Repos à l'ombre des oliviers (5) : mauresques, plage (mais pas Martinique), pissaladière et belote...

Les 902 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



52. vox - 01/06/07 16:23 - (en réponse à : O.)
J'espère que tu iras voir le temple lotus, bouddhinette ;)

51. Odrade - 01/06/07 14:53
Ouhhhhh je viens de réserver mon vol pour Delhi... Délicieux frisson d'anticipation.



O.

50. Odrade - 01/06/07 14:26
OUais ca marche ! Bonne idée, ça me fera oubler le temps de merdre dehors.
Mais bon, ça motive plus que le soleil pour bosser dedans.

Je reviens dans une heure pour l'apéro, garde-moi ma moresk au frais pliz !
:o)


O.

49. Baruch - 01/06/07 14:14
Comme je passais dans le coin, je me suis dit que j'allais venir payer ma tournée.
Un Pastag'!
Maurek' pour les autres ?

48. Odrade - 27/05/07 01:47
un cappucino ?
Moi, je bois pas de café, sauf si je suis crevée et que je dois rester réveillée. Si je m'assieds à ma table à dessin en ayant bu du café, au lieu de dessiner, je grave.

Donc ouiski pour moi ;o)

C'est génial de bosser la nuit. Malheureusement, depuis que je bosse à mi-temps, c'est plutôt exclu pour moi.
Mon rythme quand je ne faisait que dessiner était de dessiner jusqu'à 2-3 h du matin. Je me réveillais vers 10-11h. C'est mon rythme "naturel", donc.


O.

47. Laurent CoIonnier - 27/05/07 01:27 - (en réponse à : Odrade)
Je peux te tchin, mais ce sera avec un cappuccino.
J'adore dessiner la nuit aussi.

46. Odrade - 27/05/07 01:17
Bon, alleye, un tit ouiski et dodo...
J'adore dessiner tard le soir !

Quelqu'un me tchin ou vous dormez tous ?


O.

45. L'observateur critique - 23/05/07 16:06
FY, c'est plutôt vtff.

Vélo Toutes Forêts Facile ?


44. Odrade - 23/05/07 15:51
FY, c'est plutôt vtff.

Non merci pour le verre.
Je préfère mon gingerale au whisky (tite pause avant boulot-dessin).


O.

43. L'observateur critique - 23/05/07 15:34
Salut, les Mauresques ! J'offre un jus de pomme à l'eau gazeuse à Odrade pour me faire pardonner mes taquineries sur le sujet "BD SOS Racisme - Suisse".

Au fait, FY = Faut Yodler ?

42. Odrade - 17/05/07 23:25
¦o))

O.

41. larry underwood - 17/05/07 23:18 - (en réponse à : o. )
cherche pas trop haut.

40. Odrade - 17/05/07 22:26
Marrant le type sur la photo, il me rappelle quelqu'un...
Vais trouver.


O.

39. Odrade - 17/05/07 22:25
Hum.
281.
Mais yen a qui trichent !!! "I can cheat too : 1'620" ?!?!!!)

tit cognac, alleye !


O.

38. larry underwood - 12/05/07 00:18 - (en réponse à : O. )
Bien joué.


37. Odrade - 12/05/07 00:12
Pffff 274 aujourd'hui.

vais me coucher, tiens !

'nuit les petits !


O.

36. Odrade - 11/05/07 19:04
Argl vous me donnez faim aussi !!! Ce soir hutspot et saucisson fribourgeois ! Fait suffisamment froid pour ça grrrr.

Pis vous êtes des petits joueurs. Moi 281 avant-hier. J'ai même pu me positionner dans le score du jour ;o)
Essayez encore petits scarabées ! ;o)


O.

35. vox - 11/05/07 14:44 - (en réponse à : Je suis fanny sur ce coup)


Par ordre descendant.

34. larry underwood - 11/05/07 14:34 - (en réponse à : brigand)
264, you loose ^^.

