Pour Romy, c'est sa prime jeunesse qui était un naufrage.
906. pm
- 24/09/23 16:19
- (en réponse à : Froggy)
Mais ça nous permet de n'avoir que de belles images de Romy Schneider et de Marilyn Monroe, contrairement à Bardot par exemple.
La vieillesse est un naufrage, Garbo l'avait bien compris. C'est le thème de Sunset Boulevard et surtout de Fedora, merveilleux film souvent incompris.
905. froggy
- 23/09/23 22:20
- (en réponse à : Jérôme)
Les memes qui ont tue Marilyn Monroe et Judy Garland.
Elle aurait eu 85 ans aujourd'hui si le destin n'en avait pas decide autrement. Comme des millions d'autres gens, j'ai ete tres triste quand on a annonce son deces ce samedi du mois de mai 1982. Je l'aime beaucoup et elle est merveilleuse dans les films de Claude Sautet qui l'a fait rayonner a l'ecran, la photo que j'ai mise vient des Choses de la vie.
902. torpedo31200
- 21/09/23 16:55
- (en réponse à : Bert74 - post #897)
Heureusement.
Outre le fait que les films de fictions n' ont pas de prétentions géographiques documentaires, je crois que vous sous-estimez le nombre de connaux magiques qui seraient capables de "refaire" (ou tenter de refaire) les cascades avec un Iphone à la main...
901. Bert74
- 21/09/23 16:47
- (en réponse à : Froggy)
En cinéma ça passe, car ces ellipse ne sont repérées que visuellement par les personnes qui fréquentent le quartier (la course poursuite à Paris de Mission Impossible m'a bien fait rigoler quand je l'ai vue au cinéma, et je n'étais pas le seul, mais ça ne perturbait la suspension d'incrédulité que du public local).
Dans un bouquin, où tu mets des vrais noms de places et de rue dans le texte pour faire sérieux et donner un plan visuel de l'action, ça passe beaucoup moins.
Cela dit certains essaient de faire l'effort d'un réalisme malgré les contraintes techniques et artistiques (préserver le rythme de l'histoire notamment). J'avais lu ainsi il y a longtemps un bouquin d'entretiens avec Nestor Almendros (grand directeur de la photo) et une de ses anecdotes de tournage m'avait marqué.
Il racontait que sur le tournage de Kramer contre Kramer, il avait eu toutes les difficultés à maintenir la démarche artistique voulue sur la scène intense centrale où on voit Dustin Hoffman courir avec son fils dans les bras, en plan séquence, pour l'amener du parc, où il s'était blessé, jusqu'à l'hôpital un peu plus loin. La mort dans l'âme, il s'était résigner à faire finalement un plan de coupe/ellipse pour que ça tienne dans le film.
900. torpedo31200
- 21/09/23 16:33
- (en réponse à : pm - post #899)
Je pense aussi, vu que le réalisateur est bordelais et que le film s' inspire de deux faits divers survenus à Marseille et (à vérifier) Paris.
À la réflexion dans le gang des bois du temple, sans doute pour être plus générique, je pense que ce brouillage géographique entre Marseille, Bordeaux et la région parisienne, est assumé. Le bois du temple est situé à Clichy sous bois et on parle de l'autoroute A1, mais on y parle aussid'un garage33, donc en Gironde ( une partie du film y est tourné), le casse se fait non loin de Marseille ( panneaux autoroutiers bien visibles) et on évoque plus tard la prison des Baumettes.
898. froggy
- 21/09/23 00:31
- (en réponse à : Bertrand)
je crois que c'est pareil pour toutes les courses poursuites tournees dans des grandes villes. J'ai pu le constater au sujet de New York, les raccords ne suivent pas toujours la geographie de la ville ou alors il y a de spectaculaires ellipses. Il en est ainsi dans Une journee en enfer, le troisieme John McClane avec Bruce Willis. Une scene a ete tournee juste en bas de chez moi dans mon premier appartement americain.
897. Bert74
- 20/09/23 19:57
- (en réponse à : froggy #885)
Les portails de téléportation parisiens dans les courses poursuites sont aussi légion apparemment dans le Da Vinci Code (le bouquin). Je ne l'ai jamais lu, mais je me rappelle des extraits qui étaient publiés sur la toile et qui faisaient marrer tout le monde à l'époque.
C'est encore plus grave que dans les films car il suffit d'voir un plan de la capitale sous le coude pour éviter d'écrire des conneries.
