1169. Odrade
- 29/03/25 18:41
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Merci froggy !
O.
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1168. suzix@bdp
- 27/03/25 22:04
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"payER"
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1167. suzix@bdp
- 27/03/25 22:04
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ah ah, est-ce qu'on fait payé à Vivès ses incartades ou bien est-ce lui (et son réac chef) qui voient des complots où il n'y en a pas ?
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1166. froggy
- 27/03/25 21:54
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1165. froggy
- 20/03/25 19:19
- (en réponse à : Odrade)
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L’effet papillon, Bastien Vivès l’a vécu en direct il y a deux ans lorsque le festival BD d’Angoulême a déprogrammé son exposition après des menaces proférées sur les réseaux sociaux. Une petite décision qui, mine de rien, a engendré de grandes conséquences. Et qui a fini par légitimer une chasse aux sorcières médiatique sur les réseaux. Des déboires judiciaires ont suivi. Vivès s’est heurté à un mur. Celui de la honte. Tous ses projets se sont arrêtés net pendant quelque temps.
Deux années se sont écoulées. Presque sur la pointe des pieds, avec Lune de miel, l’auteur du Chemisier, de Polina ou du Goût du chlore revient à ses premières amours, la bande dessinée d’aventure exotique franco-belge des années 60-70. Il y a du Olivier Rameau et Colombine (Dany et Greg) dans cette nouvelle série au format classique de 48 pages couleur cartonné, ce que l’on surnomme dans le métier le «48 cc».
«Après vingt ans de métier, j’ai décidé de m’attaquer au mythique classique franco-belge, le 48 cc, acquiesce Bastien Vivès. Je voulais aussi mettre en scène un couple de héros, comme dans Valérian et Laureline. Le couple en BD, c’est assez rare. Comme j’avais commencé par le roman graphique, j’en avais un peu assez de ces lourdes machines où l’on enchaîne les pages les unes après les autres, sans aucune garantie de succès. Étant donné mon actualité et toutes mes “affaires”, je me suis dit qu’il serait plus agréable de se lancer dans une série BD au format cadré, quelque chose de stable et solide. J’ai convoqué mon imaginaire et je me suis dit que je voulais refaire de la BD avec une certaine forme de légèreté.»
Sophie et Quentin forment un couple de jeunes parents sans histoire. Une fois les enfants gardés, ils coulent des jours tranquilles sous le soleil bienveillant d’une île grecque. Mais leurs vacances vont être de courte durée... En acceptant un dîner sur un yacht de luxe organisé par une vague connaissance parisienne, ils mettent le doigt dans un engrenage infernal digne d’une aventure de James Bond.
«Sophie et Quentin s’inspirent tout simplement de mon couple, mais en version idéale et fantasmée, sourit Vivès. Je me suis dessiné en jeune Harrison Ford façon Indiana Jones. Quant à Sophie, c’est ma femme. Elle est très belle donc, je n’ai pas eu à me forcer... (Rires). J’ai créé ce duo de couple avec la ferme intention que le lecteur y croit, que ce soit comme des amis.»
Comment vit-il son retour aux affaires? «D’une manière ou d’une autre, maintenant, toutes les bandes dessinées que je vais sortir seront touchées par ce qui m’est tombé dessus il y a deux ans, confie l’auteur de la série Lastman. Je ne peux nier que tout cela m’a touché de plein fouet. En même temps que cela m’a perturbé, une autre partie de moi-même restait assez fascinée par ce qui m’arrivait. Cela a mené à une réflexion profonde sur le médium même de la bande dessinée. Au début, j’ai dessiné plein de choses d’instinct sans me poser de questions. Ce qui m’est arrivé m’a fait prendre conscience d’une chose : cette brouille qui existe de plus en plus entre la réalité et la fiction.»
Bastien Vivès le reconnaît, il a grandi «“créativement parlant” avec une cuillère d’argent dans la bouche. La liberté d’expression que la génération de mes parents est allée chercher, je la considérais comme définitivement acquise. J’ai compris qu’il faudrait tout recommencer... Même quand on parle d’art et non de réalité.»
