|
|
Forum : interventions des dernières 24 heures.
Attention : les interventions pour un sujet se lisent de haut en bas (contrairement aux forums !) Vous pouvez changer le nombre d'heures via le paramètre NbHours dans l'adresse URL (max 200 heures !)
|
Que venez-vous de lire et qu'en avez-vous pensé? (25)
|
| |
torpedo31200
(heijingling - post # 151) -
11/11 10:40
|
|
Peu de gens ont vu The Man of the Eiffel Tower(1949) de Burgess Meredith, Charles Laughton et Irving Allen...
|
herve
11/11 16:43
|
Thorgal#43 : la vengeance de la déesse Skaedhi
Depuis quelques années, à chaque sortie du nouveau Thorgal, je m'interroge sur la nécessité de continuer ou non cette série, qui s'éternise à mon goût. Seul le dessin très minutieux de Vignaux donne à mon avis une unité au Thorgal post Van Hamme et Rosinski. En effet, les scénarii de Yann finisse un peu par lasser , tant par les nombreux 'emprunts qu'il fait aux premiers albums de la série, tant par le difficile renouvellement du genre. A titre d'exemple, le nouveau personnage, Dame Pallas, n'est qu'une pâle copie de Kriss de Valnor, qui d'ailleurs fait une réapparition remarquée.
Finalement, je crois que l'éditeur à décidé de changer, une de fois, le scénariste.Mais , je pense honnêtement qu'il faudrait mettre un terme à cette série.
Les " Thorgal saga" sont , à mon avis, de meilleurs factures, que les Thorgal de la série mère, et le dernier titre "la cité mouvante", en est la parfaite illustration.
note:2,5
|
herve
11/11 17:05
|
Largo Winch # 25 : Si les dieux t'abandonnent...
Très belle surprise avec ce dernier opus, qui repose sur un scénario cosigné avec Jérémie Guetz, qui reprend le flambeau d'Eric Giacometti. En effet, on retrouve tout les ingrédients qui font le succès de Largo Winch, de l'action (beaucoup), de l'humour (avec Simon), de jolies femmes (et pour une fois elles ne sont pas filiformes), le tout sur fond d'actualité avec l'aide humanitaire et les drones. On voyage pas mal dans cette première partie du diptyque, et je dois dire que le dessin de Philippe Francq et les couleurs de Bertrand Denoulet et Maya sont vraiment superbes.
La seule chose qui me chagrine dans cet album, est le fait que Largo Winch entraine une gamine dans ses aventures assez mouvementées.
Une très belle intrigue, de nouveaux personnages bien campés, le tout dans des décors bien illustrés par Philippe Francq, bref je serai rendez-vous pour la suite ...dans deux ans!
Note: 4/5
|
| |
|
Angoulême 2026
|
| |
pm
11/11 14:04
|
Boycott vient d'un nom propre Charles Boycott qui fut mis à l'index par les fermiers qu'il maltraitait.
Parler de Girlcott n'a donc aucun sens ou alors un gascon femme n'est pas une gasconne mais une fiscon, le féminin de gamin n'est pas gamine mais fimin etc.
|
torpedo31200
(Girlcott) -
11/11 15:13
|
Me semblait bien que ça venait d' une athlète, mais peu connu en France.
Alteration of boycott (as though it came from the word boy). Coined in 1968 by American track athlete Lacey O'Neal during the Summer Olympics in Mexico City, in the context of protests by male African-American athletes.
|
pm
(Torpedo) -
11/11 15:53
|
|
Non, c'est bien plus ancien:"Le terme vient du nom du britannique Charles Cunningham Boycott (1832-1897), intendant d'un riche propriétaire terrien du comté de Mayo, en Irlande de l'Ouest, durant le xixe siècle : comme il traitait mal ses fermiers, il subit un ostracisme et un blocus de leur part en 1880. Le mot boycott se répandit par voie de presse et boycottage fit son entrée en France en 1881, officialisant une pratique qui existait depuis des siècles. Il a récemment été supplanté par boycott, comme dans le reste du monde francophone, à cause de la redondance du suffixe[4]. Les deux formes, boycott et boycottage, coexistent en 2025 dans les dictionnaires usuels[5],[6],[7]."
|
LienRag
11/11 16:44
|
|
Oui enfin Girlcott c'est comme Herstory, c'est jouer sur les mots, ce qui bien heureusement n'est pas encore interdit.
|
pm
(Lien) -
11/11 17:38
|
Dans le message cité par heijingling la notion d'humour second degré m'avait échappé au profit d'un acte militant pas très bien placé.