Mr Degryse: "Le réalisateur n'était pas encore le chantre de la lutte des classes. Il se contentait alors de brosser le portrait du milieu ouvrier. "
Il y a deux types d'oeuvres engagees. Celles faites pour le public qui sait voir montrent.Celles faites pour le public qui ne sait pas voir denoncent. Pour apprendre a voir, faut voir les oeuvres de la premiere categorie.
Je n'aurais pas fait le rapprochement avec HHH, parce que je n'ai pas de categorie "film sur l'enfance" dans mes casiers, mais c'est effectivement un bon critere pour juger de la sensibilite d'un realisateur. Mais, point commun personnel, je les ai tous deux vus en VO avec st en chinois, et pour chacun jeme suis accroche (dialecte pour l'un, accent pour l'autre) avant de decider de me laisser porter uniquement par la realisation, laissant peu ou prou tomber le scenario (je sais que suzix ecarquille grand les yeux en lisant ca), et grand films chacun.
Dans Kes, le film est le message, plus tard, Loach utilisera les films pour passer des messages, et ce sera moins bien.
@pm: je n'aurais pas pense non plus a l'antisemitisme comme critere, mais je ne suis pas sur qu'il vaille le traitement de l'enfance...
Family life est un film sur la folie, un film magnifique à ranger à coté du sublime Une Femme Sous Influence de Cassavetes.
Avec Kes ce sont effectivement deux merveilles de Ken Loach des années 60, bien avant qu’il devienne antisémite.
893. torpedo31200
- 20/09/23 10:52
- (en réponse à : Mr Degryse - post # 892)
C' est souvent considéré comme son meilleur sur sa première période avec Family Life (film d' horreur).
Mon expérience passée de la filmographie de Ken Loach n'était guère probante ( Souvenir d'Un vent se lève chiant et d'un Looking for Eric sympathique mais anecdotique). Je sais avoir vu d'autres films du réalisateur mais je suis incapable de me souvenir desquels sans regarder le listing et les résumés wikipedia. C'est dire mon enthousiasme jusqu'ici.
Le commentaire dithyrambique sur Kes de Michel Gondry lors du dernier videoclub Konbini m'a donné envie de voir ce long métrage. Ma curiosité était d'autant plus forte que je ne conçois pas deux visions du cinéma plus opposées que celles du réalisateur anglais et français. La découverte n'en a été que plus belle !
J'ai impression d'avoir visionné la matrice de tant de films anglais ultérieurs ( Les virtuoses, Full Monty, Billy Elliot, etc). Dans ces derniers, la comédie adoucissait la représentation dure de la chronique sociale. Ken Loach n'use pas de cet artifice. Il plonge la tête la première dans la pauvreté, l’âpreté du milieu ouvrier anglais des années 60. Le réalisateur n'était pas encore le chantre de la lutte des classes. Il se contentait alors de brosser le portrait du milieu ouvrier. Un milieu qui n'épargne personne même les enfants. Pas besoin d'aller chercher "l'ennemi" ailleurs. On se pourrit très bien entre nous. Alcoolisme, parent absent, travail des mineurs et dureté du système éducatif ( complément à If sorti un an auparavant). Châtiments corporels, brimades du corps enseignant et des camarades, etc. L’école de 1969 ne donnait pas envie. Ce n'est pas mieux dans la sphère familiale. L'échappatoire ne peut être qu'extérieure et personnelle.
Billy se découvre seul une passion: s'occuper d'un jeune faucon-crécerelle. Ce jeune ,harcelé à l’école comme à la maison, considéré comme un cancre par la majorité des professeurs, apprendra par lui dans les livres comment faire. Livre qu'il devra voler car l'institution refuse de lui prêter à cause de sa saleté . Il s'investit à fond, se découvre une opiniâtreté qu'il ne soupçonnait pas. Ses moments avec le faucon sont des bouées d'oxygène dans une vie anxiogène et merdique toute tracée. La scène ou mis en avant pour la première fois, il décrit à la classe son hobby, passionnant un auditoire qui habituellement ne cesse de le dévaloriser, est magnifique. L'éclaircie n'est que passagère et contrairement à un autre Billy sortant de la galère par l pratique de la danse, le Billy de Loach sera ramené à sa sinistre condition de la plus triste des manières. Le film réussit à raconter cela sans être doloriste ni plombant. un exploit !
C'est encore une fois la direction d'acteurs de Loach qui est admirable. Tout le casting est impeccable. La réalisation sans aucune recherche d’esbroufe est parfaite de simplicité et de limpidité. Le monde décrit est moche mais l'image est belle devant même poétique lors des Scènes de fauconnerie. Sans savoir pourquoi j'ai souvent pensé à un été chez grand père de Hou Hsiao-hsien. Peut être car j'adore ce film et qu'il était un de mes préférés sur l'enfance. Kes le rejoint.
