Les 105 critiques de Lef' sur Bd Paradisio...

Auschwitz par Lef'
Pourquoi et comment un peuple fut-il décimé comme il l’a été ? Cette œuvre de Pascal Croci ne répond pas à cette question mais montre ce qu’a pu être (et même ce qui a été) la vie quotidienne de juifs déportés à Auschwitz. Quelque part en Ex-Yougoslavie… Le vieux Kazik et sa femme se souviennent d’Auschwitz… Quand en mars 1944, ils découvrent que la barbarie revêt une forme humaine : celle du bourreau nazi. Première bande dessinée réaliste sur la Shoah, ce récit bouleversant, directement inspiré de témoignages des survivants du camp d’Auschwitz Birkenau, raconte le quotidien du camp d’extermination. L’auteur ne cherche pas à résumer la Solution finale ni à développer de thèse historique, mais souhaite sensibiliser les nouvelles générations au devoir de mémoire. Pour en jamais oublier les millions de victimes du nazisme. La peur se lit dans les yeux des juifs dans cette BD et la Mort finit toujours pas frapper. Une dureté qui, malheureusement, a existé et montre que l’esprit de l’Homme peut être capable du Bien comme du Mal. Pourquoi est ce que cette petite fille survit au gazage ??? Et pourquoi l’a tue-t-on après ??? Je crois que cette œuvre extrêmement dure est passée sous silence : Croci veut qu’on se rappelle, qu’on n’oublie pas…et si cette BD était devenue un outil d’études aux collèges et lycées ??? C’est pour cela que je rejoins l’idée de Thierry Bellefroid quand il dit que malgré sa vérité, cette œuvre n’a pas trouvé le public voulu : les plus jeunes et la nouvelle génération qui oublie son passé, son patrimoine et se noie dans l’ignorance la plus totale. Alors que l’on étudie des films comme « La vie est belle » ou « La liste de Schindler » pourquoi ne pas s’appuyer sur un tel chef d’œuvre. Les deux films précédemment cités parlent de la deuxième guerre mondiale mais « Auschwitz » ne fait que citer et développer le cas d’Auschwitz. Au collège et au lycée, on nous parle des camps d’extermination et de la Solution finale, appuyons-nous sur du vrai, du concret. La BD est un moyen de média comme un autre mais il reste peu utilisé, peu fréquenté et trop étouffé. Des œuvres comme celle ci, il en manque. Des BD criantes de vérité, de cruauté, de dureté et d’Histoire sont si rares qu’elles passent sous silence et que d’autres (moins historique) (rencontrent un succès considérable) alors qu’elles ne le méritent peut-être pas. Une dernière chose : la première page de cet ouvrage comporte deux phrases qui pourraient ouvrir toutes sortes de débat. Elles sont ainsi : _ Et combien de temps êtes vous resté dans le silence ? _ Cinquante-deux ans ! Je vous l’ai dit, avant, on ne s’intéressait pas à tout ça… Témoignage de Maurice Minkowski
Pour reprendre ce que disait déjà les précédentes critiques, ce n'est pas que cet album qui est fabuleux mais c'est toute la série. Corbeyran réussit durant tout le long de la série à maintenir un suspens insoutenable et oripilant. Bien sûr les Stryges sont maintenant mythiques, bien sûr cette série est un tournant dans la carrière de Corbeyran et de Guérineau, bien sûr le dessin est classique mais maîtrisé, mais qu'est ce que cette série peut être superbe. Irrémédiablement, il y restera toujours la remarque du changement de coloriste mais ce n'est point grave. Pour une fois qu'une série de BD qui connaît un immense succè se termine, je ne peux que féliciter les auteurs. En espérant que le second cycle soit aussi bien, voir meilleur, que celui là. Peut être que le thème de la suite serait que les Stryges ne sont que la représentation de tout ce qui effraie l'Homme, de ses peurs, ses remords et du Mal absolu qui pourrait s'apporter à lui-même. Même avec les scènes d'action nombreuses, cette série a un côté philosophique qui est très présent dans ce dernier tome. Messieurs, bravo et quand je dis ça, c'est que l'oeuvre m'a énormement plu. A dans 1 an...
