Gaston Lagaffe

Les 470 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



220. froggy - 08/03/17 15:48 - (en réponse à : Philippe)
si je comprends bien, tu n'iras pas voir ton fils le temps du trumpism?

219. pm - 08/03/17 01:19 - (en réponse à : froggy)
Bon à savoir pour la collection Barnes. A programmer pour l'après Trump.
De mon coté j'ai complété Chtchoukine par un séjour à St Pétersbourg ( L'Hermitage mais aps seulement ) pour mon soixantenaire.

218. froggy - 07/03/17 15:18 - (en réponse à : Philippe)
Je n'ai pas rate l'exposition Chtchoukine. Magnifique! C'est le moins que l'on puisse ecrire. Mais dans le meme genre de grandes collections privees constituees a la meme epoque, il faut voir la collection Barnes qui se trouve a Philadelphie. Je pense qu'elle est encore plus belle. Le seul probleme maintenant est qu'il faut y aller pour la voir, aucun tableau ne peut en sortir. Cela vaut le voyage, je t'assure.

217. pm - 07/03/17 01:10 - (en réponse à : froggy)
Pas d'accord, l'expo de Beaubourg est très sympa et il y a tout de même quelques très beaux originaux, et des facs similés. Pas très ambitieuse mais vraiment sympa comme petite expo gratuite ( pas du tout du niveau de celle de La Vilette c'est vrai ), le contraire de celle d'Hergé qui était pompeuse et ratée, quasi aucune scénographie, quelques très belles planches et crayonnées mais rien à hauteur d'enfant, très bien pour le fan que je suis mais qui n'amène pas le grand public.
De toutes les façons si tu étais de passage à paris il ne fallait pas rater l'expo Chtchoukine de la fondation Louis Vuiton dont c'était les derniers jours il me semble, mais ceci nous éloigne de la BD... mais pas du graphisme.

216. herve - 06/03/17 19:31 - (en réponse à : froggy)
l'expo d'il y a une quinzaine d'année à La Villette était en effet pas mal.
On avait organisé, à cette occasion, un samedi expo avec certains bdparadisiens.

215. froggy - 06/03/17 19:18
De passage a Paris, j'ai vu l'expo Gaston Lagaffe a Beaubourg ayant rate celle d'Herge l'automne dernier.

Pour faire court, elle est nulle et pathetique. Il y a tres peu de planches originales, l'essentiel etait constitue de reproductions en grand format de planches ou cases de Gaston en couleur en plus alors que le noir et blanc aurait mieux montre a quel point Franquin etait un genie de la BD a un public neophyte en la matiere.

Si vous y etiez alle, l'expo Franquin a La Villette il y a un quinzaine d'annees etait nettement meilleure. J'aurai du rester sur ce beau souvenir.

Bref, a eviter.

Coincidence amusante, j'y etais le 28 fevrier. Un joli hasard. La seule bonne chose de cet apres-midi. Avec la decouverte d'un livre sur Delporte que je ne connaissais pas signe par les Pissavy-Yvernault, je sens que je vais le prendre un de ces jours, il etait quand meme une sacree pointure, a cotoye les plus grands et a fait du journal de Spirou (ami, partout, toujours) le meilleur journal de BD de son epoque.

214. marcel - 01/03/17 18:06
Au fait, avec un jour de retard : Bon anniversaire, Gaston !

213. marcel - 17/03/15 10:15
Annonce pour 2016, un film live de Gaston, realise par Pierre-Francois Martin-Laval, qui a deja adapte Les profs et du Petillon/Rochette avec King Guillaume.
Je dis ca, je dis rien...

212. pierrecédric - 01/12/14 00:18
J'ai jamais vu l'anime mais en zieutant je me rends compte qu'ils n'ont pas utiliser la old school (ou disney moderne) pour les mouvements.
Putain, c'est vraiment les mouvements que je n'aime pas, presque du style South Park ou Archer quoi.

211. pierrecédric - 14/11/14 18:49
... non 30 et 60 c'est plutôt pour les images de jeux ou d'informatique apparemment, 30 max pour l'US et le Japon en anime.

210. pierrecédric - 14/11/14 18:41
Remarque aussi que faire bouger le chat mieux que dans la BD, c'est pas évident non plus...
Dèja Franquin est plus ou moins le pape du mouvement sur images fixes, mais les séquences avec le chat de Gaston (et en particulier quand il pourchasse la gomme) sont probablement ce qu'il a fait de plus réussi en ce domaine.
Alors même avec 24 images/secondes, pour pouvoir s'aligner il faut se lever tôt!