33. vox - 11/05/07 14:16 - (en réponse à : bon j'ai faim)

32. vox - 11/05/07 13:18
Raaaaa, 258! Je t'aurai Fantomas!

31. brigand - 11/05/07 11:11
Ai fait 261 à Boomshine!!!!

30. Odrade - 11/05/07 10:29
WHAAHHHHH fait dégueu comme temps.

Alleye, thé vert pour tout le monde. Pour commencer.


O.


29. Odrade - 10/05/07 12:07
Ah non, pas de p...tique ici !
Ya un sujet, pour ça ! C'est jamais possible de discuter zen !

Pour changer de sujet, ici fait beau et je préfèrerais être à la maison qu'au *{#+ bureau. Repiqué 6 plantons de courge et retourné deux carrés de terrain, hier, mais encore une chi*e de boulot à faire au jardin. Mon balcon est une pouponnière, chpeux plus bronzer tranquille, ya plus de place !

Alleye, une Tonnerre de Brest avec moye ?


O.

28. marcel - 10/05/07 11:55 - (en réponse à : vox)
Ben, je parle assez rarement politique ici (ca tourne trop facilement au n'importe quoi) et je vois pas trop ce qui pouvait te faire penser ca... Je pourrais presque me vexer, parce que quand meme, "liberal", c'est pas loin de l'insulte.

(petit bonhomme tout ca).

27. Odrade - 10/05/07 10:46
C'est zoli les couleurs ! La musique, je la mets doucement, en petit fond sonore.
Ah ce sourire idiot quand j'arrive au niveau 12 et que c'est un vrai feu d'artifice...!

Zen.
Thé cannelle.


O.

26. larry underwood - 09/05/07 20:06 - (en réponse à : boomshine)
excellent Odrade, thanks ^^.

25. vox - 09/05/07 19:51
Rien Coach', finis ton pastag' ;)
Sympa le jeu O.! La musique est terrible, mais je déteste jouer à un truc sombre sur fond blanc! Solution : hacking. Bon, 480e, pas top le démarrage. Va falloir améliorer ça.
Sinon, je sais pas si vous connaissez, mais pour fair chuter ma productivité, moi j'utilise souvent Peggle. Attention, ce jeu peut vous faire perdre votre emploi.

24. Coacho - 09/05/07 19:33 - (en réponse à : Salut la compagnie)
Koya nem ? Gné ? Kikpasse ?

23. Odrade - 09/05/07 19:12
Bon, tite bière-whisky, tiens, ça passe bien, là.

Pis désolée de vous mettre dans le coup, mais j'ai découvert un jeu sympa, là. LES COULEURS !!! Enfin bref, avant que mon copain me rende attentive qu'il y avait un score à battre, je regardais juste les zolies couleurs.
Et je continue à finir avec un grand sourire et m'en fous du score...
Là. Boomshine.

santé !

O.

22. vox - 09/05/07 17:17 - (en réponse à : marcel)
Euh... non, je croyais que t'étais assez libéral, c'est tout. J'ai du confondre avec Coacho.

21. marcel - 09/05/07 17:15 - (en réponse à : vox)
Pourquoi, parce que j'ai aime 300 ?... Ou parce qu'il m'arrive de te taquiner ?...

20. vox - 09/05/07 16:54
Je croyais que tu votais Sarko Marcel?

19. marcel - 09/05/07 16:45 - (en réponse à : brigand)
Merci.
Je suis TOUJOURS au soleil, j'habite a Nice.
Et Malte c'est pour les bourgeois qu'exploitent le pov' populo.

18. brigand - 09/05/07 16:25
Welcome back!

T'étais au soleil?? Naaaaann...pas en croisière gratuite autour de Malte, j'espère...

17. marcel - 09/05/07 13:38
'Lut... 'etais en vacances entre les deux tours... 'gueule de bois (tous les sens du terme)... Maurek double, steup, tant qu'on peut encore.