Avec toutes ces critiques dévalorisantes sur ce 5ème tome du "Chant des Stryges", je crois que je ne ferais pas exception. Le changement de coloriste est à l’image du changement qui s’opère également dans le scénario : c’est à dire que les révélations arrivent et en grand nombre. Je ne me plains des nouvelles couleurs mais je préférais les premières quant aux dessins de Guérineau, je suis d’accord à dire qu’ils ont trouvé une certaine dynamique et une fluidité qui évolue au fil des tomes. Quant à Corbeyran…le temps des révélations devait venir donc je ne me plains pas que ce tome viennent élucider un grand nombre de questions. Mais j’attends…j’attends la suite des Stryges que j’espère sera à la hauteur de mes et de vos espérances…
Nouvel épisode d'une série qui se peaufine comme mythique. Des réponses se forment mais le mystère s'épaissit : là, où des ennemis deviennent amis, des amis deviennet de redoutables ennemis.. Que penser et que faire dans de telles situations ??? C'est les questions que se posent Nivek et l'Ombre. Pour connaître la réponse... il faut interroger les Stryges. On commence à deviner où Corbeyran veut nous faire aller, on comprend certains contours de l'histoire et du problème... Si vous êtes en manque de bizarre, lisez "Le chant des Stryges"...
Troisième tome de cette série thriller-fantastique-apocalyptique-surnaturel... Les cadavres s'accumulent et l'enquête piétine... alors qu'un nouveau personnage entre en jeu du côté de Nivek, ce dernier et l'Ombre partent au Lima sur la trace fumante des Stryges... Pourquoi le secrétaire d'Etat à la défense s'est suicidé ??? Quel message porte ce tableau ??? Est-ce que le Président est mêlé au complot ??? Tant de questions s'ouvrent... Corbeyran assure toujours dans son scénario qui reste bien évidemment carré. Quant aux dessins de Guérineau, inutile de préciser qu'ils ont toujours la justesse et la clarté habituelle... Un petit faible pour la mise en couleur que j'apprécie beaucoup. Cet album reste dans l'esprit des deux premiers... je m'empresse de lire la suite.
Suite des aventures de l'Ombre et de Nivek... Là où certaines pistes se fermaient dans le premier tome, d'autres, nouvelles, s'ouvrent dans ce nouvel opus : un richissime industriel est assassiné. Est-il mêlé au complot ??? Quelques questions trouvent des réponses mais l'histoire reste mystérieuse, sombre et noire. Corbeyran réussit à susciter l'envie de poursuivre la lecture, à ouvrir de nouvelles pistes, à en refermer d'autres et à laisser le lecteur dans le brouillard le plus total. Ici, l'action est au rendez-vous, les explosions et les tirs dans la tête sont de la fête. Les Stryges font leur apparition et sèment le bordel dans l'immense complot politique mis en place. Les personnages continuent d'être présentés sans pour autant que l'histoire perde son souffle. A découvrir, à lire et à déguster. PS : arriverez vous à trouver l'identité cachée sous le tueur qui veut assassiner Nivek ??? Petit indice : c'est un acteur de cinéma...
Comme beaucoup d'entre nous le disent : "Le chant des Stryges" fait penser à la série "X-Files". Sauf qu'ici, l'histoire est dirigée par Corbeyran et dessinée par Guérineau. Début d'intrigue qui ouvre beaucoup de pistes à la fin de ce premier tome. Certaines sont refermées mais ce que je crains pour la suite : c'est l'arrivée des révélations trop tardives et que la fin soit bateau. Je ne m'en fais pas car Corbeyran reste un scénariste très talentueux, qui maîtrise absolument son travail. Complot d'Etat, assassinats, cadavres encombrants et ombres... tous les éléments pour un bon vieux polar des années 80 mais pas du tout !!! Comme je l'ai dit précédemment, c'est du "X-Files" à la sauce Corbeyran... attention les dégâts.
