301. Lices - 20/09/05 22:53 - (en réponse à : Ah mais toi alors !)

Tu mollis pas, dis-donc. Tu te disperses, tu es tout fou, tu ratiocines dans tous les sens. Tu me fais peur. Tu n'as pas d'amis ? Je ne suis pas Fabrice Néaud. Non non. Tranxène, quelqu'un ?

300. Lacon de Témor - 20/09/05 22:49

yatta ... gueule ! ;-)

299. Vieto - 20/09/05 22:48

Transgénique, ta mère ;-)

298. nemOrtel - 20/09/05 22:45 - (en réponse à : Lices)

Retire cette moustache, on t'a reconnu Fabrice Neaud!

297. Lices - 20/09/05 22:30 - (en réponse à : Comme tu y vas...)

Allons allons... (merde... je... je le... modère ?!) Lexomil quelqu'un ?

296. nemOrtel - 20/09/05 22:23

Larcenet, je vais t'arracher ta tête de transgénique!

295. Lices - 20/09/05 22:09 - (en réponse à : José ? c'est toi ?)

Tu es moustache ?

294. nemOrtel - 20/09/05 22:04

Non mais là je suis révolte, je suis colère, je suis José Bové!

293. Lices - 20/09/05 21:52 - (en réponse à : 00:52 !)

Toi aussi, tu es sensibilité ?

292. nemOrtel - 20/09/05 00:52

quoi ! il faut douiller un tirage de tête pour comprendre l'histoire !

291. Lices - 19/09/05 23:11 - (en réponse à : Je t'explique...)

Un tirage de tête de Ex-abrupto a paru (on dit A paru, pas EST paru). Y a 36 pages en plus que dans l'édition normale. Qui permettent de comprendre mieux heu... l'histoire. Donc un malotru a dit : "quoi ! il faut douiller un tirage de tête pour comprendre l'histoire !". Larcenet est arrivé, il est reparti. Larcenet est lurkage, Larcenet est colère. Il est aussi sensibilité. Les modérateurs ont supprimé toutes traces de son passage, parce que c'est pas bdp, nom de dieu ! On ramasse derrière chez ces gens ! Et ils effacent la mémoire des gens qui ont VU le message de... argh ! non ! je... pas moi ! je veux me souvenir de !!! ARRRHH ! ... - Tiens un album de Larcenet, ça a l'air sympa, ça ressemble à rien de connu.

290. scarlet - 19/09/05 22:47

du truc

289. scarlet - 19/09/05 22:43 - (en réponse à : the red telephone)

C où ? g pas trouvé dans le machin ?

288. Lices - 19/09/05 21:47 - (en réponse à : A house is not a motel)

Il lui reste quoi ? le forum du site non-officiel de lui-même ?

287. Arnaud3895 - 19/09/05 21:36

Vous voulez dire que Larcenet aurait réagi violemment face à une critique de son album ?... Non... c'est pourtant pas dans ses habitudes...

286. herve - 19/09/05 21:25 - (en réponse à : lices)

oui j'ai vu ça mais c'était juste pour dire qu'il se cassait de là...

285. scarlet - 19/09/05 21:19

Vous voulez dire que " Larcenet est éternellement merveilleux", c'était... sérieux ?

284. Lices - 19/09/05 20:03 - (en réponse à : c'est même pas de not' faute)

Larcenet sévit sur bdgest. Demain le monde !

283. ratafiole - 19/09/05 12:19

je ne sais pas de quoi tu parles.

282. iarl - 18/09/05 22:28

Faites-vous un sujet "Larcenet c'est mal" alors.

281. scarlet - 18/09/05 22:16

Faut pas tout lire non plus. Quand ça te gonfle, tu arrêtes.