Dans la planche 18 de Lune de miel la première case met en scène le couple de héros, Sophie et Quentin. «On comprend ici dès la première image que Sophie et Quentin sont sur leur garde. Ils marchent sur des œufs, décrypte Vivès. J’ai mis en scène une ambiance de faux-semblant. On remarque tout de même la complicité de ce couple qui se parle à mi-voix, sans même se regarder.»
Et Vivès de poursuivre : «J’avais en tête la chanson de William Sheller Un homme heureux, où les paroles sont : “Pourquoi les gens qui s’aiment sont-ils toujours un peu les mêmes? Ils ont quand ils s’en viennent le même regard d’un seul désir pour deux”. Sophie et Quentin sont comme ça, ils affrontent les problèmes à deux dans une sorte d’unité permanente et impalpable.»
La case centrale montre le papillon qui se pose sur Goran, le chef mafieux en train de boire sa coupe de champagne. «Ici, j’ai voulu utiliser un plan à la Steven Spielberg, un effet cinématographique de contre-plongée.»
Pour rester sur le visage du chef mafieux qui vient de se faire piquer par le papillon, Bastien Vivès a utilisé l’écran du téléphone portable d’un homme de main chargé d’immortaliser la scène. «L’écran du portable me permettait de rester sur le visage de l’homme, précise l’auteur, tandis que les autres convives suivent tous du regard le papillon qui volette dans la pièce. Cela crée une coupure. Une passerelle vers une séquence bientôt irréelle. Ensuite je rentre dans l’écran du portable et je le montre en train d’enlever ses lunettes de soleil. Dans la case suivante, il commence à s’étouffer, à pleurer... Et soudain, paf ! Je bascule le lecteur dans une vision de film d’horreur ...»
Les deux dernières cases sont dignes d’un film fantastique. «Au départ, ma coloriste Brigitte Findakly m’avait proposé une version où le personnage était en train de vomir. La couleur du jet qui sortait de sa bouche était jaune, révèle Bastien Vivès. Je lui ai répondu que je voulais plutôt du rouge car j’imaginais que c’était du sang. Elle a changé les couleurs et a même mis du vert dans le décor, ce que j’ai trouvé particulièrement approprié. La couleur évoque la nausée. Après tout, nous sommes sur un bateau. Les décors sont flottants. Et le personnage a bel et bien été empoisonné. C’était une case qui devait être dérangeante. Avec ces couleurs, cela accentue l’effet recherché.»
Voilà bien l’effet papillon mis en scène. «Je n’avais pas pensé concrètement à l’expression, admet Vivès, mais elle est tout indiquée pour cet album. De la même manière, le papillon me rappelle celui de l’affiche du film Le Silence des Agneaux, de Jonathan Demme. Celui-ci possédait comme une tête de mort sur le corps. Ce sont des réminiscences qui agissent en moi inconsciemment. Je m’en rends de plus en plus compte, mais quoiqu’on fasse, nous vivons dans une époque de création postmoderne. Comme dans les films de Tarantino qui passe son temps à citer tel passage de film ou à rendre hommage à telle ou telle séquence. La BD aussi est comme ça. C’est l’art du mélange total.»
Quand on lui dit que cet album est un peu une déclaration d’amour au médium bande dessinée, Bastien Vivès répond : «Oui, la BD, c’est ce qui est en train de me sauver la vie. Il y a quelques années, je m’étais un peu éparpillé en m’intéressant au jeu vidéo ou au cinéma. Maintenant, je me recentre sur cet art majeur. C’est en quelque sorte une nouvelle lune de miel avec la BD!»
Lune de miel -Tome 1- Le baiser du sphinx, par Bastien Vivès, 48 p., éditions Casterman, 14,95 €.
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1164. Odrade
- 20/03/25 18:14
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Les deux choix :
- Accepter les cookies (non)
ou
- refuser et s'abonner (ben non plus)
O.
Donc si quelqu'un pourrait résumer l'article, ce serait chouette.
O.
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1163. froggy
- 20/03/25 18:11
- (en réponse à : Odrade)
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Et depuis les USA aussi.