"Le dérisoire" par Supiot et Omond est une grande surprise et ume merveille de la bande dessinée. Le dessinateur de "Marie Frisson" passe du registre humour jeunesse au conte fantastique et intérieur. Cet album joue sur des contrastes scénaristiques et graphiques : on passe d'un univers noir d'un cargot en perdition à celui d'un bateau de croisière plein de vie. Les dessins et les couleurs sont de même : univers lugubre, sans avenir vers la poésie et la beauté de la peinture (je pense particulièrement au contraste des couleurs entre les planches 5 et 24). Rien qu'en feuilletant cet album, on comprend le récit : les couleur sont sombres et départ et subitement deviennent vives et vivantes. Puis, elles se rassombrissent... jusqu'à en revenir au point de départ. Supiot et Omond ont réussi le tour de force : raconter une histoire grâce à un scénario mais surtout grâce à l'évolution qui décrit l'avancée, ou le regressement psychologique des personnages. Un conte magnifique, une maîtrise parfaite des dessins et de la couleur. Merci Gléant d'avoir gardé un format assez particulier, il ne gâche en rien le travil des auteurs. "Le dérisoire" est le genre de bijou qui se relit et relit encore. C'est rare mais... c'est beau. Si vous ne savez pas quoi vous acheter, prenez cet album, vous ne le regretterez pas : vous en serez émerveillé tout comme je l'ai été et comme je le suis encore. Messieurs, bravo !!!
Mister O par Lef'
Lewis Trondheim a le don. Le don de faire du dessin animé en BD. Mister O est un personnage malheureux qui veut absolument sauter par-dessus un précipice…le tout raconté par Trondheim. 32 pages dont chacune raconte une blague. Chaque planche est constituée de 60 cases !!! Oui, 60 cases !!! Pas de paroles mais de l’action : en « lisant » cette BD, j’ai l’impression de voir un dessin animé. Pets, avions, ressorts et rires… beaucoup de rires !!! Nous, les lecteurs, sommes explosés de rire tout au long de cette bande animée. Simplicité du dessin et de la couleur, il n’empêche que tout l’humour sarcastique de Trondheim est là. Eclatez vous et si vous voyez un précipice…rebroussez chemin.
"Comptine d'Halloween" ou l'explication du proverbe "La vengeance est un plat qui se mange froid". Qui a dit que l'horreur n'avait pas sa place dans la BD ??? Personne ??? Vous me rassurez... Ce que je trouvais bizarre dans les deux premiers tomes, c'était leur dénouement qui laissait trop de pistes ouvertes. Heureusement, ces dernières sont toutes élucidées brillament sans faire une fin bateau. Dessin sombre et clair à la fois (c'est bizarre mais c'est comme ça) mélangé à un scénario totalment barjo et carré. Ces deux auteurs sont fous des films d'horreur de Craven, Romeo etc... alors imaginez ce que cela donne en BD... Petit conseil de lecture : vous vous installez bien confortablement dans votre lit, les volets fermés et une petite lampe de chevet pour vous éclairer... bonne lecteure et... bons frissons. Une petite citrouille sourit dans le noir...fermez portes et fenêtres, c'est la nuit d'Halloween !!! Deux petites citrouilles sourient dans le noir. Farces macabres et jeux cruels, c'est la nuit d'Halloween !!! Chantez avec moi cette petite... comptine d'Halloween...
Le Pil est une nouvelle série de la nouvelle collection de Dargaud, "Fictions". Paru en même temps que "Libre à jamais" et "Le passeur des étoiles", ce premier tome de Taïeb et Matrix est un bon moment de divertissement. Le scénario est "classique" mais bien mené : une quête, deux personnages principaux (qui sont deux femmes) et un mystérieux adversaire qui reste dans l'ombre. Sur le point du dessin, il y a de très belles perspectives mais aussi de gros patés et ratages sur les visages. Dommage !!! Humour, jeux de mots, action, suspense : tous les éléments pour une avanture à la Lanfeust. Lisez-le si vous cherchez une Bd où on ne se prend pas la tête et où on s'amuse au lieu de réfléchir. A lire sans modération.
Revoici Harrison Banks, le célèbre millardaire pour un second cycle. Ma foi, que dire sinon que le scénario est toujours bien "modelé" et que l'intrigue reste un mystère complet. Le dessin de Pecqueur reste égal à lui, soit excellent, et la mise en couleur est somptueuse pour de la couleur sur ordi. Bref, si vous avez aimé les trois premiers, vous aimerez ce 4ème tome. Et si vous n'avez pas aimé les trois premiers, faîtes-vous une raison : vous perdez quelque chose de bien.
