Les 40 critiques de pierig sur Bd Paradisio...

Je reste assez partagé sur ce one shot. Ce qui fait la force de cet album, plus encore que les dessins, c'est l'ambiance qui se dégage de chaque planche grâce à la maîtrise de la couleur directe par Hermann. Quant au scénario, je n'ai pu pleinement l'apprécier car j'ai eu la "mauvaise" idée de lire les 8 pages de supplément qui se trouvent en préface. Je me suis dit qu'il fallait lire cette "introduction à l'histoire" pour rentrer pleinement dans un récit qui devait par conséquent être complexe. En fait, l'histoire est bien construite mais reste assez simple. "L'effet de surprise" est donc annihilé par ce supplément qui en dit trop ! L'histoire est donc facile à suivre (ce qui n'est pas nécessairement un défaut dans ce cas ci !). Elle raconte les aléas de la vie de Melvin, un jeune garçon devenu un homme, mais qui est toujours en manque de repères. Ce n'est pas vraiment une "banale" histoire de vengeance même si cela peut y ressembler au premier abord. A souligner également le caractère des personnages qui est bien travaillé (prouesse assez difficile à réaliser avec un one shot ). Un petit conseil, lisez la bd AVANT les 8 pages illustrées et commentées ! Peut-être que si j'avais procédé de la sorte, ma note finale serait passée à 4 étoiles . . .
Thierry Bellefroid me semble un peu sévère dans sa critique, mais bon, c'est son droit après tout . . . En ce qui me concerne, j’ai été plutôt agréablement surpris par ce Western. Certes, ce n’est pas un Western avec un grand « W » mais les dessins me conviennent parfaitement et l’histoire se laisse lire avec un certain intérêt. Little Big Joe est en quelques sortes le « Gaston » du Far West. Il s’agit en effet de l’archétype personnifié de l’anti-héros (mais la comparaison avec le génialissime « Gaston » de Franquin s’arrête ici). Little Big Joe arrive à se fourrer dans des situations pas possibles et réussit toujours à s’en sortir par un « heureux concours de circonstances ». D’ailleurs, ils se rend rarement compte de ce qui se passe réellement autour de lui ! Ce « justicier » sans peur et sans reproches est loin d’avoir la même dextérité que Lucky Luke et fort heureusement sinon ce serait nettement moins drôle ! . . . situations inextricables et quiproquos garantis ! Certes, cet album n'est pas novateur mais on ne lui demande pas de l'être non plus ! A découvrir !
Barbaud est un as de la voltige qui nous fait tournoyer la tête avec ses superbes croquis d’avions. Le style humoristique de cet auteur convient parfaitement à ce genre de bd. Le couac se situe au niveau du scénario de Duval qui n’est pas toujours à la hauteur des dessins. En effet, la fin de ces histoires courtes tarde souvent à venir, ce qui laisse un goût de travail bâclé . . . un comble pour une série qui se veut humoristique ! Dommage car cette bd avait ‘tout d’une grande . . . série’. En bref, les dessins sont plutôt convainquants mais la série pêche au niveau du scénario. Ce qui est surprenant de la part de Duval lorsqu'on voit de quoi est capable cet auteur avec des séries telles que Travis ou Carmen Mc Callum !
Faire évoluer des animaux dans la peau d’humain, ça s’est déjà vu (cf Canardo ou plus récemment Blacksad). Ici, le ton est donné : un humour à la « Tex Avery » comme l’affectionne particulièrement le scénariste de « Léonard », « Robin Dubois » et « Clifton ». De Groot ne change donc pas de style mais, par contre, il fait une infidélité à Turk (son complice de toujours) en s’associant avec Rodrigue pour les dessins. L’ensemble est plutôt réussi dans le genre et fait souvent mouche avec des réparties parfois bien trouvées. A lire pour passer un bon moment !
