Made in Japan

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134. nem° - 18/09/10 18:14
Elles hurlent pas tant que ça, c'est plutôt des couinements aigüs, entre l'orgasme et le gémissement de douleur contenu. Tout poru émoustiller le salaryman frustré et un peu ensaké.

133. larry underwood - 18/09/10 18:11
ah tiens je me demandais justement si les japonaises en groupe poussaient bien ces hurlements hystéro de fillettes au premier rang d'un concert de Roch Voisine à la moindre chose sensée être "spectaculaire" (un reflet de feu d'artifice, un ballon d'eau qui éclate en slow-motion, la vidéo accélérée d'un arbre sortant du sol.) Il semblerait que oui ;o).

132. nem° - 18/09/10 18:08
machines à tasser la terre

Marteaux-pilons, Danyel-san, marteaux-pilons. *s'incline en s'excusant de son inexcusable impolitesse*

131. nem° - 18/09/10 18:07
Le coup du Pierre-Cédric jap qui s'excuse au mégaphone, très bon aussi :)

130. nem° - 18/09/10 17:50
un gyrophare portatif

Ca fait rire mon cerveau rustre d'occidental.

129. Danyel - 18/09/10 17:49 - (en réponse à : Pollution sonore nocturne.)

Je suis quand même particulièrement impressionné par la capacité des Japonais à faire une totale abstraction des agressions sonores. Je reviens souvent sur ce constat mais j’en ai encore eu un exemple frappant ce vendredi.

Quand, à mon grand désespoir, j’aperçois en face de chez moi sur le coup de 20h, une légion de types en gilet fluo casqués qui prennent leur dîner sur le trottoir au milieu d’engins et de matériels de chantier, entourés de signaux lumineux, c’est signe que des travaux vont avoir lieu sur la voie publique et me pourrir la nuit.
En effet, pour ne pas déranger messieurs les automobilistes, ces travaux se déroulent de nuit, de préférence le week-end. Ainsi, à partir de 22h30, c’est concert de marteaux piqueurs, de pelleteuses, de machines à tasser la terre, etc. Puis tout s’arrête. Quand on repasse le lendemain sur les lieux du crime, tout a disparu et les indices du forfait sont plutôt maigres. C’est a peine si on remarque que le trottoir a été regoudronné sur un tronçon de… 10m2.
La brigade du bruit reviendra une autre fois, exactement au même endroit, pour continuer le travail. La mairie fait tourner les entreprises pour donner du boulot à tout le monde. Résultat, au lieu de commencer et de finir le travail, chacun en fait un petit bout.
Le plus dingue, c’est qu’aucun riverain ne se plaint. Heureusement que les travaux ne se déroulent pas au pied de mon immeuble. J’ai déjà plus que mon compte avec la caserne des copains de Pîpo-kun et leurs patrouilles nocturnes en patokâ (contraction de « patrol car » en japenglish).
Quand même, que dire d’une ville qui fait passer la bagnole avant le sommeil de ses habitants ?

Changement de sujet.

Quand on achète une glace ou un plat surgelé dans un magasin japonais, après le passage en caisse, on peut aller remplir un petit sac de paillettes de glace à une machine pour y glisser ses achats le temps de rentrer chez soi. C’est ce que j’ai fait pour la première fois cette semaine. D’emblée, elles m’ont paru bizarres ces paillettes.
A la sortie de la machine, elles étaient fumantes. J’en ai fait tomber quelques unes sur mes mains, elles m’ont donné une sensation très désagréable de brûlure. J’ai dû doubler le sac de plastique pour pouvoir manipuler mes achats.
De retour à la maison, je vide le sac dans l’évier et je fais couler de l’eau pour accélérer la fonte.
Et là, ô surprise, un brouillard digne du Mont Fuji, prend forme dans l’évier. Je réalise alors que ces paillettes sont les mêmes que celles utilisées au cinéma ou dans les concerts de métal pour créer artificiellement un effet de brouillard. Le genre de truc qui me faisait fantasmer quand j’étais môme. Notamment parce j’avais bien remarqué que ce brouillard restait toujours au ras du sol et que quand les acteurs se déplaçaient, les volutes les entouraient paresseusement comme dans les vieux Dr Strange de Steve Ditko (oui, j’avais de la culture quand j’étais gosse).
Bref, tout ça pour dire qu’au lieu de me précipiter sur ma glace au thé vert, j’ai passé le quart d’heure suivant tout excité à reconstituer l’ambiance du chien des Baskerville dans mon évier, à touiller le brouillard d’un doigt démiurgique, et à essayer vainement d’intéresser ma femme cette activité qui n’amuse plus aucun gamin japonais depuis l’invention de la glace.