"Le passeur des étoiles" est pour le moins une réussite aussi bien sur le plan du scénario que sur le dessin et l'enchaînement des scènes. Etant rétiçant au départ pour la mise en couleur, la lecture de ce premier tome me fit basculer dans la joie d'une bonne découverte. Trois jeunes auteurs qui nous signent une série de S-F tout à fait réussie et agréable à lire. On passe un bon moment. Les allusions (volontaires ou involontaires ????) sont la Planète de singes, un brin de Star Wars et Prédator. Si vous cherchez une série S-F à commencer, prenez celle-là. Réussite assurée. Bravo Dargaud pour cette découverte de jeunes auteurs !!!
V pour vie, V pour vengeance, V pour victoire et V pour vendetta. Ce chef d'oeuvre d'Alan MOORE de David LLOYD est la concrétisation de tout ce que la BD a de bien : un dessin superbe, glauque et une mise en couleur divinement belle qui nous plonge dans un univers noir et presque effrayant. MOORE a imaginé une dictature mais poussée à l'extrême de cet atroce mot : une machine contrôle et gère le monde entier, c'est le Système. Cet appareil d'état omniprésent surveille tout et tous. Et pourtant dans cet enfer MOORE a fait naitre une lumière, un espoir pour l'humanité, j'ai nommé V. Sans raconter l'histoire, MOORE est parti du classique (dictature après une guerre et un vengeur signant ses crimes) pour créer une histoire en trois actes dont chacune a sa signification. La premier nous fait croire que le seul but du récit est de découvrir l'identité de V. Le deuxième, la profondeur psychologique des personnages est mis en avant. Quant au troisième, MOORE nous montre ce que le mot dénouement signifie. Bref, dans un monde sans avenir, il suffit qu'un fou brave le système pour que les Hommes suivent. BD moralisatrice (non pas dans le sens péjoratif du terme) auquelle en sert transformer et bouleversé. On rit mais jaune. On pense longuement et relit ce chef d'oeuvre qui sera rangé comme tel.
Après les usines et Carthage, Robin revient avec le détective de l'étrange : Koblenz. Cette fois, notre héros est au Japon pour un combat entre tradition et modernité. Sur le point techique et dessin, Robin assure et je pèse mes mots et le scénario est bien mené avec une jolie conclusion. Dieux, ninjas, machines... tous les ingrédients des légendes japonaises ici réunies pour une enquête aux frontières du réel avec le duo Koblenz-Clara qui nous fait penser à Mulder et Scully ou Steed et Peel de "Chapeau melon et bottes de cuir". Suite réussie pour cette série "mythique" qui reste dans l'esprit des deux premiers. A posséder et à déguster au coin du feu. Merci Robin.
Histoire simple pour grande émotion. "Un peu de fumée bleue" est un bijou. Ce genre de petit bijou de la bande dessinée comme il devrait y en avoir plus souvent. Que dire sinon que Lapière réussit une histoire où la narration est magnifiquement orchestrée, les dialogues poignant de vérité. Pellejero ou comment réussir à passer une émotion dure dans des dessins doux. L'histoire est simple mais terriblement émouvante et riste dans un sens. Pellejero réussit à faire des dessins doux et suaves mais sa mise en couleur orangée jaune fait passer le sentiment au regard que la bd n'est pas si douce que ça. En effet cette mise en couleur reflette l'état d'esprit des personnages et du récit : calme, mélancolique et déboussolé. Sans vouloir raconter l'histoire, il n'y a pas de héros du style mac gyver, james bond, soda, lanfeust...mais juste des personnages simples et sensibles auquels leur destin se sont croisés par hasard il y a des années et se retrouvent aujourd'hui. Lapière réussit une histoire tout à fait simple d'apparence mais tellement dure dans l'émotion à transmettre et Pellejero dessine comme personne, tout en y mettant sa touche espagnole. Rencontre insolite et originale pour Bd romantique, époustouflante et magique. La dureté de la guerre vue par un grand scénariste au talent immense avec un dessinateur époustouflant lui aussi. Pour terminer : cette Bd a toutes les qualités et je n'y ai vu aucun défaut. Bravo messieurs.