Un très beau film.
891. torpedo31200
- 19/09/23 19:27
- (en réponse à : pm - post # 890)
Je n' irais pas en salles avec Murielle...
Et je crois qu' elle n' a pas compris le Petzold. Qui peut irriter mais pour d' autres raisons.
890. pm
- 19/09/23 12:26
- (en réponse à : Torpedo)
On en parle
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-midis-de-culture/debat-critique-que-va-t-on-voir-au-cinema-cette-semaine-2990869
889. pm
- 19/09/23 11:07
- (en réponse à : Torpedo)
Ça à la rigueur mais il n’y aurait certainement pas de retour au calme ensuite, ce que suggère la dernière scène.
888. torpedo31200
- 19/09/23 11:04
- (en réponse à : pm - post # 887)
Ca me semble réaliste, pour avoir grandi dans une cité et croisé un sniper (pas les deux en même temps, toutefois).
887. pm
- 19/09/23 09:39
- (en réponse à : Torpedo)
La fin du film a sa cohérence, sinon le début n’aurait pas de sens, j’aime le passage du prince dans la boite de nuit, mais le coup du tireur d’élite qui rétabli le calme de la cité est à la fois absurde, car pas du tout réaliste dans un film ultra pointu sur le réalisme, et amené avec de gros sabots.
Le Kaurismaki est sur ma short list, j’avais adoré Le Havre.
Je connais par coeur l’histoire de Pierre Goldman ( je conseille le Moynot à ce sujet, son meilleur livre, s’il est encore disponible) je verrai le film d’un oeil particulier.
886. torpedo31200
- 19/09/23 00:47
- (en réponse à : pm - post # 884)
La fin ne plaît pas, mais moi je l' aime beaucoup. Cohérente et politique.
Moins risqués vu les accueils critiques sur les deux prochains mercredis, le Kaurismäki et le Cédric Kahn.
885. froggy
- 19/09/23 00:46
- (en réponse à : Philippe)
Les films ou les montages jouent avec la geographie sont legion; de tete, il y a le generique de Frantic de Roman Polanski qui alterne les plans entre le boulevard peripherique nord et l'ex-boulevard circulaire de La Defense pour montrer l'arrivee d'Harrison Ford et de Betty Buckley a Paris venant de CDG.
Il y a aussi la poursuite en voiture de Ronin de John Frankenheimer qui te fait passer par tous les quartiers de la capitale sans aucun lien entre eux.
Dans Pas de probleme! de Georges Lautner, tu vois les Alpes en arriere plan de la soi-disant sortie d'autoroute pour Auxerre, situe en Bourgogne comme chacun sait.
Et plus recemment, dans l'avant-dernier Mission;Impossible, Fallout, Tom Cruise entre dans un petit immeuble a cote de la Nation pour sortir dans un edicule situe au Pont de Bir-Hakeim.
Mieux vaut en rire, n'est-ce pas?
884. pm
- 19/09/23 00:30
- (en réponse à : Torpedo)
J’ai vu le gang du bois du temple et j’ai trouvé ça moyen, ni bon ni mauvais. Ça tire du coté de Melville en moins brillant.
Intéressant par son réalisme, sauf la fin, téléphonée et dans laquelle je ne marche pas vraiment, la lenteur ne me gêne pas si elle a une utilité, ce qui n’est pas toujours le cas. Et des curiosités géographiques, le casse se passe près de Marseille ( panneau autoroutier indiquant Aubagne, Toulon, Nice), on sait que c’est près de chez eux, a priori en banlieue nord parisienne !
883. torpedo31200
- 18/09/23 15:22
- (en réponse à : pm)
Très agréablement surpris par le dernier Petzold Le ciel rouge/Roter Himmel. Qui a complètement changé de niveau sur ses 2 derniers films (Ondine en 2020), amha.
Je précise que la bande annonce ne fonctionne pas du tout (le sujet du film est impossible à résumer) et que j' y suis allé à reculons malgré la sublime Paula Beer et l' Ours d' argent à Berlin.
J'aime beaucoup Rabah-Ameur Zaïmeche (ah, l'accident du travail dans "Dernier Maquis" !) mais c'est vrai que c'est pas toujours facile à comprendre...
Je suis persuadé de l'avoir croisé dans le métro (sur le quai d'en face, une soirée où les quais étaient vides) mais j'étais sur le moment trop peu sûr de moi pour aller le saluer.