16. vox - 07/05/07 15:48
Je suis justement en train d'arr... de me cuiter. Tchin!
En passant, un peu lente la suissesse, même pas parlé du dernier F'murrr.

15. Odrade - 07/05/07 15:18
hmr la politique, ça rend con, alors je reviens ici.
Salut vox, tite mousse ?


O.

14. vox - 07/05/07 13:28
mairie

13. vox - 07/05/07 13:27 - (en réponse à : O.)
Non, à la maire, renouveller mon passeport.

12. Odrade - 07/05/07 13:20
Alôôô ?

Tout le monde est aux abris ou quoi ?


O.

11. Odrade - 07/05/07 10:46
Ben dis-donc, c'est la Gaule de bois, ce matin !

Heuh... tit apéro pour faire passer ? Ou c'est déjà interdit par chez vous ?


O.

10. Lien Rag - 17/04/07 17:22 - (en réponse à : le bateau ivre)
J'adore le début, mais il est vraiment trop long pour que je le retienne...
Vous avez lu le Trent avec le desperado rimbaldien? J'ai trouvé l'idée géniale.

9. Coacho - 17/04/07 17:13
mouais, ça vaut pas une couv' de Marniquet ^^

T'as raison, ce n'est pas assez figé ! ;o))

8. vox - 17/04/07 08:26 - (en réponse à : degré²)
Colonnier, l'intention était :

- d'éviter qu'on juge le poème sur le nom de l'auteur

- une blague

7. Laurent CoIonnier - 17/04/07 02:03 - (en réponse à : Vox²)
"pas de moi "

Non mais sérieux, ça va les chevilles? Comme si on allait penser que t'avais le talent de Rimbaud!
La prochaine fois, crédite, pour les incultes.

6. larry underwood - 16/04/07 23:36
ça va être chaud à adapter au ciné.

5. vox - 16/04/07 23:15
Qu'est-ce qu'il était gay ce p'tit pédé.

4. vox - 16/04/07 23:14 - (en réponse à : pas de moi)
Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.

J'étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais.
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages,
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.

Dans les clapotements furieux des marées,
Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants,
Je courus ! Et les Péninsules démarrées
N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.

La tempête a béni mes éveils maritimes.
Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots
Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots !

Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sûres,
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin.

Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent,
Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;

Où, teignant tout à coup les bleuités, délires
Et rhythmes lents sous les rutilements du jour,
Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres,
Fermentent les rousseurs amères de l'amour !

Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants : je sais le soir,
L'Aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir !

J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques,
Illuminant de longs figements violets,
Pareils à des acteurs de drames très antiques
Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !

J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies,
Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs,
La circulation des sèves inouïes,
Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !

J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries
Hystériques, la houle à l'assaut des récifs,
Sans songer que les pieds lumineux des Maries
Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !

J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides
Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux
D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides
Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux !

J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan !
Des écroulements d'eaux au milieu des bonaces,
Et les lointains vers les gouffres cataractant !

Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises !
Échouages hideux au fond des golfes bruns
Où les serpents géants dévorés des punaises
Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !

J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades
Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants.
- Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades
Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants.

Parfois, martyr lassé des pôles et des zones,
La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux
Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes
Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux...

Presque île, ballottant sur mes bords les querelles
Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds.
Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles
Des noyés descendaient dormir, à reculons !

Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ;

Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d'azur ;

Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;

Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l'Europe aux anciens parapets !

J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
- Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?

Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer :
L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes.
Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !

Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache
Noire et froide où vers le crépuscule embaumé
Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche
Un bateau frêle comme un papillon de mai.

Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames,
Enlever leur sillage aux porteurs de cotons,
Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes,
Ni nager sous les yeux horribles des pontons.

3. herve - 16/04/07 22:28
c'est la vue de ta terrasse?

mouais, ça vaut pas une couv' de Marniquet ^^



 


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