Tiens Lien Rag, maintenant c'est 25 la norme en Europe et à ce qu'il paraît c'est entre 30 et 60 aux U.S et au Japon, voir ici.
Sinon 60 images par seconde ça paraît plus fluide mais la différence ne semblera jamais vraiment énorme aux yeux des téléspectateurs, voir inutile.

209. Odrade - 28/02/14 08:44
Les mains et la tête qui clochent, c'est bizarre, en effet.
Par contre, les animaux sont bien de Franquin, je pense.

Bon... on peut pas trop leur demander, c'est déjà sympa qu'ils y aient pensé :o/
Ma première réaction a été : WAH cool !


O.

208. pierrecédric - 28/02/14 00:43
Mh, la mise en couleur un petit peu la tronche de Gaston et le fait qu'il lui manque un oide...
Je ne vois que ça, assez réussi le matou.

207. Victor Hugo - 28/02/14 00:33
Google fête les 57 ans de Gaston avec un dessin immonde. Qui est le nullard qui a pondu cette merde? Quelle bande de cons!

206. suzy - 12/04/12 11:45
Les textes de wiki plus bas indiquent qu'un état indien avec frontière était proche d'exister ... à un moment. Dommage.

205. Achab - 12/04/12 11:40 - (en réponse à : Suzy)
Oui, le cheval a d'ailleurs eu son importance dans la réussite de la conquête du Mexique par les espagnols.

Les futurs indiens des plaines ont quand même montré une capacité d'adaptation assez étonnante.

204. suzy - 12/04/12 11:27 - (en réponse à : achab)
Je suis très intéressé par tous ces peuples et par les transitions. Je regrette de ne pas avoir assez lu à ce sujet. Même si la vision du "village" de tepees et les indiens à cheval sont fantasmées et temporaires, cela n'empêche en rien l'attirance et le regret de ne jamais pouvoir avoir vu cela. (;o)

Pour le cheval, il a été introduit par les Espagnols non? Assez tôt d'ailleurs. Les indiens des plaines l'avaient domestiqué bien avant la "conquête de l'Ouest".

203. pierrecédric - 12/04/12 10:23
^^, amusant, parler longuement des cow-boys et des indiens dans du Gaston Lagaffe...

202. Achab - 12/04/12 10:17 - (en réponse à : Suzy)
Bien sur, qu'il y avait des indiens dans les grandes plaines avant l'arrivée des européens, mais d'une part ils ont été surclassés par les envahisseurs indiens du nord-est américain (ce qui met d'ailleurs à mal ta vision selon laquelle les indiens ne se faisaient pas la guerre entre eux), d'autre part, l'introduction du cheval à considérablement modifier le mode de vie de toutes ces populations déplacées.

D'ailleurs dans un Yakari, "le premier galop" je crois, il est fait mention d'un passé légendaire où les mustangs ne parcouraient pas la plaine. Mais de toute façon, Yakari occulte volontairement toute notion de colonisation et se présente comme une parenthèse isolée... une période éphémère figée artificiellement par la magie de la BD...

Mais ce que je dis, c'est que cette culture de l'indien "à la Yakari" n'aurait pas existée sans la colonisation européenne, et que donc en pleurer la perte à quelque chose paradoxal : c'est ce qui a causé son émergence qui l'a aussi perdu, c'était donc inévitable...

Bon, ça nous éloigne pas mal des similitudes entre western et samouraïs, mais à la limite, on pourrait très bien raconter une histoire sur la résistance des Aïnous face à la colonisation des japonais, et on retrouverais une opposition classique du type cow-boys/indiens...

201. suzy - 11/04/12 23:51 - (en réponse à : hervé)
ratta
et bienreviendu Hervé! On t'attends sur le sujet de vos lectures! Tu dois en avoir plein depuis le temps! (;o)

200. herve - 11/04/12 20:04
Yatttttttttaaaaaaaaa

199. suzy - 11/04/12 18:47
Tiens, en revenant sur la BD, j'ai l'album N&B COMANCHE MOON de 1980 avec Quanah Parker (voir texte ci-dessous), le dernier chef Comanche libre! Superbe couverture d'ailleurs! Pas facile à trouver notamment en bopn état.