881. torpedo31200
- 14/09/23 11:22
- (en réponse à : pm - post # 838)
Vu Reality hier, grâce à toi (j' y allais à reculons car théâtre). Et c' est effectivement très bien.
Plus risqué et clivant (amha 1 chance sur 2 que tu n' aimes pas), Le gang du bois des temples de Rabah Ameur-Zaïmeche. Très bon film avec une vrai écriture. Mais beaucoup n' accrochent pas car lent et abstrait.
880. pm
- 13/09/23 17:39
- (en réponse à : Froggy)
Vu à sa sortie il y a donc 48 ans, je me souviens que c’était beau et étrange et que l’ami avec lequel j’ai vu le film était tombé amoureux de l’actrice anglaise Catherine Harrison au point de la rencontrer quelques mois plus tard.
Avez-vous eu l'occasion de voir Black Moon de Louis Malle sorti en 1975?
Aureole du succes de son film precedent, le tres derangeant Lacombe Lucien, le realisateur s'est lance dans cette entreprise qui a donne un resultat aussi bizarre qu'etrange, c';est le moins que l'on puisse dire. Je l'ai vu ici sur TCM il y a quelques annees et le resultat m'a laisse aussi dubitatif que perplexe. Je pense qu'il vaut mieux le voir dans une salle que sur un ecran de television afin de mieux etre dans le film qui est tres deconcertant. Il est evident que le film n'a eu aucun succes en salle et j'imagine volontiers des spectateurs quitter les seances. Le realisateur s'etait entoure d'une pointure en ce qui concerne la photographie puisque le DP n'est rien d'autre que Sven Nykvist, le legendaire DP de nombreux films d'Ingmar Bergman qui a aussi travaille avec Roman Polanski, Volker Schlondorff et Woody Allen.
Je vous en parle parce que ce film est programme en ce moment a Paris dans une retrospective des films du cineaste. Si vous avez l'occasion et si vous etes curieux, allez-y. Je me demande ce pourriez en penser.
Je crois que Sages-femme n’est p’us distribué sur Paris.
877. pm
- 12/09/23 20:09
- (en réponse à : Torpedo)
Tu n’as pas à être désolé et c’est toujours sympa d’avoir tes conseils.
Ça ne m’a pas vraiment plu, probablement que j’en attendais autre chose, mais c’est loin d’être un film nul.
Sur allociné les critiques sont bonnes, 3,5/5 pour les critiques presse.
876. torpedo31200
- 12/09/23 18:33
- (en réponse à : pm -post # 875)
Ok désolé que ça ne t' ai pas plu. Moi j' adore et je ne vois pas une seule scène faible ou inutile.
Mais j' ai lu des critiques moyennes, souvent pour la sobriété du sujet et l' aspect peu spectaculaire. Alors que moi j' étais très connecté au film dès le 3ème plan (l' entrée dans les vestiaires)
875. pm
- 12/09/23 15:49
- (en réponse à : Torpedo)
Vu « La beauté du geste » hier à Paris (sans choper de punaises de lit- fléau actuel des cinémas parisiens-!), et j’ai été déçu. Il y a de bonnes choses mais globalement je me suis ennuyé avec plein de scènes que je trouve inutiles ou pas très bonnes.
Je me souviens que j'avais decouvert Jean-Michel Ribes avec ce film de 1986, La galette du roi, une tres sarcastique comedie se moquant de la principaute de Monaco. La distribution y est brillante, ce qui fait que l'interpretation est excellente. Tristement, il n'y a plus grand monde de vivant parmi eux. J'avais enormement ri quand je l'ai vu, je ne sais pas ce que cela vaut maintenant.
Par contre, ses Breves de comptoir auraient du rester dans Palace, parce que le film qu'il en a fait n'est pas tres bon pour ne pas ecrire ennuyeux, malgre, la aussi, une brillante distribution.
Après avoir vu la moitié du sketch posté par Bert, le vieux con est en effet complètement hermétique à ce type d’humour pas drôle qui ne me fait pas même sourire.
Il y a eu une (tres longue) serie de pubs pour une assurance ou Marcel Philippot, le client jamais content de Palace, demandait le directeur, toujours Philippe Khorsand, pour dire qu'il voulait tel ou tel avantage, et il lui répondait systématiquement qu'il l'avait déjà, voire mieux. Comme les sketches originaux, quoi, mais sans le cote absurde. Egalement realises par Ribes, dans les memes décors.