Une jeune femme est repêchée par un équipage des plus singulier. Le contact d'Eléonore avec ces matelots est plutôt glacial (à prendre dans les 2 sens du terme). Le 'Typhaon' recèle bien des secrets qu'Eléonore souhaite découvrir . . . ces matelots errent sur la mer à la recherche de leur destin qui pourra les libérer du mal qui les ronge . . . et ce banc d'algues qui 'terrorise' le typhaon alors que celui-ci est imperturbable face aux tempêtes les plus violentes . . . pourquoi ? comment ? Les dessins de Sorel sont une pure réussite et la narration de Dieter est prenante. Mais que de questions sont suscitées par ce huit clos assez oppressant . . . questions qui ne trouvent pas de réponses, malheureusement ! Le sentiment de frustration est trop grand . . . Peut-être qu'un troisième tome aurait été le bienvenu pour nous en dire un peu plus sur ce mystérieux banc d'algues et les causes du mal. A la lecture du 2e opus, le ‘soufflé’ est donc retombé, dommage !
En ce qui concerne l'histoire, elle commence fort bien durant les 4 premiers opus . . . enfin, voici le 5e tome pour connaître le dénouement de cette série . . . Quelle ne fut pas ma déception ! On ne retrouve plus le punch des 3 premiers tomes et le 'huit clos' du 4e cède sa place à une succession d'incompréhensions suite à de nombreuses questions qui restent sans réponses. J'ai pas compris grand chose aux revirements de situation mais j'imagine qu'on en saura plus dans le second cycle . . . Avec le recul, j'ai l'impression que ce premier cycle est une 'mise en jambe', une sorte d'introduction à l'histoire qui va commencer réellement avec le 2e cycle (du moins, je l'espère !). C'est ce que laisse présager les 2 dernières planches du 5e opus. Cependant, je trouve cela un tantinet longuet de prendre 5 albums comme sujet d'introduction à une série ! Terminons par quelques mots sur le dessin de Quet. En fait, il n'y a rien de plus subjectif que de critiquer un dessin : on aime ou on aime pas mais difficile de dire exactement pourquoi. Selon moi, je le trouve assez maladroit au début avec un trait un peu trop 'anguleux'. A cela, s'ajoute une mise en couleur assistée par ordinateur qui n'est pas des plus flatteuses. Cependant, Quet nous gratifie ses planches d'un décors phénoménal qui rattrape les petites imperfections du début (La scène de la Tour Eiffel est impressionnante !).
C’est une bd qui se veut résolument fidèle à la légende originelle d’Arthur, avec un souci du réalisme qui est poussé jusque dans le choix des noms (qui sont quasi imprononçables !). Ce premier volet de la série est donc très instructif pour celui qui veut en découvrir d’avantage sur cette période de l’Histoire où les écrits n’étaient pas encore légion. Mais voilà, la technique narrative utilisée, plus proche du roman historique, n’est pas adaptée à une retranscription directe en bd. L’histoire n’est qu’une succession de faits et les planches ne sont qu’une succession de gros plans avec des têtes qui se ressemblent toutes les unes aux autres ! Cette bd est donc destinée à un public qui est loin de constituer la majorité des bédéphiles !
Après Delcourt, voici que maintenant Nucléa sort sa propre version inspirée de la légende d'Arthur. En fait, cette nouvelle série 'arthurienne' (une de plus dans le genre !) n'est autre que la suite de la série « Merlin » du même scénariste. L’histoire, assez complexe, demande une attention toute particulière de la part du lecteur. Sinon, on risque de décrocher assez rapidement ! Avec cet album, Istin nous livre un récit qui mélange « savamment » la légende originelle d’Arthur avec sa propre vision de celle-ci. On se trouve devant une bd qui s’attaque à la légende d’Arthur mais, contrairement à la série de chez Delcourt, celle-ci est saupoudrée de magie et de surnaturel. Michel, lui, ne nous livre pas un dessin d’exception ! Certes, il convient à ce genre de bd mais il me laisse parfois un goût d’inachevé. Les contours des personnages sont souvent gras avec des traits du visage plus fin mais discontinus ! Mais bon, tous les passionnés de la légende d’Arthur passeront outre de ce détail !
