Au sommaire du Psikopat, quelques belles brouettes d'humour vitriolé, avec comme d'habitude, et dans le respect d'une formule éprouvée, un dossier thématique, ce mois-ci " Les bébés ", complété par foultitude de dessins rageurs nimbés parfois d'une mauvaise foi et d'une cruauté gratuite et revendiquée. Avec bien sûr tous les auteurs maison, Rifo, Pixel Vengeur, Relom, Mathieusap' - pour une hilarante aventure de Supermurgeman contre Oui-Oui - et bien sûr Carali, l'âme du magazine, éditorialiste chevronné, qui poursuit son autobiographie dessinée au gré d'épisodes cruels, tendres ou désabusés.

Le Psikopat, on le sait, c'est une grande famille. On ne concocte pas le mensuel dans une tour d'argent, et les problèmes s'y règlent sans doute à coups d'engueulades plus qu'à renfort de notes de services, ce qui n'est pas pour rien dans le succès du titre, qui jouit d'une image disons plus accessible que Fluide Glacial, parfois gêné aux entournures par son statut de vénérable de la presse d'humour. Intégrer cette famille vous en rêviez ? Eh bien le Psikopat relance le système des correspondants. Etre correspondant ? C'est recevoir périodiquement des affichettes à coller partout, créer des initiatives locales autour du mag, avoir une carte personnalisée… et bien sûr profiter d'un abonnement gratuit au Psikopat. Cette formule, déjà en vigueur voilà une dizaine d'années, abandonnée depuis on ne sait pourquoi, constitue une initiative plutôt sympa… et très efficace, puisqu'il s'agit d'une campagne publicitaire organisée à moindre frais. Mais pas de mauvais esprit. Au dire de quelques correspondants croisés de ci de là cette collaboration se fait dans les meilleures conditions. Et Carali répond à toutes les sollicitations, toutes les demandes avec humour et efficacité, par le biais de petits courriers illustrés vraiment marrants. Et rien que pour ça, si l'expérience vous séduit, surtout n'hésitez pas !