198. suzy - 11/04/12 18:43 - (en réponse à : toujours selon wiki)
Les Comanche qui faisaient partie des Shoshones sont eux vraiment des indiens des plaines tout comme les Apaches qu'ils chassèrent! (;o)

"Les Comanches ont émergé comme un groupe distinct peu avant 1700, lorsqu'ils se sont détachés des Shoshones vivant le long de la partie supérieure de la Platte River au Wyoming. Ceci coïncide avec leur acquisition du cheval, qui leur a permis une plus grande mobilité dans leur recherche de meilleurs terrains de chasse. Leur migration originale les a menés vers les plaines centrales, d'où ils se déplacèrent vers le sud sur un territoire s'étendant de l'Arkansas River au centre du Texas. Pendant ce temps, leur population augmenta de manière importante grâce à l'abondance de bisons, une affluence de migrants shoshones, et l'adoption d'un nombre significatif de femmes et d'enfants faits prisonniers dans les groupes rivaux. Néanmoins, les Comanches n'ont jamais formé une entité tribale unie, et étaient divisés en une douzaine de groupes autonomes, qui partageaient les mêmes langue et culture, mais qui pourraient s'être battus entre eux aussi souvent qu'ils ont coopéré. Ces groupes étaient très souples, et se sont souvent unis et séparés, selon les circonstances.

Le cheval a été un élément clé de l'émergence d'une culture comanche spécifique. On a même suggéré que c'est la recherche de nouvelles sources d'approvisionnement en chevaux parmi les colons mexicains du sud (plutôt que la recherche de nouveaux troupeaux de bisons) qui a d'abord mené les Comanches à se séparer des Shoshones. Les Comanches pourraient même avoir été le premier groupe amérindien des Plaines à complètement inclure le cheval dans leur culture, et ont peut-être aussi introduit le cheval auprès des autres peuples des Plaines. Vers le milieu du dix-neuvième siècle, ils fournissaient des chevaux aux commerçants et aux colons français et américains, et ensuite aux migrants traversant leur territoire sur la route de la ruée vers l'or californien. Beaucoup de ces chevaux étaient volés, et les Comanches acquirent bientôt une réputation de formidables voleurs de chevaux et plus tard de bétail. Leurs victimes comprenaient les colons espagnols et américains, ainsi que les autres tribus des Plaines, ce qui menait souvent à la guerre. Ils étaient des adversaires redoutables, qui développèrent des stratégies complètes pour le combat à cheval avec des armes traditionnelles.

En fait, la guerre était une part essentielle de la vie des Comanches. Leur émergence au tournant du dix-huitième siècle et leur migration vers le sud les mit en conflit avec les Apaches, qui vivaient déjà dans la région et qui commencèrent à migrer vers le Texas et le Nouveau-Mexique, dominés par les Espagnols. Pour tenter d'empêcher les incursions apaches, les Espagnols leur offrirent de l'aide dans leurs guerres contre les Comanches, mais ces efforts échouèrent la plupart du temps, et les Apaches durent quitter les Plaines du Sud vers le milieu du siècle. À ce moment, les Comanches dominaient l'aire entourant le Texas Panhandle, incluant l'ouest de l'Oklahoma et le nord-est du Nouveau-Mexique.

Les Comanches maintinrent des relations ambi guës avec les Européens et ensuite les Américains tentant de coloniser leur territoire. Ils étaient appréciés en tant que partenaires commerciaux, mais ils étaient également craints pour leurs raids. De même, les Comanches ont été en guerre à un moment ou à un autre avec chacune des tribus des Grandes Plaines, laissant ainsi la possibilité aux puissances coloniales européennes et aux États-Unis de manipuler politiquement les groupes rivaux. À un moment, Sam Houston, le président de la République du Texas naissante, a failli réussir à signer un traité de paix avec les Comanches, mais ses efforts furent détruits lorsque le pouvoir législatif texan refusa de créer une frontière officielle entre le Texas et le territoire comanche.

Alors que les Comanches parvenaient à maintenir leur indépendance et même à agrandir leur territoire, ils passèrent près de l'annihilation au milieu du dix-neuvième siècle à cause de la vague d'épidémies introduite par les colons blancs. Les épidémies de petite vérole (1817, 1848) et de choléra (1849) coûtèrent très cher en vies humaines aux Comanches, dont la population chuta d'environ 20 000 au milieu du siècle à seulement quelques milliers vers 1870.