Cette fin comme cette série sont tout bonnement excellentes. Il faut dire que le scénario avait été dans les quatre premiers tomes d'une excellente richesse et je comprends les fans de cette série qui attendaient la fin avec impatience. Et HEUREUSEMENT cette fin est une vraie fin : on aurait pu croire que Brunschwig allait se perdre dans son scénario et pas du tout, il le conclut d'un splendide final qui ne nous laisse pas de marbre et laisse envisager une suite pour les ennuis de Joshua LOGAN qui mériterait la paix après toutes ses mésaventures. Tout bonnement splendide. On ne s'attendait pas à un happy end et c'est tant mieux car cette histoire (qui pourrait se produire réellement) nous laisse songeur quant aux grands dirigeants de ce monde. A Mr Brunschwig : vous nous avez donné une Grand Moment de la Bande Déssinée comme on aimerait en voir plus souvent ; un grand bravo et surtout un grand merci pour votre scénario qui n'essouffle pas l'aventure au fil des tomes et qui garde toute son intensité Magnifique, splendide !!!!!!! Un grand coup de chapeau également à Laurent Hirn pour sa mise en dessin dynamique et surtout pour ses personnages expressifs dans leur visage et leur regards. Bravo ; je me répète... cette série a désormais une place privilégié sur mon étagère et leurs personnages plus qu'attachants resteront gravés dans les mémoires pendant encore très longtemps.
A yuyu Alors là pas d'accord !!!! Si anges est un livre d'images alors Bouncer, gorn, le prince de la nuit et Blacksad le sont aussi. Bon je vais refaire une critique sinon ça va devenir le forum. Inutile de répéter que le dessin de Boiscommun est excellent et le scénario est bon, je n'irai pas jusqu'à dire qu'il est irréprochable mais il mérite d'être saluer. J'irais même jusqu'à dire que dans le fond "Anges" est une Bd à double lecture. Voila sinon rien à ajouter. Ah si : lisez ma première critique.
"La ligue des gentlemen extraordinaires"... Drôle de nom pour une BD. Mais bon, ouvrons-la quand même. A première vue, les dessins sont réussis et les couleurs s'accomodent avec eux. Je referme la BD et là j'ai un choc : je lis Alan Moore comme scénariste. Je l'achète et je la lis. Waouh !!!! Pour lire cette BD, il faut avoir un peu de jugeotte : il y a des clins d'oeils à 20.000 lieus sous les mers avec le Nautilus, à James Bond grâce à monsieur "M", à l'homme invisible, à Frankenstein et au Docteur Jekyll et mister Hide. Mazette, c'est quelque chose ce livre : le scénario est de toute beauté, Moore nous plonge dans un univers dont il a le secret : une femme, chef d'équipe, entourée de 4 hommes totalement différents les uns des autres. Ils doivent s'entendre pour résoudre un complot visant l'Angleterre. L'histoire se passe au début du XXème siècle. Bref, tous les éléments pour une histoire extraordinaire. Pour résumer ce que je viens de dire : achetez le, lisez-le et régalez- vous !!
Waouuuhhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!! Sublime !!! Divinement sublime !!!! Bon je reprends mon souflle et je vous raconte tout depuis le début : Un mercredi après midi, j'allais vers le magasin FNAC de la ville de Poitiers, rayon BD et j'aperçois une couverture très colorée. Je m'avance, je l'ouvre et là un choc !!! La dernière planche est de toute beauté et les décors divinement sublimes. La mise en couleur parfaite et le scénario plus qu'originale. Cet ouvrage est un petit bijou fait de mains de maîtres des "Humanoïdes associés" comme on aimerait en voir plus souvent. Une bonne idée de Dieter d'avoir collaboré avec Boiscommun car cette BD est un chef d'oeuvre que l'on relit plus que volontiers. Bombe incontestée de fin d'année. Dommage que l'on en ait pas plus parlée, mise de coté à cause d'une soit disante grosse sortie de fin d'année. Je pense à Lanfeust des étoiles qui a peut être étouffé les autres bonnes sorties.
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