Les 47 critiques de troglo92 sur Bd Paradisio...

Ca commence comme un Lapinot, pas franchement vite, car il n'aime pas le stress le Lapinot... mais au fur et à mesure, la tension monte, les ennuis s'enchaînent et s'enchevêtrent, jusqu'à l'apothéose où ce qui ne devait pas arriver arriva (Aaaaarrrgggg ! Je suis obligé de ne rien dire pour ne pas gâcher le plaisir des fans de Lapinot et de Trondheim). Quelle journée de merde ! Tous nos protagonistes devaient se retrouver chez Lapinot et Nadia pour une fiesta entre potes. Et il y a cette cinglée qui vient fiche le zouk avec ses prévisions à la mord-moi-le-nœud… Ce Lapinot est selon moi le meilleur de la série. Lewis Trondheim est au sommet de son art. Le scénario m’a tenu en haleine du début à la fin : construction 20/20, déroulement 20/20, chute 20/20 (quoique…), dessin 100% Lewis. J’avoue qu’à la lecture de la dernière page, j’avais la gorge serrée et quasi les larmes aux yeux. Vivement le prochain Lewis !!!
Pourquoi vouloir faire revivre à tout prix une série sublime en complétant une histoire terminée ? Quelle déception en lisant ce tome 6... Les premières pages dessinées par Didier Crisse au début de l'album sont dans la lignée des 5 1ers tomes (superbes), mais la suite est affligeante : le scénario est sans doute bien ficelé, mais il est tellement mal desservi par le dessin qu'on a l'impression qu'il est nul lui aussi ! Parlons-en du dessin : Je ne connais pas le reste de sa production, mais Christian Boube n'est vraiment pas à la hauteur dans cet album. Les personnages sont baclés, les décors pas toujours dans la perspective de la case. Le pire, c'est dans les pleines pages où l'on voit clairement que ce sont des petits dessins qui ont été (très mal) agrandis par l'infographie. Les expressions des personnages ne correspondent pas toujours aux émotions qui sont sensées être traduite. Un compliment (?) maintenant : le seul à être bien dessiné, c'est Argas (normal, il a toujours son masque et quand il ne l'a pas, sa tête est couverte de bandages : c'est beaucoup plus facile comme ça...) Cet album va rejoindre illico presto l'étagère tout en bas de ma bibliothèque avec les autres daubes et ratés que j'ai malheureument achetés. BDParadisio : Dans votre page sur cet album, vous ne mettez que Crisse comme auteur. Ajoutez les autres, car Didier Crisse, dans cet échec, n'est responsable que d'avoir donner son aval pour la production de cette nullité...
Quel auteur ce Manu Larcenet !!! Ce tome 2 est dans la continuité du 1er, mais avec encore plus d'émotion. Cette tranche de la vie de Marco est beaucoup plus grave : sa famille, ses origines, son boulot... Globalement, c'est un peu notre histoire et ses rebondissements tragiques à notre petite échelle. Mais quand même, "Souriez !! Ou alors ji ramène encore li boulaouanne !"
Décoiffant !!! Van Gogh dans les tranchées de la 1ère Guerre Mondiale... Je m'attendais à une franche déconnade et un bon moment de poilade, et me voilà confortablement installé pour 1/2h de lecture délirante. OK pour le délire qui est au RV, mais la déconnade a progressivement cédé le pas à une histoire beaucoup plus grave et tragique. Ca part en fanfare avec le président du conseil qui envoie Vincent sur le front avec pour mission de lui dépeindre ce qui s'y passe. Chez Manu, Van Gogh n'est pas mort : il a été "suicidé" après avoir foiré l'infiltration du mouvement des cubiste. Là, on est sur du grand Larcenet (et c'est vrai, sur du Larcenet récurrent comme je l'apprécie). Accompagné d'un général trouillard, Vincent va descendre dans l'horreur : hé oui Bloody Motherfucker, la guerre est une horreur, la guerre est absurde, la guerre est contrôlée par des logiques qui sont celles de planqués dont on se demande certaines fois ce qui leur passe par la tête (n'est-ce pas George W ?). Manu nous donne une interprétation à laquelle je ne m'attendais pas... Et on est toujours sur du très grand Larcenet. Merci pour cette heureuse surprise.