280. iarl - 18/09/05 21:58

J'aime l'oeuvre de Manu Larcenet telle qu'elle est (même si je n'ai pas tout lu de lui), et ça me convient. Si vous voulez voir à quoi ressemble un vrai plagiaire sans vergogne, allez faire un tour du côté de Mark Maggiori, leader du groupe Pleymo et illustrateur/animateur/moine copiste. Ça, c'est du vol qualifié. Manu Larcenet est peut-être une "éponge" point de vue style, il n'empêche qu'il a des idées et qu'elles sont bien à lui, et un coup de patte qui se reconnaît facilement. Il a ses périodes graphiques, c'est indéniable, mais les rares fois où ses idées ressemblaient à celles d'un autre sont assimilables à des réminiscences, et ça, c'est arrivé même au grand Franquin. Pas de quoi fouetter un chat, vraiment. Pas étonnant qu'après ce genre de sujet à rallonge, il n'ait pas envie de se remontrer en public. Répétez vos mantras dans vos temples dédiés à l'anti-Larcenisme si ça vous chante, en tout cas, ça gonfle méchamment ceux qui comme moi ne voient pas malice à ce qu'un auteur soit partiellement influencé par d'autres auteurs qu'il admire.

279. scarlet - 17/09/05 13:28

bonjour tu vas bien ?

278. nemOrtel - 17/09/05 01:34

Euh, mes p'tits potes! Et merde...

277. nemOrtel - 17/09/05 01:33

Au fait mes petits coeurs, j'ai compris pourquoi une telle virulence contre mon coup de gueule sur Beineix. C'est sùrement aussi ce qui me vaut toute cette agressivité testotéronée de notre Ratafiole tout violet de rage. En fait c'est un malentendu, vous m'avez mal lu, ou je me suis pas bien exprimé p-e. Je ne critiquais pas le contenu propre (enfin propre...) des bouquins, mais bien l'exploitation marketing et putassière qui en était faite. Finalement vous reprochez à Larcenet ce que je reproche à Beigbeder. Sans comparaison aucune. Allez bisous mes p'tites putes.

276. Lices - 17/09/05 00:17 - (en réponse à : Scarlet)

oué. je croyais être ton... enfin qu'on se... je veux dire... tu es réellement célèbre ?

275. scarlet - 17/09/05 00:13

Et tu savais pas que mon fils avait mangé avec un des dessinateurs de pandora box, haha, et ouai c'est comme ça la jet set.

274. Lices - 17/09/05 00:08 - (en réponse à : Scarlet)

Ah tu peux pas t'empêcher de détruire totu c'qu'est beau toi ! Mais c'est pas vrai ça ! fffFFFRRREEEEEEEDDDDDdddd bBBBBOOOOOOTTTTtttt reviens ! il recommence. C'est rapport à l'auto-flagellation ? Pourquoi il faut que tu détruises totu ? hein ? pourquoi totu détruire ? totu le temps... En fait Fred Boot me manque. Je pense à lui à totu les instants.

273. scarlet - 16/09/05 22:37

Le saviez-vous ? Jim Morrison a eu un fils et en plus il a sorti des disques avec le fils de Robbie Krieger ! ( cherchez Cliff Morrison )

272. bert74 - 15/09/05 13:36

... ou l'art de l'auto-flagellation... :0)

271. artur - 15/09/05 12:50 - (en réponse à : pour trancher avec totu vos messages trop longs)

au style pseudo-littéraire-méga-chiant-conventionnels je tiens a emmerder sans distinction ni de race ni de couleur de peau ou de propos tout les gens bon mauvais petits grands ou poilus qui s' expriment sur ce forum inintéressant. et oui je fais des fautes d' orthographes en plus .