Les efforts pour déplacer les Comanches dans des réserves commencèrent à la fin des années 1860 avec le Traité de Medicine Lodge (1867), qui leur accordait des églises, des écoles et un revenu annuel en échange d'un vaste morceau de terrain dépassant les 160 000 km². Le gouvernement promit d'arrêter les chasseurs de bisons, qui décimaient les grands troupeaux des Plaines, à condition que les Comanches, avec les Apaches, les Kiowas, les Cheyennes et les Arapahos, s'installent dans une réserve de moins de 13 000 km² de superficie. Pourtant, le gouvernement ne parvint pas à empêcher les chasseurs de bisons de massacrer les troupeaux, ce qui amena les Comanches, menés par Isa-Tai (White Eagle) à attaquer un groupe de chasseurs dans le Texas Panhandle lors de la Bataille de Adobe Walls (1874). L'attaque fut un désastre pour les Comanches, et l'armée fut appelée pour ramener les Comanches restants dans la réserve. En à peine dix ans, les bisons furent sur le point de s'éteindre, mettant fin au mode de vie des Comanches en tant que chasseurs. En 1875, le dernier groupe de Comanches libres, dirigé par un guerrier Quahadi nommé Quanah Parker, capitula et partit pour la réserve de fort Sill dans l'Oklahoma.

Entre-temps, le gouvernement négocia le Jerome Agreement (1892) avec les Comanches, les Kiowas et les Apaches, réduisant encore leur réserve à 1940 km² pour le prix de 308,88 dollars par kilomètre carré. Chaque tribu obtint un territoire correspondant à un lopin de terre de 0,6 km² par membre de la tribu. En 1906, on accorde de nouveaux lopins de terre à tous les enfants nés après le Jerome Agreement, et la terre restante fut ouverte à l'installation des colons.

Les Comanches n'étaient pas préparés à la vie dans un système économique occidental moderne, et beaucoup perdirent ce qu'il restait de leur terre et de leurs possessions. Pendant la Seconde Guerre mondiale, beaucoup de Comanches quittèrent les réserves en Oklahoma à la recherche d'opportunités financières dans les villes de Californie et dans le sud-ouest. Aujourd'hui, ils font partie des peuples amérindiens les mieux éduqués des États-Unis. Près de la moitié de la population comanche habite toujours en Oklahoma, autour de la ville de Lawton. C'est le lieu du pow-wow annuel, lorsque les Comanches de tout le pays se réunissent pour célébrer leur héritage et leur culture."

197. suzy - 11/04/12 18:35
Alors dans la série je me cultive avec wiki ... il y avait tout de même d'autres tribus dans les grandes plaines avant que les Sioux plus nombreux ne les chassent!

"Les Français furent les premiers Européens à rencontrer les Sioux, sur la façade occidentale du lac Supérieur, dans les États actuels du Minnesota et du Wisconsin. À l'époque de ces premiers contacts, dans les années 1670-1680, les Sioux étaient sédentarisés en gros villages ; ils alternaient la culture du maïs, la cueillette du riz sauvage et la chasse aux bisons, présents alors dans les clairières du Haut-Mississippi.

Au cours du XVIIIe siècle, les bandes sioux, probablement chassées par les conflits alors endémiques autour des Grands Lacs et le développement des épidémies qui décimaient les tribus voisines, commencèrent leur migration vers l'Ouest. Ce mouvement au-delà du Mississippi était également motivé par l'abondance du bison et par l'apparition du cheval, venu des plaines du Sud, où les Indiens l'avaient adopté lorsqu'il était apparu avec l'arrivée des Espagnols, au XVIe siècle.

Au cours du XVIIIe siècle, les tribus sioux se constituèrent un véritable «empire» dans l'Ouest en repoussant les Crows (Corbeaux en français) vers les Montagnes Rocheuses, et les Panis sur la rivière Platte. Ils apparaissent dans les récits pour la première fois en 1650 dans la région des lacs Milles et Leech à proximité du Mississippi, dans le Minnesota. Les frontières de leur nouveau territoire étant à un jour de marche du lac Supérieur. Sous la pression des tribus Ojibwé (parmi les premiers à obtenir des armes à feu), ils se déplacèrent à nouveau plus à l’ouest, poussant devant eux les Cheyennes, les Omahas, les Corbeaux et d’autres tribus plus petites. Ils envahirent rapidement tout l’ouest et le sud-ouest du pays après l’acquisition de chevaux et de fusils.