Le tandem Widenlocher/Achdé est bien connu de la bd. Pourtant, la série « Woker » l’est beaucoup moins ! Les deux papas de Nab signent ici un très bel album orienté « jeunesse » mais qui n’est pas « enfantin » pour autant ! Les gribouillis de Widenlocher sont aussi « bien foutus » que dans les autres séries dont il signe les dessins. Le scénario est captivant, dépaysant et surtout truffé de « clin d’œil » (notamment avec le Marsupilami). Je ne peux donc que conseiller fortement sa lecture mais pas son acquisition ! Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il s’agit d’une série prévue en plusieurs tomes et que pour l’instant seul le premier est sorti . . . en 1997. Cela fait donc 5 ans que j’attend la suite . . . j’ai lu sur le net que le 2e tome est en préparation (je demande à voir !).
L’Ami Javin est la continuité de l'excellent cycle 'la quête de l'oiseau du temps' . . . en fait, ce n'est pas tout à fait juste puisque l'histoire de ce premier opus du second cycle est antérieure à la quête. Il décrit la jeunesse de Bragon et Mara ainsi que leur rencontre. Cet album me laisse une impression ambiguë. En effet, d'un coté l'histoire est prenante et reste agréable à lire. De plus, les dessins de Lidwine sont très bons (et non, ce n’est plus du Loisel !). D'un autre coté, cet album n’apporte vraiment rien de plus à l’univers du premier cycle. Tant qu’il n’y a qu’un seul tome, cet album est donc, selon moi, très dispensable même s’il possède des qualités évidentes !
Ceux qui espéraient trouver avec cet album un Franquin plus désopilant que jamais seront incontestablement déçus. Sa volonté ici n’est pas de faire rire mais bien d’exprimer son 'état d’esprit' et plus encore un certain 'ralbol' à un moment de sa vie. Le ton donné par le dessin 'très noir' (à prendre au sens premier et second du terme) sonne juste. Cet album se veut la caricature d’une face de ce monde que Franquin réprouvait fermement. Voici quelques thèmes abordés : la folie de l’armement nucléaire, le 'métro-boulot-dodo', la violence 'gratuite' envers les animaux, le dopage dans le sport, le 'chacun pour soi'. . . et j’en passe ! Franquin nous surprend donc avec sa vision sombre du monde qui l’entoure. Mais lorsqu’on y réfléchit, ce n’est pas aussi étonnant que cela de la part de ce Grand Monsieur de la bd ! En effet, c’était un homme engagé qui n’hésitait pas à dénoncer les injustices ou les situations absurdes qu’il percevait.
C’est la bd 'type' qui attire l’attention lorsqu’on la feuillette mais qui déçoit lorsqu’on s’y plonge ! Les dessins, agrémentés de couleurs chatoyantes, sont beaux en apparence. Je dis en apparence car Keramidas a quelques problèmes avec la stature des personnages (cf. page 11, Luuna, 1ere case). Il en va de même avec leurs visages (il suffit d’observer le nez des affreux). Les formes des persos ou des animaux sont assez géométriques et font référence aux classiques Disney (Pochaontas, Bambi et j’en passe) : Têtes rectangulaires, nez carré, yeux trapézoïdaux . . . ça lasse le lecteur assez vite ! En ce qui concerne la trame scénaristique, Crisse est capable du meilleur comme du pire. Ici, il s'en tire pas trop mal même si le scénario est assez classique et surprend donc peu le lecteur. En effet, l’histoire d’une fille qui parle avec les animaux de la forêt, qui doit accomplir un rituel initiatique et qui se voit posséder par le mal . . . ces ingrédients ne sont pas franchement inédits !