270. Baruch - 13/09/05 19:15

Il est des livres dans lesquels on ne sait pas très bien comment entrer, on ne sait pas très bien comment se situer ni comment avancer, encore moins comment suivre le chemin, et qui, pourtant, lorsqu'on parvient à en sortir, nous laisse cette impression étrange d'avoir apprécié, sans que l'on sache trop pourquoi. C'est le cas d'Ex Abrupto, de Manu Larcenet. L’histoire est celle de ce cochon partagé entre trois mondes, celui de son intérieur ménager où repose un corps en souffrance dont il ne sait que faire et qui le terrorise, celui de l’art dans lequel il vit avec une joie évidente et dans lequel il s’épanouit, surtout lorsqu’il est reconnu, et celui d’une ville laborieuse aux hautes cheminées noires identiques jusqu’à leur fumée. Et de ces trois mondes, il en est au moins deux dont on ne peut ressortir que sali et meurtri. Et cette sortie s’apparente toujours plus à une évasion qu’à une libération. Du premier monde que l’on découvre on sait que c’est un cosmos tout en angoisse, dans lequel on ne pénètre qu’à reculons et auquel on n’échappe pas vraiment, sauf à le détruire. Ce monde est d’ailleurs double, telle la caverne platonicienne : il y a ce que l’on voit ou devine, la souffrance, la douleur, l’impossible communication, la solitude face à l’autre, et ce que l’on ne voit pas et que l’on ne peut découvrir qu’au travers du rêve, le mal qui ronge, qui détruit les membres et empêche d’avancer, un mal incidieux qui, tout d’abord minuscule prend une place de plus en plus considérable, tant et si bien qu’on ne peut plus le détruire soi-même, et qu’il faut une aide extérieure qui l’enveloppe et le fasse disparaître. De ce monde, d’ailleurs, on ne peut commencer à en sortir qu’en s’évadant, il n’y a pas de remise de peine ou de libération. La sortie ne peut se faire que de soi-même et par soi-même. On découvre alors un deuxième monde qui est lui-même libérateur. Monde lumineux, vivant, tout en contraste, aux larges perspectives où se déploient de multiples possibilités et où l’art peut donner sa pleine mesure. C’est aussi le lieu de la rencontre, de l’échange, du partage, de l’amitié, mais aussi du jugement, de la reconnaissance ou du renoncement. Car c’est le lieu de l’exposition. Celui où l’on met sa personnalité, au travers d’un média, en avant. Il se fait que certains aiment, d’autres n’aiment pas. Et lorsqu’on sort du premier monde, il y a toujours cette angoisse d’y replonger. Alors l’amour et la reconnaissance sont nécessaires – et donc à double tranchant. C’est aussi un monde assez mystérieux, où les personnages ne se dévoilent pas au premier abord et peuvent rester dans l’ombre un moment, avant d’apparaître au brusque détour d’un réveil, comme ce robot à la grande timidité qui se découvre une fibre artistique véritable. Enfin ce troisième monde, technique, cosmopolite mais sombre, impersonnel, contraignant, immuable, qu’on ne peut contourner, réduisant les personnes à leur seule fonction sociale, où seules les règles comptent et ne doivent pas être dépassées sous risque de sanctions violentes et définitives. Ici toute possibilité de déviation est subversive, seul compte le rendement et la production. Dévier ne serait-ce qu’un peu, c’est déjà ne plus lui appartenir et donc être voué à la destruction. Se révolter contre les règles et leur application, c’est aussi se retrouver condamné à l’exclusion. Il est même impensable de vouloir le modifier, de lui vouloir lui donner d’autres couleurs ou d’autres formes, sous peine des mêmes sanctions. Et pourtant, c’est un monde dans lequel on est aussi reconnu, dans lequel il faut trouver sa place, sous peine d’être, une fois de plus, confronté à la solitude et donc à l’angoisse. De celui-ci aussi on ne peut sortir que par soi-même. Et si ces trois mondes se croisent, s’il faut sans cesse les traverser, jamais ils ne se chevauchent, jamais ils en se retrouvent. Sans être tout à fait hermétiques, puisqu’il est possible d’apporter dans l’un ce que l’on a trouvé dans un autre, ceux-ci sont si hétérogènes, qu’il est impossible de vivre dans la conjonction de leur nature. Il faut donc en choisir un et ce choix ne peut se faire que dans le déchirement et l’abandon, et donc dans la violence. Déchirement de soi et abandon de soi qui procède de la violence de l’autre et celle faite à soi-même. Mais pour mieux se trouver. Sans doute peut-on dire donc que c’est dans la réunion de ces trois mondes que se construit celui de Manu Larcenet, monde qu’il nous donne à visiter, sans concessions, un peu comme il vient. Plus proche de l’essai que de la bande dessinée à proprement parler, servi par un trait nerveux, Ex Abrupto est son ouvrage le plus personnel. Si dans les précédents chez le même éditeur il nous livrait des bouts de vie parfois difficiles, celui-ci nous propose, comme dans une confidence intime de nous livrer ce qu’il y a peut-être de plus profond chez lui. S’il dérange, c’est peut-être alors parce qu’il est parfois presque à la limite de l’impudeur ou de l’indécence. Mais si on l’apprécie, c’est aussi parce qu’il fait partie de ces livres auxquels le lecteur, parce qu’il faut y effectuer une plongée nécessaire, apporte tout autant à la construction que l’auteur.