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1162. pm
- 19/03/25 18:41
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En tout cas depuis la France.
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1161. pm
- 19/03/25 18:40
- (en réponse à : Odrade)
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Si.
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1160. Odrade
- 19/03/25 18:34
- (en réponse à : pm 1145)
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Non.
O.
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1159. Achab
- 19/03/25 18:15
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Le papillon c'est justement le truc à ne pas expliquer. Au lecteur de choisir si c'est une intervention un peu surnaturelle, ou un simple enchaînement de circonstances. Au final, ce sera quand même sa simple libération qui boucle le dossier.
On s'en branle un peu des détails de la rencontre mafieuse. En fait on est au même degré de connaissance que les héros. Est-ce qu'on sait dans quoi trempe le chef mafieu et comment il a choppé la peste dans le Souffle de Moloch ?
On est sur une situation et des acteurs archétypaux en fait.
Pour la caractérisation des personnages d'ailleurs, je pense que Vives essaye de jouer une carte subtile. Il privilégie la déduction à partir des attitudes et des situations, plutôt que les dialogues d'exposition. Et je le trouve plutôt fort dans le "jeu d'acteur" justement. Mais si ça marche avec moi, je peux entendre que ça ne marche pas pour tout le monde.
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1158. pm
- 19/03/25 16:52
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Pareil qu'Helmut mais je pense que c'est l'idée d'Achab qui est retenue.
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1157. helmut perchu
- 19/03/25 14:56
- (en réponse à : Achab)
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J'ai envie de dire qu'est-ce qui est fini ?
On n'a aucune explication concernant le fameux papillon, on n'a aucun contexte concernant les bandes mafieuses et d'éventuelles rivalités, on n'a rien concernant la réunion sur le bateau, on n'a que dalle sur la vague connaissance des 2 héros, et même eux d'ailleurs sont très peu développés...
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1156. Achab
- 19/03/25 14:53
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A mon avis, le concept de Vives, c'est de retrouver l'esprit de la BD d'aventure des années 70, mais non sans s'amuser des ficelles du genre. Donc un couple normal (à une ou deux compétences près) dont les vacances tourneraient systématiquement à l'aventure etcavec un retour au status quo en fin d'album me semble cohérent.
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1155. Achab
- 19/03/25 14:45
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Qu'est-ce qui ne fait pas fini dans le premier tome ?
Vives s'amuse à souffler le chaud et le froid sur l'influence réelle du papillon, mais les gentils sont saufs et les méchants tous neutralisés (par un concours de circonstance certes). Dossier classé.
A la limite on peut imaginer un fil rouge autour du propriétaire du bateau qui pourrait ressurgir en sous-main dans d'autres histoires (un genre de général Satan en quelque sorte).
Les héros sont juste d'une étonnante nonchalance pour des gens à priori ordinaires, mais j'ai justement apprécié ce décalage humoristique.
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1154. pm
- 19/03/25 14:43
- (en réponse à : Helmut)
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J'ai pensé la même chose. On verra.
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1153. helmut perchu
- 19/03/25 14:17
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Si je comprends bien le 2e tome ne sera pas la suite du premier mais une aventure indépendante ? Bizarre parce que le premier tome ne fait vraiment pas fini...
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1152. pm
- 19/03/25 12:09
- (en réponse à : Helmut)
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Le pitch éditorial:"Sophie et Quentin n'ont dédidément pas de chance avec leurs vacances ! Dérouté en raison d'une météo hostile, leur vol pour l'Amérique centrale se pose dans un petit aérodrome secondaire. Pour couronner le tout, Sophie a contracté avant de partir la gastro des enfants. En essayant de rejoindre la capitale en voiture de location, notre couple d'aventuriers s'embourbe en pleine jungle, au coeur d'un conflit entre orpailleurs et flics corrompus... Un rythme effrénée pour cette nouvelle série qui rappelle les films d'action familiaux des années 1980 et 1990 : À la poursuite du diamant vert, Crocodile Dundee ou True Lies."
Je doute que ce soit le dernier, sauf si ça ne marche pas du tout.
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1151. helmut perchu
- 19/03/25 10:52
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deuxième et dernier ou y'en aura d'autres ?