'La foire aux cochons' est une Bd malheureusement très peu connue du grand public. J'en veux pour preuve que je suis le premier à poster un avis dessus . . . 3 ans après sa sortie ! P’tit Luc délaisse momentanément ses rats pour nous présenter l’œuvre que j'estime la plus aboutie de son répertoire ! Pour apprécier pleinement ce chef d’œuvre de P’tit Luc, il faut avoir une certaine connaissance de l’histoire du 19e et 20e siècle. En effet, on se délecte vraiment des dialogues qu’ont les grands hommes parodiés par P’tit Luc que lorsqu’on connaît les faits de chacun d’entre eux ! Que pourraient bien se dire Napoléon et Hitler en compagnie de Landru, Hugo, la bande à Bonnot, Nicolas II, Staline et Lénine (et j’en passe) réunis tous ensemble et réincarnés en cochons ? Fallait non seulement y penser mais en plus il fallait aussi le faire . . . et de quelle manière ! Grandiose ! Magnifique ! Extraordinaire ! Exquis ! On en vient même à se prendre d’affection pour Napo qui joue de malchance depuis 200 ans ! Toutefois, on regrettera que cette « fable » n’ai pas eu de véritable fin puisqu’elle se termine en queue de boudin (oups, Napo ne va pas apprécier cette digression !). Ce livre est aussi une bonne façon de réviser ses cours d’histoire de manière ludique !
C’est une bd qui est passée inaperçue dans le flot des sorties soleil . . . Cela est sans doute dû au choix de la couverture qui n’est pas des plus judicieux au regard de la qualité des planches. Pourtant ce premier tome vaut largement le détour ! La première chose qui frappe lorsqu’on ouvre cette bd, vous l’aurez deviné, c’est le dessin. C’est sûr, Floch est un dessinateur prometteur dont le style est dans la lignée de Tarquin, donc très « soleil ». Les couleurs sont également très belles…logique, elles sont signées Lyse. Toutefois, un dessin et des couleurs qui assurent ne font pas nécessairement un bonne bd, le scénario doit également tenir la route. Je dois avouer que c’est pas trop mal le cas ici. En effet, même si le premier tome d’une série pose les jalons du récit, l’histoire est suffisamment dense pour ne pas ennuyer le lecteur qui reste sur sa faim…à la fin de ce tome. Certains pourront reprocher la ressemblance de l’île et de ses habitants avec le monde d’Aquablue ou encore le pouvoir de guérison que possède Leidjill avec celui de C’ian de la série Lanfeust. Qu’importe ! la trame de cette histoire me semble assez bien ficelée que pour entrevoir une suite prometteuse et propre à cette série. J'attends avec impatience la sortie du second tome « les jardins de Sangali » !
Voici un album que j'ai rapidement feuilleté chez mon libraire sans trop savoir pourquoi. A l'ouverture de cette bd, les dessins sympas de Curd Ridel m'ont donné envie d'explorer plus en profondeur les aventures de Django (sorte de fénec) et son copain Teddy (sorte d'ours). En fait, je m'aventure peut être un peu trop loin en parlant d'"aventures" car il s'agit plutôt d'une retranscription de quoi sont faites leurs journées que d'une réelle aventure en soi ; entre une bière, un rot, un colt, une bière, un rot...bref, on tourne en rond ! Les gags, pris individuellement, font donc sourire mais l'ensemble de l'album laisse un goût de "trop peu" et son prix, un goût un peu trop...salé !
Faire évoluer les héros d’une série à succès lorsqu’ils étaient enfant n’est pas neuf !. . . parfois la réussite est au rendez-vous, mais ici, ce n’est pas le cas. Les histoires sont d’une banalité déconcertante. De plus, cela n’apporte rien de plus à la « découverte fascinante du monde de Troy », que du contraire ! Une bd très dispensable donc.