269. bib - 11/09/05 23:37

Vous montez tous sur vos grands chevaux, et pour l'un d'entre vous c'est Scarlet au haras. Je pouffe puisque c'est de rigueur

268. Fred Boot - 11/09/05 23:28 - (en réponse à : Lices)

C'est vrai, je n'ai pas pris soin de relire. Mais votre réponse étant à la hauteur de ma bourde, je vous souhaite bonne continuation dans votre "éclate" forumique. Plus grand chose à vous dire, vous êtes décidement un minable total. :)

267. Lices - 11/09/05 23:23 - (en réponse à : Fred Boot)

L'intertextualité de Lacan ! Vous ne vous relûtes point avant de poster votre électronique missive ? Quel est donc ce concept ? Je pouffe.

266. Fred Boot - 11/09/05 23:20 - (en réponse à : scarlet)

Ecoutez, vous n'avez pas été le dernier à faire la morale ici. Mon ton pseudo-professoral était certainement moins dédaigneux que le votre à maintes égards. Peut-être qu'il devient rare de garder une certaine distance sur les forums. Je suis ouvert au débat, j'aime apprendre des choses en lurkant (l'intertextualité de Lacan transposé à la problématique de l'inspiration en art, a priori, me botte plus que le mini-lynchage d'un auteur, et un type qui cite Mac Luhan ne peut pas être profondement mauvais). Je ne souhaite de toute façon pas me poser en défenseur de M. Larcenet, il n'en a pas besoin. Mon positionnement concernant les questions d'influences et de création se font, pour ma part, au travers de la production de graphisme, d'objets numériques et autant que possible du dessin. Cette approche très empirique me rend d'autant plus curieux des points de vue plus théoriques quand ils ne tournent pas au pugilat. Voilà, c'est tout. Bonsoir.

265. scarlet - 11/09/05 22:44

"Mais seulement quand vous assumerez le fait de vous être completement grillé avec vos rôles de trolleurs qui ne respectent à peu près aucun interlocuteur." Ah! Ce ton professorale qui vous caractérise depuis le début. Pourtant votre argumentaire a été plutot pauvre sur le sujet par rapport au nombre de post qui ont suivis juste pour nous heu...gronder. Et le deal que vous nous proposez vous dédouane opportunément de tout réel débat sur le sujet puisqu'il vous pause d'emblée en sermonneur. On ne va quand même pas assumer des roles que vous distribuez selon qu'on vous prend au sérieux ou non. ( les intimidations physiques, voila quelquechose de véritablement...grillant )

264. Fred Boot - 11/09/05 20:58 - (en réponse à : scarlet)

Pas de bile de mon côté, c'est vous deux qui vous êtes comportés comme des hystériques depuis le début de nos échanges. Difficile de fait de croire en votre bonne foi, même si vous avez certainement de bons arguments. Désolé de rappeler continuellement qu'on n'a pas gardé les cochons de Winshluss ensemble, puisque la formule semble consacrée. Ha ha. Le poids des mots pour moi a autant d'importance sur un forum qu'ailleurs: si quelqu'un en face de moi me parlait avec le ton de Lices, ou avec le votre, je le bâffrais. Qui ici n'en ferait pas autant ? Mais comme vous le voyez, j'ai poussé la cordialité jusqu'à lui proposer d'autres solutions: texte argumenté sur un espace perso notamment. Je suis prêt à croire en la bonne foi de vos arguments, et le petit exemple lacanien m'interesse parce qu'il pousse le débat plus loin que de comparer des groins. Mais seulement quand vous assumerez le fait de vous être completement grillé avec vos rôles de trolleurs qui ne respectent à peu près aucun interlocuteur.