Outre Valerie Lemercier, Palace a fait connaitre aussi Francois Morel, qui jouait le groom. Et le Professeur Rollin. Et lance la serie des breves de comptoir, dites par Jean Carmet.
Et tu as surement vu Palace sur France 2 mais ca a d'abord été diffuse sur Canal.
En revanche, je croyais que t'etais parti en 1985. Parce que c'est plus tardif.
Le metteur en scene italien Giulano Montaldo est decede hier. Je ne connais pas bien son oeuvre a part Sacco et Vanzetti ou quand le cinema transalpin faisait des bons films a these, tres rarement en France a l'epoque, le film date de 1971. Il y avait aussi les films d'Elio Petri et de Francesco Rosi avec souvent Gian-Maria Volonte dans le role principal. Sacco et Vanzetti raconte la triste destinee de ces deux hommes injustement accuses d'un hold-up aux USA dans les annees 20 et qui furent condamnes a la chaise electrique. Pour la circontance, Ennio Morricone avait compose une chanson interpretee par Joan Baez qui fut un grand succes a l'epoque, on l'entendait partout a la radio.
Je ne connais pas l'influence de Palace sur les publicites en France. Il faut dire que sur la fin, je ne la regardais quasiment plus a part les films sur France 3 et le Cine-Club de Claude-Jean Philippe, je n'avais pas Canal + et je ne voulais pas m'astreindre a regarder une serie tele pour conserver ma liberte de sortir quand je voulais. Ce n'est qu'exceptionnellement que je regardais un film sur TF1 dont je ne supportais pas les coupures publicitaires au milieu et le pan and scan qui reduisait le format ecran large. Je me souviens qu'ils avaient ose diffuser Le jour le plus long colorise, en format reduit, double en francais et en 2 parties sur 2 soirees. Quelle abjection pour faire de l'audience!
Sur le disque d'Adjani, je ne peux pas dire que ce n'est pas bien, je l'ai ecoute en boucle tellement souvent pendant des apres-midi entieres. Apanage de la jeunesse qui ne se lasse jamais d'ecouter un meme disque pendant un certain temps avant de passer au suivant au risque de rendre fou son entourage. Que celui qui n'a jamais fait ca me jette la premiere pierre! :-))
864. pm
- 06/09/23 17:27
- (en réponse à : Froggy)
Je n’ai jamais aimé Palace… ( ni l’album d’Adjani écrit par Gainsbourg, qui ne s’était pas trop cassé).
863. pm
- 06/09/23 17:24
- (en réponse à : Torpedo)
Le film use souvent de gros plans, généralement je n’aime pas trop ce procédé mais là c’est fait avec maestria, ça révèle beaucoup.
Et le film ne tranche pas entre les deux thèses, ce que je trouve très bien car c’est la différence entre réalité et conviction. La justice, comme les humains, doit être convaincue mais ça ne dit pas nécessairement la réalité, raison pour laquelle on a introduit le doute, qui, en droit doit profiter à l’accusé.
860. pm
- 06/09/23 12:47
- (en réponse à : Torpedo)
C’est justement à cause de cette référence que je n’aime pas tellement le titre.
Noté pour sages femmes mais il y a la beauté du geste sue tu m’avais conseillé et j’aimerai voir avant.
859. torpedo31200
- 06/09/23 12:17
- (en réponse à : pm)
Le film est prevu de sortir aux USA le 13 octobre. Sortira-t-il a Washington? Rien n'est moins considerant que depuis la pandemie, le seul cinema de Washington specialise dans l'art et l'essai, les independants et les films etrangers ne joue plus les blockbusters hollywwodien. De surcroit, e partirai en vacances le 11 pour 2 semaines et si il sort, sera t-il encore a l'affiche quand je serai de retour?
Suspense infernal!
J'ai lu que le dernier Polanski presente a Venise fait l'unanimite contre lui, c'est epouvantable. Cela s'appelle The Palace et c'est une satire des gens riches dans un hotel de luxe a Gstaad en Suisse le soir du reveillon du 31 decembre 1999. Peut-etre aurait-il du engager Jean-Michel Ribes, l'auteur de l'excellente serie tele de la fin des annees 80 avec le meme theme, cela s'appelle Palace et j'adorais. Si vous ne l'avez jamais vue, je ne peux que vous la recommander, c'est une des rares que j'ai vues avant que je ne quitte la France. La distribution y est brillante, si ce n'est etincelante puisque le who's who du cinema francais y a joue.
Si vous etes bien sages, un jour je vous raconterai mon lien avec cette serie, un de mes plus beaux souvenirs et une des plus belles soirees de ma vie, purement et simplement.