Vers 1750, ils traversèrent le Mississippi et envahirent les Collines noires
L'expédition Lewis et Clark, au début du XIXe siècle, permit aux américains d'approfondir leurs connaissances sur les Sioux. À l'arrivée des colons américains dans les Grandes Plaines, dans les années 1830-1840, les Sioux occupaient ainsi un vaste territoire qui s'étendait depuis le Missouri jusqu'aux monts de la Little bi ghorn (les actuels États du Dakota du Nord et du Dakota du Sud), ainsi que sur une partie du Minnesota, du Wyoming et du Nebraska. Dans cette conquête, la Confédération sioux s'est alliée aux Arapahos et aux Cheyennes ; cette alliance, qui perdura tout au long du XIXe siècle, faisait des Sioux la puissance militaire la plus imposante des Plaines du Nord."


196. suzy - 11/04/12 18:20 - (en réponse à : achab)
sans déc? ... et Yakari alors?

195. pierrecédric - 11/04/12 16:29
Ah, les documentaires sur Arte, quelles petites perles d'informations...^__^

194. Achab - 11/04/12 16:21
Est-ce que tu te rends compte que l'indien des plaines tel qu'il apparaît dans le western est le produit de 200 ans de colonisation de l'Amérique du Nord par les européen ?
Pas du tout une culture ancestrale.
Les sioux vivaient sur les rives des Grands Lacs quand les français les ont rencontrés pour le première fois. Ils ont migrés vers l'ouest, chassés de leurs terres, et ont adapté leur mode de vie.
Une culture issue de la colonisation et détruite par la colonisation... presque une culture artificielle en somme...

193. suzy - 11/04/12 15:35 - (en réponse à : achab)
Ah non pas d'accord. L'améridien est mythique. On ne remplace pas! Mon coeur saigne encore à chaque fois que je réalise que je ne verrai jamais un véritable campement d'indiens des plaines!

192. suzy - 11/04/12 15:33 - (en réponse à : marcel)
Les Hans Kresse, je n'en ai pas lu depuis qq temps. Et puis surtout je les ai toujours lus séparément. Faudrait que je les relise ... même si ce ne sont pas de véritables Western!

191. Achab - 11/04/12 14:46 - (en réponse à : Suzy)
L'emplumé, c'est juste "l'autre", une incarnation de l'altérité.
Selon le récit et la manière dont il est mené, ce rôle peut être joué par n'importe quoi.

190. marcel - 11/04/12 14:41
Et ca fait longtemps que tu les as pas lus, tes Peaux-rouges ?... J'ai un vague souvenir de jeunesse, j'aimais beaucoup le dessin, mais je ne me souviens pas si le scenar etait bien.

189. suzy - 11/04/12 14:27 - (en réponse à : achab)
mais alors où sont les emplumés?

188. suzy - 11/04/12 14:25
même chose pour "Histoire du Far West" chez Larousse avec certains épisodes dessinés par Serpieri!

187. Achab - 11/04/12 14:23 - (en réponse à : Suzy)
Le problème c'est que tu compares les samouraïs aux indiens, alors qu'il faudrait plutôt les comparer aux cow-boys.
Le ronin avec sont sabre, c'est l'archétype du cow-boy solitaire avec son revolver.
La maison de geisha, c'est le saloon.
Les méchants samouraïs du daïmyo local, ce sont les vachers du grand propriétaire terrien du coin.
Etc...

Le reste c'est du decorum.

186. suzy - 11/04/12 14:23 - (en réponse à : marcel)
Non seulement j'ai lu les "Peaux Rouges" de Hans Kress mais en plus j'ai les 7 premiers tomes en EO et plutôt TBE! (;o)

185. pierrecédric - 11/04/12 14:19
Ah, en faisant une comparaison (parodique) de Gaston, on voit bien la différence de... 'fin une différence notable entre les ayants droits de Franquin et de ceux d'Hergé ici.

Moui, apparemment Franquin laissait plus de liberté que Hergé, enfin à ce que dit cet article (blog, ou autre).

184. marcel - 11/04/12 14:15 - (en réponse à : suzy)
En parlant de western, t'as lu Les peaux-rouges de Kresse ?... C'etait chez Casterman. Ca serait quand meme cool qu'ils nous fassent une petite integrale de ca.