Pour un 1er coup, c'est un coup de maître selon moi. Une BD réussie qui laisse présager d'une série très intéressante. Après l'avoir feuilleté 1 fois, j'ai hésité longtemps à lire (donc acheter) ce qui me semblait n'être qu'un "Bone Like". Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir une histoire pleine de charme et d'humour. Pas de bol pour le pauvre Dido : il n'a malheureusement aucun des atouts pour faire peur aux enfants. Il est la risée de son village de monstres, et seul son grand-père le comprend et l'aide. Merci Fahar de me conter une histoire simple, très bien construite, où tous les personnages sont attachants (même les camarades de Dido qui se moquent de lui). J'y retrouve du "Monstres & Cie", du "Peter Pan", et moi ça plait. Effectivement, comme indiqué dans le forum ou dans la 1ère critique, il y a des bavures autour des cases. Mais pour moi, c'est un charme supplémentaire (continue comme ça Fahar !!!). Pourquoi un dessinateur n'aurait pas le droit de sortir de ses cases ? A la Fenaque, cette BD est au rayon des BDs pour les enfants. Si seulement les parents pouvaient s'arrêter devant et l'acheter à leurs bambins... ou à eux mêmes (il n'y a pas de honte à se faire du bien en lisant une histoire rafraichissante) : il y a tellement de daubes qui sortent actuellement. Hé, Eddy, contrairement à ce je t'ai dit il y a quelques semaines, lis absolument cette BD !!!
Ca y est, le Messie a maintenant des disciples (un peu innocents quand même les 3 jeunes). Lincoln commence à évoluer dans sa tête et dans ses actes : il n'est plus le grand méchant primaire du 1er tome. Il faut dire qu'il est accompagné par Dieu en personne, même si ce Dieu ressemble plus à un personnage tout droit sorti d'un film de Sergio Leone. Les frères Jouvray nous apportent sur un plateau un très grand moment de détente. Scénario et dessins, rien à redire : 20/20. La tronche en biais de Lincoln et son absence de sourire sont un pur bonheur. Le Diable commence à prendre position dans le 2ème tome. J'espère que le conflit Bien-Mal va créer de beaux cas de conscience à notre héros dans les tomes suivants. Le truc en plus : allez faire un tour sur le site de la BD et des auteurs. Il est très bien fait et vous pourrez récupérer des infos supplémentaires.
Je suis resté sur ma faim en terminant la lecture de cet album (Schlack ! Fin de l'album quand la crise éclate), mais rassasié quand même. Enfin un n°1 que je ne regrette vraiment pas d'avoir acheté. L'intrigue (un jeune garçon aux étranges pouvoirs à la recherche de ses origines) est bien ficelée. Les dessins sont superbes (avec de temps en temps des petits airs de ressemblance avec les travaux de Boiscommun et Istin). Le petit truc qui étonne à la lecture c'est la présence d'armes à feu et de machines, mais bon, pourquoi pas... Je ne connais pas les 2 auteurs. Mais si c'est un premier album, il est réussi selon moi. Le 2ème tome devrait démarrer sur les chapeaux de roues.
Zhong Guo par troglo92
Wouahou !!! J'en reste encore tout estomaqué ! Quelle BD superbe concoctée par le père et le fils (on se demande d'ailleurs si le saint esprit n'est pas intervenu tant cet album brille par son efficacité). Allez-y sans crainte : le scénario m'a tenu en haleine tout au long de la lecture, même si au début ce n'est pas évident de suivre les 200kmh imposés par Yves Huppen. Le dessin est magnifique, et le futur soft concocté par Hermann passe comme une lettre à la poste. Cet album est une agréable combinaison d'espionnage, de SF, de politique, de conflits humains. La violence des forces et enjeux en présence participe à cette atmosphère pesante où le lecteur lui même est entraîné dans la spirale de l'histoire. De plus, les méchants sont très très méchants et les gentils sont... (heu, je ne me souviens pas avoir vu des gentils dans cette BD...).
Oh que non, mon bon... Cet album est à classer parmi les nullités de cette fin d'année. La seule histoire à m'avoir fait rire dans ce recueil est "Ca tourne pas rond" de MM. Fred Duval et Etienne le Roux. Un petit bijou... Par contre, le reste est très nettement en dessous, pour finir dans l'apothéose du truc qui n'aurait jamais du être publié : "L'essayer c'est... l'essayer". Mais qu'êtes-vous allé faire dans cette galère M. JD Morvan ? En plus, cette histoire est proposée sous forme d'un dépliant. Dépliant bien évidemment plié, corné, déchiré par les manipulations des lecteurs. Mon conseil : ne l'achetez pas. Contentez-vous de lire l'histoire de Duval & Le Roux et appréciez la chute !!!
Les caméléons par troglo92
Un sacré coup de maître cette première BD ! "Découverts" sur BDparadisio, Henri Fabuel et Fabrice Le Hénanff nous livrent ici avec Les Caméléons une belle histoire (d'amours, de haines et de peurs) sur fond de première guerre mondiale. Le scénario est très bien ficelé : les personnages se croisent et se recroisent pendant tout l'album. Le dessin est superbe tout en ombres et lumières. Les rouges, les marrons, les bleus restituent l'atmosphère cruelle et sombre de cette période de notre histoire. Les couleurs et le trait mettent en valeur les conflits entre les personnages. La fin est un peu prévisible, mais c'est le scénario qui nous y conduit.
