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Bon anniversaire a Serpico, le film de Sidney Lumet avec Al Pacino. C'est l'histoire veridique d'un policier new-yorkais qui va denoncer la corruption de ses collegues du commissariat ou il est affecte. Il est inutile de dire que cela n'alla pas sans quelques problemes pour lui, il faillit en mourir.
Le film est un peu moins connu que son suivant, le fabuleux Apres-midi de chien, ce qui est dommage car c'est tout aussi bien, ce qui n'est pas peu dire. Il eut beaucoup de succes et fit meme l'objet d'une serie tele qui ne dura que le temps d'une saison avec un autre acteur, David Birney. Pacino y est tout bonnement extraordinaire et l'histoire est passionnante. C'est assurement un des meilleurs films de Lumet qui 8 ans plus tard reviendra sur le meme sujet avec Le prince de New York et Treat Williams dans un role similaire a celui de Pacino, malheureusement, ce film n'est pas aussi bon que celui-ci.
Je vous le recommande sincerement car c'est franchement tres bien, et vous permet de voir comment etait New York dans les annees 70 au temps ou le paquebot France faisait encore la navettte entre Le Havre et la grande metropole americaine. Quand vous verrez le film, vous comprendrez pourquoi j'ecris cela.
C'est tout a fait juste dans la culture des incultes qui n'ont jamais vu le film et qui en citent toujours la meme replique qu'au mieux ils ont vu dans un best of sur Youtube.
Mais la, le journaliste parle d'un type qui est cense etre cinephile.
Je ne valide pas ton explication qui voudrait que les pays surévaluent leurs réserves pour garder un prix élevé. Si les réserves sont élevées, ça éloignerait plutôt des craintes de pénurie donc induirait plutôt une baisse du prix.
Vous avez sans doute suivi le décès du jeune Thomas à Crépol, tué d'un coup de couteau lors d'un bal. Rassurez-vous, il n'a pas été tué parce qu'il était blanc. Ouf, la gauche peut souffler.
Oui, la charge de la preuve revient au plaignant, et comme les ayants-droit savent très bien qu'ils ne peuvent rien prouver ( le coup de la dédicace est risible, Numa Sadoul dit lui-même dans sa biographie d'Uderzo que sa planche n'est pas dédicacée), ce qui induit de fait une accusation de vol infondée, donc d'une dénonciation calomnieuse, et d'une manoeuvre dilatoire pour semer le doute et empêcher la vente.
Auteur peu connu, et qui m'est inconnu, c'est d'autant plus absurde et ça casse le moral.
Le voleur aurait mieux fait de voler les ayants-droit d'Uderzo !