Dont acte.
|
pm
11/11 17:51
|
En une de Libé:"Un château de cartes s’effondre. En quelques heures, c’est toute l’organisation du festival d’Angoulême qui vacille. Le point de non-retour semble avoir été atteint lundi soir, lors d’une réunion d’urgence demandée par Frédéric Vilcocq, conseiller culture à la région Nouvelle-Aquitaine et par le maire d’Angoulême, Xavier Bonnefont. Par visioconférence, l’élu, qui tente par tous les moyens d’apaiser la situation et éviter l’annulation du festival à quelques semaines des élections municipales, se serait vu expliquer par plusieurs éditeurs majeurs que la coupe était pleine. Sans ambi guïté, le représentant du groupe Média-Participation (Dargaud, Dupuis, le Lombard, Kana et Urban Comics) et le directeur des éditions Casterman (parlant au nom de Madrigall, qui comprend également Gallimard BD, Futuropolis et Sarbacane) ont indiqué que les conditions n’étaient plus réunies pour qu’ils se rendent au festival en 2026. Malgré les frais déjà engagés. Sans être aussi clairs, Glénat et Delcourt se seraient montrés tout aussi remontés et auraient exigé des pouvoirs publics que les choses bougent d’ici lundi prochain, au plus tard.
«Historique», nous dit un des membres présents, la réunion a été l’occasion pour le monde de la bande dessinée d’afficher un front commun contre l’avenir du festival tel qu’il a été dessiné par Delphine Groux, la présidente de l’association du festival. Il aurait été très clairement exposé aux financeurs publics qu’il était impensable que l’édition 2026 puisse se tenir sans que la société 9e Art +, dirigée par Franck Bondoux, soit complètement sortie de l’équation. Même une telle promesse ne suffirait plus : seule la mise en retrait à effet immédiat de Franck Bondoux pourrait faire revenir éditeurs et auteurs en 2026 (de fait, la nouvelle gestion, confiée samedi, ne doit débuter qu’avec l’édition 2028). Une refonte en profondeur de l’association du festival serait également nécessaire pour que la petite asso de passionnés qui a créé l’événement au début des années 70 gère avec davantage de transparence le destin d’une manifestation, dont l’ampleur a entièrement changé.
Après avoir semblé se contenter de l’impossible attelage décidé samedi par l’association du festival, les pouvoirs publics auraient pris la mesure lundi soir de la vague de colère qui menace de faire chavirer le festival. Pour sauver l’édition 2026, qui de toute façon ne pourra se faire que dans une version extrêmement dégradée, tout paraît donc devoir se jouer dans les heures et les jours qui viennent.
Le durcissement de la position des plus gros éditeurs de bande dessinée, qui menaçaient initialement de boycotter l’édition 2027, mais se savaient coincés par des engagements financiers pour 2026 (les réservations de stands, mais aussi d’hôtellerie, interviennent bien en amont), semble tenir en grande partie à la pression des autrices et auteurs. Difficile de tenir des stands sans artiste en dédicace. Difficile d’expliquer qu’on est là après qu’un de ses auteurs eut demandé qu’on annule l’exposition qui devait lui être consacrée – plusieurs défections seraient intervenus en cascade lundi. A ce titre, l’appel commun lancé par 21 artistes ayant reçu le Grand Prix du festival d’Angoulême exigeant le départ de pourrait bien avoir joué un rôle crucial.
Mardi, les défections ont gagné le comité de sélection (qui se réunit pour sélectionner les albums qui concourent aux prix du festival), Arthur De Pins annonçant au site ActuaBD rejoindre le mouvement de boycott. Indépendant de 9e Art + et composé d’auteurs, de spécialistes et de journalistes, le comité est nécessaire au bon fonctionnement de l’événement, puisque le prestige des prix remis pendant la manifestation repose en grande partie sur la qualité de la sélection faite en amont des choix du jury.