La mauvaise fée par troglo92
En voila une BD qu'elle est bien !!! Une histoire franchement originale, pensez-donc : il s'agit d'une enquête menée suite à la découverte de cadavres de fées dépouillées de leurs ailes et de poudre magique qui les recouvre. Finalement, avec cette histoire rondement menée et très joliment dessinée, on se rend compte que même dans le monde des fées, ce sont toujours la vénalité et la luxure qui conduisent aux pires excès. A noter car très rigolo : pas mal de cases sont parsemées de petites créatures priapiques ou en train de copuler sous le couvert de la végétation...
Quel bonheur toujours renouvelé de lire les aventures de Merlin. Ce 6ème épisode est un pur chef d’œuvre. Il est tellement bien ficelé qu’on ne remarque même pas la disparition de Joann Sfar sur la couverture. Mais l’esprit de sa création reste, et est repris de main de maître par Jean-David Morvan (le style d'un Goscinny de la grande époque). Je ne suis pas loin de penser que « Merlin Papa » est le meilleur album de la série : jeux de mots au cordeau, dessins superbes, scénario impeccable. Bref, que du bon, sans rien à jeter... C’est vraiment étonnant de découvrir au début de l’album que Merlin est un enfant comme les autres, avec les mêmes problèmes et contraintes que lui imposent ses parents... heu non... tuteurs... enfin Jambon et Tartine, quoi ! Un chevalier crétin, un village où tout le monde cocufie son/sa conjoint/e, un bébé perdu chez les « petits », voilà les bases d’une superbe récréation. Et dire qu’il va falloir attendre 1 an pour lire la suite...
98 pages de bonheur !!! Olivier Vatine est selon moi un roi du dessin. Ce recueil nous permet d'avoir un aperçu de ce qu'il a fait en dehors des BD ultra-connues qu'il a pu commettre (« Aquablue » et l’inénarrable « Stan Pulsar » entre autres) : illustrations dans des magazines, couvertures, travaux de recherche... Une bio et une biblio complètent l’ouvrage. Ma section préférée : les dessins de pin-ups parus dans Max (y’a du monde au balcon !). La section Science et Vie Junior est par la force des choses plus soft, mais les dessins restent sublimes. Par contre, allez absolument voir l’étonnant John Wayne saisissant de réalisme... Les 24 Euros à sortir de la poche sont justifiés.
Je n'ai pas aimé du tout l'étiquette de prix que j'ai vue au dos de cet album. Je trouve inadmissible de vendre à ce prix une série qui a été rentabilisée depuis des lustres. D'accord Soleil a du acquérir les droits, il faut bien qu’ils s’y retrouvent financièrement. Mais je ne pense pas que cette anthologie soit un succès commercial. Une anthologie de ce type devrait être diffusée à un prix raisonnable pour qu’un max de lecteurs en profite. C'est vraiment dommage, car les Conan scénarisés par Roy Thomas et dessinés par Sal et John Buscema sont des petits chefs-d’œuvre. Les albums permettent de retrouver très fidèlement l’atmosphère des romans de Robert Howard : scénarii et dessins impeccables, avec la petite pointe d'érotisme soft bon ton qui faisait l'attrait des comics des 70s. Allez jeter un coup d'oeil sur les formes de la Reine Marala dans "L'Etoile de Khorala" (Album Artima) pour savoir de quoi je parle... Donc : - Soleil : 1/5 (1 étoile pour l'idée de l'anthologie) - Thomas-Buscema : 5/5 Info : Je n’ai pas acheté cet album. J’attends qu’il se retrouve chez les soldeurs après les fêtes de fin d’année...
Une histoire en 2 volumes cache souvent un scénario trop compliqué. C'est effectivement le cas ici selon moi : la récupération d'Olrik, la "machine" utilisée pour mettre le souk dans l'expo universelle de Bruxelles. J'espère que le second volume permettra de mettre efficacement de l'ordre dans tout ça. Mais bon c'est vrai, rien n'est simple dans l'univers de Messieurs B&M. Par contre, merci MM Julliard et Senté, le flashback est un coup de génie. Il permet de découvrir la 1ère rencontre de nos 2 loustics, et de découvrir l'inde d'avant-guerre. Le dessin est sublime, les décors superbes... Un bémol sur le dessin des animaux : le tigre indien et la lionne de l'expo ne sont pas trop crédibles.