C'est une évidence, cette bd ne laissera personne indifférent, on aime ou on aime pas ! Le scénario peut en déranger certains car il sort des sentiers battus. Les scènes apparemment indépendantes les unes des autres embrouillent le lecteur qui voit difficilement un lien entre elles. Mais il ne faut pas oublier que c’est le premier tome d’une série et que la trame doit se mettre en place ! J’ai plutôt été séduit par l’histoire et surtout le dessin ! La technique utilisée est très rare en bd, peut-être est-ce dû au fait que Loche est avant tout illustrateur? Quoi qu’il en soit, le résultat est très réussi ! Le coup des dragons qui portent des « lunettes d’aviateur » parce qu’ils louchent est original (Mieux vaut avoir une bonne vue pour atteindre sa cible !). Mention spéciale à Monsieur Loche qui prend le temps avec ses lecteurs. De plus, ses dédicaces sont un pur chef d’œuvre !
Le duo Ange & Varanda est maintenant bien connu des bédéphiles. Ce one shot aborde un thème bien connu. On pourrait d’ailleurs se dire : tiens, voilà une énième bd sur le sujet. Pourtant, le mythe du dragon est ici abordé de fort belle manière ! Nous prenons en effet un plaisir sans bornes à suivre le périple d’une « chevalier du dragon » et de son écuyère dans une contrée dévastée par l’aura malfaisant d’un dragon. L’histoire est donc à la fois intéressante et passionnante. Cependant, elle a l’inconvénient d’être archi prévisible, ce qui n’est pas rien ! De plus, la fin tourne en queue de boudin… Bref, j’aurais aimé un peu plus de suspens…mais bon, les petites faiblesses du scénario sont largement rattrapées par un dessin qui est un vrai régal pour les yeux ! En janvier 2003, Soleil réédite cet album (avec de nouvelles couleurs et tout, et tout…). De statut de one shot, il va passer à celui de premier tome d’une nouvelle série . . . A surveiller de près donc !
Il y a beaucoup de choses à dire sur ce western hors du commun en bd qui a failli atteindre la perfection. Je vais d’abord m’intéresser à ce qui me plait le plus : le dessin de Marini. Les décors sont somptueux. L’Ouest sauvage et l’ambiance des villes sont merveilleusement retranscrites. De plus, les personnages sont bien campés (les méchants sont vraiment méchant et Matthew est parfait comme être froid préparant méthodiquement sa vengeance) . . . Que du tout bon ! Le scénario, quant à lui, est assez classique dans le genre (voire trop classique ?) et me fait penser aux westerns de Clint (Impitoyable et Cie). De plus, on y décèle quelques invraisemblances. On a devant nous un type meurtrit à qui on a l’impression que rien ne peut arriver . . . Bref, l’archétype même du super héros ! La fin est plutôt conventionnelle mais elle a le mérite de révéler ce qu’est exactement « l’étoile du désert » et le mobil des crimes commis au début de l’histoire . . . un bon scénario donc mais pas excellent !
Le lien de parenté de "L’âge de raison" avec "La guerre du feu" est incontestable. L’un comme l’autre mettent en scène la vie d’êtres primitifs (ou du moins ce qu’il pourrait en être). Cela peut se résumer à 3 choses : trouver de quoi manger, trouver de quoi s’abriter et trouver avec qui satisfaire ses besoins les plus élémentaires. Il n’est pas facile de captiver un public avec comme unique dialogue des sons gutturaux du style "our", "orrh"... J-J. Annaud l’a fort bien réussi et je dois avouer que Bonhomme ne s’en tire pas trop mal non plus ! Les dessins sont une pure réussite et les couleurs sont bien choisies même si le contraste entre les planches peut en agacer certains. La petite faiblesse de cet album se trouve au niveau du scénario. Je ne juge pas ici la qualité des dialogues mais je reproche l’absence de "fil conducteur" à cette histoire mis à part trouver de quoi manger, etc . . . Avec son film, J-J Annaud a construit son récit sur base plus solide : la quête du feu ! Cependant, l’histoire mérite absolument d’être lue ou plutôt d’être "regardée" est le terme qui conviendrait le mieux !
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