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1150. pm
- 19/03/25 10:43
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Le deuxième tome de lune de miel est prévu pour le 14 mai, trois mois après le tome 1, c'est du rapide.
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1149. longshot
- 17/03/25 17:17
- (en réponse à : pm et Quentin)
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La référence « Olivier Rameau et Colombine » permet en tout cas au journaliste de caser le nom de Dany, comme un rappel à la polémique autour de son Spirou, qui fait écho à celles autour de Vivès…
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1148. froggy
- 17/03/25 16:39
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Vous vous arretez a des details dans cet article, le plus important est ce que Vives y dit.
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1147. pm
- 17/03/25 15:27
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Je pense que le journaliste ne connait rien à la BD, seul le bizz sur Vivès l'intéresse, il a dû utiliser une IA merdique pour chercher des couples dans la BD, et il a mal recopié.
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1146. Quentin
- 17/03/25 13:55
- (en réponse à : #1141)
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Cela m'étonnerait fort que Vivès ait parlé de Colombine, qui est le nom utilisé dans les traductions danoises et allemandes. En Francais, tout le monde la connait comme Colombe (sauf ceux qui n'ont pas lu la série, comme le journaliste).
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1145. pm
- 17/03/25 12:32
- (en réponse à : Odrade)
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Accès libre
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1144. Odrade
- 17/03/25 12:13
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Vous pouvez svp résumer l'article ? Pas envie de m'abonner au Figaro...
O.
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1143. pm
- 17/03/25 12:00
- (en réponse à : Heijingling)
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Vivès a semble-t-il mentionné Valérian et Laureline pour expliquer que c'était le couple le héros.
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1142. pm
- 17/03/25 11:58
- (en réponse à : Heijingling)
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Si je dis que ça n'a aucun rapport c'est bien que je l'ai lu.
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1141. heijingling
- 17/03/25 09:03
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"En plus cet album n'a strictement aucun rapport avec la série de Dany et Greg."
A priori non, mais faudrait lire l'album avant de se prononcer.
""Olivier Rameau et Colombine"... A se demander si le journaliste a jamais lu un seul album de la série!"
Si ça se trouve, c'est Vivès qui les a mentionnés.
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1140. pm
- 16/03/25 23:51
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En plus cet album n'a strictement aucun rapport avec la série de Dany et Greg.
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1139. Quentin
- 16/03/25 19:36
- (en réponse à : froggy)
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"Olivier Rameau et Colombine"... A se demander si le journaliste a jamais lu un seul album de la série!
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1138. froggy
- 16/03/25 18:25
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1137. LienRag
- 16/03/25 17:08
- (en réponse à : 1135)
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Ben oui mais les soldats sont pas très sympathiques, le territoire inconnu est très vite révélé comme étant une abstraction (d'où en effet le très fort parfum de "Désert des Tartares", probablement une référence volontaire), l'Empire du titre également ainsi que l'Empereur qui le dirige, leurs aventures sont également quasi-inexistantes ou en tous cas sans intérêt au premier degré...
Le désert des tartares (que je n'ai pas lu) parle de la condition humaine et (de ce que je comprends) de son absurdité, pas vraiment de tartares et assez peu de désert.
Mais Pour l'Empire, je ne comprends toujours pas de quoi ça parle (à part de ce que j'ai mentionné plus haut, mais sans comprendre ce qu'il dit à ces sujets).
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1136. pm
- 12/03/25 19:37
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C'est assez éloigné mais, par association d'idées, cette série m'a fait penser au Désert des tartares de Dino Buzzati
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1135. torpedo31200
- 12/03/25 14:51
- (en réponse à : LienRag - post # 1134)
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Un récit d' aventure où on envoie des super soldats dans un territoire inconnu. Avec des tonalités assez différentes a chaque album.
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1134. LienRag
- 12/03/25 12:31
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De quoi ça parle.
(de virilité, certes. mais encore ?)
(de l'absurde du pouvoir, aussi; mais là encore, mais encore ?)
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1133. froggy
- 10/03/25 16:32
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Il n'y a rien a comprendre a cette serie. Qu'est-ce que tu n'y as pas compris?