183. suzy - 11/04/12 14:07 - (en réponse à : Mr. D)
Dans les "westen", les amérindiens se battent principalement contre l'envahisseur balnc. Pas tellement entre eux. Pas souvent en tout cas. Et puis il y a des histoires avec et sans indiens. Parfois même sans cow-boys. Parfois avec ou sans cavalerie. Avec ou sans pionniers, dans les grandes plaines, dans les déserts ou dans les rocheuses. A la frontière mexicaine ainsi qu'à différentes périodes également. Bref c'est tout de même très varié. Y a-t-il toutes ses possibilité avec les Samouraïs? A la limite la période qui me plairait serait justement la fin des Samouraïs. Mais cela on en a déjà parlé.

182. suzy - 11/04/12 14:02 - (en réponse à : longshot)
... je sais bien q'il s'agit des bureaux du journal Spirou! M'enfin je ne suis pas aussi aculturé que cela! (;o) ... mais les auteurs auraient peut-être gagné à faire sortir Gaston de façon plus systématique ou même de façon carrément définitive.

181. suzy - 11/04/12 13:59
Il eut fallu que j'aie des Playmobils "samouraïs" alors?

180. longshot - 11/04/12 13:58
Je n'ai jamais franchement accroché à Kogaratsu, ni à Lone Wolf & Cub... Par contre j'avais bien aimé un truc intitulé « Kaze, cadavres à la croisée des chemins », de Vincent Dutreuil, adapté d'un roman de Dale Furutani. Voilà ce que j'en avais écrit à l'époque : Sur le principe je ne suis pas fan des adaptations, mais le sujet m'intéressait et le dessin m'a plu... Finalement, j'ai bien aimé, il y a un côté vieux roman policier, façon Conan Doyle ou Agatha Chrisitie, avec un personnage qui enquête sur une mort mystérieuse, le fameux cadavre du titre, retrouvé à la croisée des chemins... Le tout dans l'ambiance pas du tout SherlokHolmesque, elle, du Japon médiéval, avec ses ronins, ses brigands, et toute la galerie de personnages de l'époque.

Et sinon, Suzy, l'univers d'« adultes urbains » de Gaston, faut pas oublier que c'est celui de la rédaction de Spirou ! Difficile de la situer dans les grandes étendues sauvages du Far West...

179. Mr Degryse - 11/04/12 13:56
C'est bizarre car pour moi on a exactement les mêmes archétypes que pour les westerns. Adorant les westerns, je plonge avec avidités dans les bonnes lectures ou visionnages de Samourai

178. suzy - 11/04/12 13:04 - (en réponse à : marcel)
Kogaratsu est l'archétype de la BD de samouraï qui me fait justement laisser ce thème de côté. C'est chiant à mourir. Enfin de mon point de vue de lecteur. Je peux pas lire plus que qq pages de ce genre de BD. J'y peux rien. C'est une répulsion physique je crois. That's life Budy!

177. marcel - 11/04/12 13:00 - (en réponse à : suzy)
T'as jamais lu Kogaratsu ?... Ou le premier Tako, qui est tres bien ?

176. pierrecédric - 11/04/12 12:30
Nan mais en gros, c'est un peu à quoi ça fait penser mais bon.

175. suzy - 11/04/12 12:25 - (en réponse à : PC)
Les collants ce n'est pas du Folklore! C'est une tradition. Nuance! (;o)

174. pierrecédric - 11/04/12 12:23
^^, les super héros avec leurs costumes sortant tout droit d'un club SM... XD

173. suzy - 11/04/12 11:52 - (en réponse à : stephan)
Ce n'est pas tellement la vie des samouraïs que je ne peux blairer mais plutôt tout le tintouin classique qui va trop souvent avec. Je sais j'ai sans doute lu les mauvais albums. Mais qd même. Le samouraï indissociable de son sabre. Le couple étant forcément imbattable. Les aspects de spiritualité galvaudés qui vont avec ... c'est du folklore à deux balles.

... oui comme les Western! (;o)

172. Achab - 11/04/12 11:49
euh oui... ça devrait...

171. suzy - 11/04/12 11:46 - (en réponse à : achab)
Soit! Alors peut-être ai-je un besoin d'identification tout au moins d'attirance. Un animal me laisse froid, même s'il pense et agit comme un homme. Bon, faut que je lise Maus, possible que cet album aura un impact.



 


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