263. scarlet - 11/09/05 19:28

Mais sur un forum, ça vous inquiète tant que ça qu'on puisse avoir du répondant ?????? On s'est fait traiter de tous les noms et maintenant l'autre qui veux en venir aux mains s'il nous croise ! Je pense à l'autre gamin qui lui n'a pas les memes bagages et n'a pu sortir que de pauvres insultes pour se defendre contre une bande de vieux greffiers dont les arguments foireux masquaient mal la petite jouissance du pouvoir de mise à mort. Vous avez essayé tous les angles d'attaques et nos arguments sont restés les mêmes. Foin des insultes, des menaces physiques, notre raisonnement tient bon. Et Fred Boot se noiera dans sa bile avant qu'on le prenne au pied de la lettre. Se casserais t il les petits doigts qu'il reviendrait à la charge nous la rejouer garant des bonnes manières, le majeur tendu. Pas trop de temps à perdre avec ces conneries.

262. fantom-ass - 11/09/05 16:11 - (en réponse à : torpedo31200)

Ne t'excuse pas pour le hors sujet, c'est précisement le sujet du forum. Non c'est pas paulie. Big bisous

261. torpedo31200 - 11/09/05 16:07 - (en réponse à : fantom-ass)

Cette grammaire si particulière me rappelle quelqu' un... Paulie ? (Désolé pour le hors-sujet)

260. fantom-ass - 11/09/05 16:03

de toute facon, Blutch et Goosens aussi sont des copieurs, utiliser de l'encre sur du papier pour en faire des dessins y'en a d'autres qu'ont eu l'idée avant Dieu est amour avec du poil autour. je vous aime. KISS KISS KISS KISS KISS KISS KISS KISS KISS KISS KISS KISS

259. torpedo31200 - 11/09/05 15:51 - (en réponse à : Lices)

"Ni moi, ni Scarlet ne connaissons personnellement un auteur de bande-dessinée. C'est décevant, hein ?" Ben moi, ça aurait tendance à me rassurrer...

258. Fred Boot - 11/09/05 15:39

Pas de menaces, juste des promesses.

257. Michaël - 11/09/05 15:35

Mon post s'est croisé avec celui de Fred Boot. Je suis donc assez d'accord avec lui, les insultes et les menaces en moins.

256. Michaël - 11/09/05 15:33 - (en réponse à : Lices)

"La question de ses "influences" est centrale dans son oeuvre. Il n'est pas une case de ses bandes-dessinées qui ne renvoie aux travaux de Goossens, Blutch, Trondheim, vous savez qui aujourd'hui." "Mais moi, en tant que lecteur, avec mon petit bagage, je remarque que sur la forme elle me rappelle un peu trop "vitesse moderne" de Blutch (couleurs, cases silencieuses de paysages ou portraits avec voix-off)" "Vous me trouvez UN autre auteur qui après avoir "fait du" Goossens a suivi TOUTES les phases de l'évolution Blutchienne, qui a recopié (je dit bien recopié) Trondheim puis Winshluss ? Un seul." "Comment on peut "inconsciemment" refaire le même flic que dans "Pat Boon" dans "Ex abrupto" ? Juste cet exemple là, ça a été regardé de trop près ? C'est impressionnant cet appropriation de la méthode de travail d'un autre. Inconsciemment." ........... Ok. Mais là ce qu'il faudrait c'est du concret. Le meilleur moyen de donner crédit à tes propos, ce serait par exemple de nous montrer le flic d'"Ex-Abrupto" et celui de "Pat Boon". Ou mieux encore, de mettre en parallèle une planche du "Combat ordinaire" et une planche de "Vitesse Moderne". Avec un matériau, quelques solides techniciens (Saint Ratafiole amène-toi) on pourra peut-être enfin analyser posément les choses et constater ou non que plus qu'influence, il y a plagiat. Ca me paraît une solution viable.