Je profite de cette réédition pour dire tout le bien de cet album. C'est avec cette BD que j'ai découvert il y a des années le talent de conteur de Joann Sfar et les sublimes dessins d'Emmanuel Guibert. Au fait, si vous ne connaissez pas, courrez immédiatement lire « La Guerre d’Alan ». Quand je relis maintenant « La Fille du Professeur », je parcours une poésie et un conte de fée. Franchement impossibles, la situation et les relations des personnages sont normales sous les plumes et pinceaux de Joann et Emmanuel. L’amour abat des montagnes nous dit le dicton. En tout cas, dans cette BD c’est vrai… Quand on veut, on peut !!!
Dit-donc M. BdParadisio, j'voudrais une étoile de plus pour cet album. Le retour à la terre... Comme tout provincial d'origine qui est "monté à Paris" j'y aspire de tout mon être. Si le mien est aussi fun que celui de Manu, je serai comblé. Le 2ème (et non pas second, car j'espère une suite) volume est toujours un petit bijou de naïveté, simplicité, bonheur. Rien à voir avec les dessins de Bill Baroud par exemple, ceux du Retour à la Terre sont géniaux (mon bonheur par exemple : le noeud dans les cheveux de Mariette). Le format d'écriture permet de prendre la BD en passant devant la bibliothèque, de lire 2 ou 3 gags et de repartir avec un sourire aux lèvres. Aujourd'hui comme anti-stress, je ne vois pas mieux... N'en déplaise à Frigo dans sa critique, ayant grandi chez les "terreux", je peux lui montrer dans mon patelin d'origine les alter-ego des persos de Manu et Jean-Yves. Treize à la douzaine. Et les retrouver (certains presque pas caricaturés) dans "Les Projets", moi ça fait fait marrer ! Cette BD est tellement efficace que j'ai souri tout pendant l'écriture de cette critique (ma collègue de bureau doit penser que je suis simplet...).
Mélangez des fondus d'informatique, les mondes virtuels, une multinationale, les problèmes des indiens d'Amérique, la "guerre" Israëlo-Palestinienne, une allusion aux infections nosocomiales, des méchants au delà de la caricature, une mémé sorte de Carmen Cru (en apparence) avec la crinière du Roi-Lion, des drones d'attaque, j'en passe et j'en oublie... et vous obtiendrez cet album. A la fin de la lecture, j'ai eu l'impression d'avoir eu une bonne indigestion. L'histoire est bonne et originale, mais le scénario aurait mérité d'être un peu plus simple. Pourquoi essayer d'en mettre un max ? Pourquoi dessiner certains personnages au delà de la caricature (Capo Negro, Pépé Marcos) ? Est-ce une obligation en mettant sur l'étiquette de couverture "Par le scénariste de Sillage" de dessiner un clone de Nävis dans l'album. Il y a quand même des petits airs de ressemblance sur le visage et les formes de Xalca... Non ? Une p'tite remarque M. Wahmo : p23, Xalca porte un tee-shirt beige uni, et quand elle se retourne à l'arrivée de Pépé Marcos, il se transforme en tee-shirt noir avec une étoile rouge... Il est mago en plus le Pépé Marcos en changeant les couleurs d'un regard ?
Quel dommage d'avoir perdu mon ticket de caisse ! Avec ce ticket de caisse, j'aurai pu au moins retourner la BD au magasin et me faire rembourser (et oui, il m'arrive souvent de retourner des "daubes" à la Fenaque). Je me faisais une joie de lire une BD avec Carmen McCallum (Travis... bof...). L'idée est intéressante : donner leur chance à de jeunes auteurs sur des histoires courtes. Malheureusement, tous ne sont pas au niveau d'une série de ce renom : OK ce sont des jeunots... Par contre, le scénario est loin d'être à la hauteur. J'ai arrêté de lire cet album (?) à la moitié. Avons-nous un moyen, nous les lecteurs, d'obliger les éditeurs à arrêter de sortir des albums à but purement commercial en mettant de côté la qualité et l'intérêt de lecture ? J'en ai marre de financer des nullités. Vive la qualité. Ce week-end, j'ai acheté et lu "Enfants c'est l'hydragon qui passe" EO 1984 de JC Forest. Là au moins j'étais enchanté de mon achat et de ma lecture !!!
Quel bonheur toujours renouvelé que de se plonger dans les Contes du Korrigan. On se croirait dans un recueil d'histoires de Pierre Dubois, le célèbre elficologue (avec ici de sublimes dessins). Ce troisième tome nous entraîne cette fois-ci dans le monde des créatures marines (ah... le mythe de la sirène...). Le principe est bête comme chou : comme dans les 2 premiers tomes, un korrigan raconte ou fait raconter des histoires. Les "histoires" s'enchaînent de manière très fluide dans ce 3ème volume. L'innépuisable bestiaire et autres légendes de nos campagnes permettra j'espère de continuer encore longtemps cette série. A noter : une apparition de la sublime reine du petit peuple qui, à la demande générale, raconte elle aussi une histoire...
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