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1132. LienRag
- 10/03/25 12:56
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Bon, fini Pour l'Empire sur vos conseils, et j'ai toujours rien pigé...
Il y a évidemment une dimension symbolique forte, mais je ne la comprends pas.
Et de manière générale, j'aime les récits à dimension symbolique forte quand le premier degré est compréhensible, pas vraiment quand le symbolique est le seul degré qui a un sens.
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1131. egoes
- 16/02/25 00:46
- (en réponse à : froggy 1128)
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J'osais pas le dire...
Par ailleurs, Pour l'Empire, c'est vraiment très bien.
Chaque tome part dans une direction assez inattendue et le final est tout à fait honorable.
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1130. froggy
- 15/02/25 23:28
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J'avais franchement beaucoup aime cette courte serie.
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1129. torpedo31200
- 15/02/25 13:48
- (en réponse à : LienRag - post # 1127)
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Oui, mais moins classique.
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1128. froggy
- 15/02/25 01:06
- (en réponse à : Lien Rag)
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Il est ironique que tu ne comprennes rien a Pour l'empire de la part de celui qui nous pose des quiz incomprehensibles. LOL
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1127. LienRag
- 14/02/25 23:19
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J'ai lu le premier tome de "Pour l'Empire" de Vivès (pas vérifié si c'est Bastien ou un homonyme).
J'ai rien compris.
Ça s'améliore après ?
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1126. pm
- 14/02/25 18:41
- (en réponse à : Suzix)
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L'interprétation de la loi influencée par le contexte médiatico-populaire, ce qui ne devrait pas être.
Il faut tout de même revenir à cette loi qui met sur le même plan des photos pédophiles et des dessins pédophiles, parce que si le dessin était exclu de la loi, celle-ci pourrait facilement être détournée par des dessins réalistes issus de photos ou d'actes. Or ça ne peut pas être le cas ici, la loi ne devrait donc pas s'appliquer au dessin de caricatures.
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1125. suzix@bdp
- 14/02/25 15:15
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La jurisprudence peut-être ?
Sinon cela conforte mon avis sur la perte du sens de l'administration française concernant ses missions.
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1124. pm
- 14/02/25 14:30
- (en réponse à : Suzix)
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Ben non, à ma connaissance la loi n'a pas évolué sur ce point.
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1123. suzix@bdp
- 14/02/25 13:01
- (en réponse à : Torp')
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Je confirme et je commente.
Sachant que Petit Paul avait déjà fait l'objet de signalements en 2018 et 2020 qui avaient été classés sans suite par le parquet de Nanterre, Malka a commenté de façon très juste « Est-ce que l'appréciation du droit se fait selon la météo du moment et les pressions associatives ? » et il rajoute « On ne peut que regretter la débauche de moyens du parquet de Nanterre pour poursuivre des bandes dessinées quand tant de vrais enfants auraient besoin des services de justice ».
Pour le premier point, les lois évoluent donc réétudier un cas c'est pas étonnant. Par contre, il a 1000 fois raisons concernant les moyens mis pour protéger des enfants dessinés ... même si c'est évidemment autre chose qui se joue. On s'aperçoit que l'administration française perd trop souvent de vue sa raison d'être qui est de rendre service aux français en faisant fonctionner le pays. Or nombreux sont ceux qui pensent que leur job c'est d'appliquer connement des textes, des directives, des règles, de remplir des formulaires ...
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1122. torpedo31200
- 14/02/25 12:34
- (en réponse à : post #1120)
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Donc personne n' a porté plainte, ce sont juste des décisions de parquet après signalement.
J' aime bien la réaction de Malka.
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1121. marcel
- 14/02/25 11:11
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Moi, j'aimerais bien savoir ou en est l'histoire des planches volees de Blake et Mortimer. Apparemment, la justice belge n'est pas plus rapide que la notre sur ce genre d'affaires...
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1120. froggy
- 14/02/25 06:07
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Quelques nouvelles.
Et pour ceux qui sont sur Instagram, je vous recommande de suivre sa page; bastienvives.
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