255. Fred Boot - 11/09/05 15:09 - (en réponse à : Lices)

Le fait de me parler de Lacan ou de citer Mac Luhan ne changeront pas mon point de vue sur votre attitude et sur ce que je vous ferais en retour de votre propos et votre ton insultant à mon égard si nous avons le loisir de nous rencontrer un jour. Nonobstant, pourquoi ne prenez-vous pas toute cette belle énergie de lecteur, toute cette exigeance que vous évoquez, pour mettre en ligne une critique argumentée sur votre site ou un espace privé que vous dédierez exclusivement à cela ? Hors du contexte de ce forum de lecteurs idiots, de fans et d'amis des stars (puisque dès qu'on ose critiquer votre comportement on se situe forcément dans un de ces registres), nous pourrions y voir un peu plus clair sur vos intentions: prenez-vous à part tel auteur, tapez-vous du poing sur la table pour tels débordements généralisés dans le domaine de la bd, etc etc... Quelque chose qui puisse être un pamphlet (si vous entendez faire un pamphlet) avec le minimum de classe qui vous a manqué pour l'instant. Je serais le premier interessé par une telle démarche, ce serait un très bon complement à ce que permet difficilement un forum: prendre le temps d'exposer en détail une reflexion, un positionnement qui ne tourne pas aussitôt à la lutte de clocher. S'exposer un peu plus, peut-être aussi. Bref, comme disait F. Neaud: répondre à une création par une autre création. Allez, au plaisir, Le boutonneux mono-neuronal

254. Vieto - 11/09/05 15:00 - (en réponse à : Spécialiste décidément des promesses d'ivrogne)

Ah, mon post destiné à Scarlet s'est croisé avec celui de Lices. Je m'adresse ici (une dernière fois, promis ;-)) à lui. Lices, donc : Bel os à ronger effectivement, si je n'avais pas quelques caries. Je relèverai une seule nouveauté dans l'argumentaire, étayé de belle manière par de belles références culturelles (dommage d'utiliser un tel talent pour démolir!), mais absolument pas neuf sur le fond. Je te cite : si toutes vos interventions sont inféodées - avec complaisance - à un éventuel lurkage de Larcenet. Un peu court, jeune homme (spécial dédicace à Ratafiole). Si ça t'intéresse, va voir un peu les sujets consacrés à Larcenet sur ce forum, tu verras que je suis peu soucieux de plaire ou pas à Larcenet... Cet argument prouve en tout cas que tu as une certaine propension au procès d'intention (celui qui ne condamne pas aussi catégoriquement que toi la démarche artistique de Larcenet ne peut être qu'un "valet"). Quant à te servir, avec l'ami Spip, de caution pour t'avoir "aidé" à développer ta campagne (à aucun moment je ne t'ai accusé de régler des comptes personnels, puisque je ne t'ai jamais pris pour une connaissance de Larcenet), reproche qui m'est également fait (diplomatiquement) par Fantom-Ass, j'ai ma propre opinion là-dessus. En me mettant en avant dans la discussion courtoise que je poursuis avec Scrlet et toi depuis plusieurs semaines, j'ai pris la place des gardiens du temple qui n'auraient pas manqué d'intervenir (la nature a horreur du vide, proverbe Etrusque) avec force, faisant de ce thread un pugilat passionnel comme il y en a à chaque fois que Larcenet est en cause. Ce n'est pas la teneur de tes réponses à l'épidermique (bien que capable d'autocritique, chose rare) Fred Boot qui me fera changer d'avis à ce sujet. Mais comme manifestement mon rôle revendiqué de modérateur commence à lasser (et montre à quel point mon ego est hypertrophié), je fais mes troisièmes adieux à cette scène, les bons, ayant pour ma part épuisé toutes mes cartouches...

253. fantom-ass - 11/09/05 14:12 - (en réponse à : Lices)

j'aurais pas dis mieux!!! t'as trop raison

252. Vieto - 11/09/05 14:10 - (en réponse à : Allez, une dernière pour la route)

Le post 27 de Lices, avec son jugement moral ("moralement ça sent pas bon") et son "Sarko en baggy avec une casquette", ce n'était pas de toi, mais je n'ai pas l'impression que tu démarques de ton pote. Larcenet a confirmé le fait que d'autres auteurs l'inspiraient. Que cherchez-vous donc à démontrer de plus? En ce qui me concerne, c'est bien le fond (insinuations sur la moralité de l'"accusé") et non pas la forme qui me gêne dans vos posts. Amusez-vous bien, c'est pas cher et sans risques.

 

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