les moines de l'abbaye de Veynes ont été massacrés après avoir découvert une crypte renfermant un mystérieux reliquaire [suite de l'article]

Vécu se place sous le signe des éléments déchaînés. De l'air avec Marc Bourgne et le nouveau héros Bulle Noire, Frank Lincoln, détective privé en Alaska. De la neige avec Christian Gine qui nous balance les clés d'une saga par trousseaux, et la suite des aventures de Neige. De la pluie sur Chevalier Walder, l'homme au corbeau, sous la plume de Jeanine Rahir. De la lumière pour éclairer les Ombres de Jean Dufaux et Lucien Rollin, vous savez, cette série où "il n'y a pas vraiment de suspens, ni d'action, et [où] pourtant les personnages se déplacent dans une aventure" dixit son coloriste Jean-Jacques Chagnaud [suite de l'article]