Inflexibles depuis janvier, les autrices et auteurs ont par milliers signifiés leur boycott de l’édition 2026, signant des tribunes et inondant leurs réseaux sociaux de messages réclamant un changement radical à la tête du Festival. Ils rappelaient que sans eux, l’événement ne pouvait exister. Ces dernières heures semblent enfin leur donner raison.
|
heijingling
12/11 03:09
|
|
Oui, enfin, girlcott, c'est comme pantacourt, LGBTH ou CRS=SS, au début, c'est jouer sur les mots, et puis après la plupart des gens prennent ça au sérieux.
|
| |
|
BD et politique
|
| |
heijingling
12/11 03:25
|
Sur Actuabd, un article sur les sélectionnés pour le prix Rossel, parmi lesquels il y a "Moheeb sur le parking, Par Clara Lodewick – Éditions Dupuis. Exploration intime d’un jeune réfugié palestinien en quête de repères, entre solitude urbaine et souvenirs douloureux."
On pourrait juste se dire, selon sa sensibilité ou son idéologie, "encore un truc sur les Palestiniens, ils n'en ont pas marre, il y a bien d'autres tragédies autant ou plus graves, tout de même" ou bien "très bien, il faut marteler cette tragédie, la plus importante depuis la Shoah, jusqu'à la faire cesser".
Et puis, on se rend compte que la BD en question ne parle pas du tout des Palestiniens mais de réfugiés afghans, comme il est précisé dès la première page ou sur le site de l'éditeur.
Alors, je ne sais pas si l'erreur vient du rédacteur d'Actuabd ou de celui du prix Rossel, mais ce superbe lapsus montre qu'il y a des gens tellement égarés par l'"antisémitisme systémique" et les discours sur la soi-disant islamophobie que pour eux les Palestiniens sont les uniques victimes, et corolairement les Israéliens les uniques bourreaux...
|
| |
|
Blogs, webcomics et compagnie : vos lectures en ligne
|
| |
LienRag
11/11 16:22
|
Les auteurs d'Oglaf viennent d'accorder une interview...
(où on apprend que Oglaf devrait finir un jour, peut-être dans deux ans environ).
|
| |
|
Nouveautés Dargaud
|
| |
LienRag
11/11 16:28
|
Je viens de lire "Il déserte" de Antoine de Caunes et Xavier Coste.
Le dessin est correct et parfois magnifique, la mise en page est parfois très réussie, mais ça ne compense pas que le sujet est sans intérêt : un mondain décide de se prendre au sérieux, le tout traité sans aucun recul.
|
| |
|
Tchiii-tchaaa : du pop corn caramel à Cannes (12eme du nom)
|
| |
Mr Degryse
11/11 17:55
|
R.I.P Tatsuya Nakadai
Un des plus grands acteurs japonais voir du cinéma tout court vient de nous quitter. Pour être honnête , je le croyais déjà mort.
-la condition de l'homme
-Ran
-Kagemusha
- le pavillon d'or
- HARA kIRI
-yojimbo
-sanjuro
- Entre le ciel et l'enfer
- Kwaïdan
- Le Sabre du mal
- Rebellion
- Goyokin, l'or du shogun
- La Légende de Zatoïchi : Le Shogun de l'ombre
- Les Loups
-etc
|
torpedo31200
(Mr Degryse - post # 218) -
11/11 18:18
|
|
Je savais qu' il était encore vivant il y a peu car plusieurs des films cités sont ressortis en salles cette année.
|
n'casciata
(Mr Degryse) -
12/11 06:53
|
|
Je ne connaissais pas de nom mais dès que j'ai vu son visage, je me suis dit: oui, évidemment. Je n'ai pas vu tous les films que tu cites (loin de là), mais "Entre le ciel et l'enfer" est un de mes films préférés (meilleur que le roman).
|
| |
(http://www.BDParadisio.com) - © 1996, 2018 BdParadisio
|
|