128. Danyel - 18/09/10 16:57 - (en réponse à : Le feu d'artifice du fleuve Sumida.)

Il va sans dire que cet événement estival attire une foule considérable.
La ligne de métro qui conduit sur les lieux est déjà saturée bien avant l’heure du spectacle, les wagons sont près d’exploser, mais l’ambiance est joyeuse.

Un Japonais respectueux de la tradition ne saurait assister à un feu d’artifice autrement que vêtu d’un yukata. Les wagons sont donc remplis de jeunes femmes portant ce kimono d’été décoré de couleurs et de motifs chatoyants, la taille serrée dans un obi aux couleurs vives, des fleurs et des décorations dans les cheveux, le visage soigneusement maquillé.
Les garçons ne sont pas en reste puisqu’ils sont nombreux à porter la version masculine du yukata. Pour eux, les couleurs se limitent au noir et au gris foncé. Comme une préfiguration de l’uniforme de salaryman qui les attend.
Les jeunes femmes ont toutes d’adorables petits baluchons de tissu aux plis et aux motifs traditionnels.
Tout ce petit monde a chaussé les geta sans quoi la tenue ne serait pas complète. Ces socques rustiques aux semelles de bois surélevées font des « plop plop » caractéristiques à chaque pas et participent de l’ambiance.

Nous arrivons à la station de métro qui dessert le vieux quartier d’Asakusa, non loin du fleuve Sumida.
Dès la sortie, une horde policière mégaphonique accueille les spectateurs sous un flot de décibels enragés. Chaque policier hurle courtoisement ses indications pour aider le troupeau à se diriger. Le Japonais aime bien être assisté, sans cela il est vite perdu, dans tous les sens du terme.
Dans les couloirs, le son se réverbère dans tous les sens, les voix se superposent les unes aux autres, la cacophonie est assourdissante. Je constate que certains policiers sont munis de mégaphones, d’autres de simple porte voix en plastique. Je me demande si le privilège des premiers à se faire mieux entendre a quelque chose à voir avec la hiérarchie fliquière.

En prévision de la cohue à la fin du spectacle, je me dis qu’il serait sage d’acheter dès à présent mon billet de retour. Je me dirige donc vers une tente à l’extérieur où sont installés des employés du métro. Trois jeunes filles papotent devant le comptoir, j’hésite à les contourner ne sachant si elles comptent ou non acheter des billets. Il n’en faut pas plus pour qu’un policier serviable, fonde immédiatement sur moi pour me préciser que je peux acheter des billets au stand devant moi. C’est bien aimable à lui de m’expliquer ce que j’avais deviné tout seul, le petit soucis est qu’il me le dit à 30 cm de l’oreille à travers son mégaphone. Malgré l’autocontrôle tout japonais dont j’essaie de faire preuve, il se rend vite compte de sa bêtise. Aussitôt, le flic recule en se confondant en excuses, toujours au mégaphone. J’ai l’impression d’être dans un film d’Abraham Zucker.

A présent, il s’agit de trouver le bi g spot, celui recommandé par tous les journaux, le meilleur endroit pour profiter du spectacle. Les chaussées ont été fermées à la circulation, il suffit donc de suivre la marée humaine qui se dirige à la vitesse d’un escargot au galop vers le lieu magique. Après tout, nous ne sommes que quelques milliers à vouloir aller au même endroit au même moment. Tous les dix mètres un policier donne de la voix. Tout cela commence à sérieusement me stresser. La bulle d’isolement que j’essaie de maintenir dans ce genre de situation se fissure, il me vient des idées de massacre de masse indignes d’un pacifiste convaincu.
Arrivée dans l’axe du pont, qu’on n’aperçoit toujours pas, la colonne n’avance plus pour une raison qui m’échappe. Nous restons coincés dans un canyon d’immeubles gigantesques qui bouchent toute perspective et de surcroit parqués entre de hautes palissades destinées à bloquer ceux qui voudraient rebrousser chemin (il faudrait être fou) ou à décourager ceux qui voudraient jouer aux malins en prenant des raccourcis (il faudrait être français pour avoir une idée pareille).

Au pays de la ponctualité, le feu d’artifice commence évidemment à l’heure. De notre côté, nous avons le son mais pas les images. Quelques vagues reflets furtifs aperçus sur les parois de verre des immeubles semblent pourtant mettre les Japonais en transe : cris excités des Japonaises, approbations expertes mesurées des hommes. En ce qui me concerne, j’en ai déjà ma claque du feu d’artifice du fleuve Sumida sur fond des chœurs de la police.
Notre troupeau repart. On gagne en visibilité puisqu’on arrive enfin à voir quelques lointaines retombées de fusées entre deux terrasses. J’estime que nous avons dû parcourir à peu près vingt mètres en vingt minutes. A ce rythme on atteindra le pont quand les artificiers seront déjà chez eux au plumard, dormant d’un sommeil paisible avec le sens du devoir pyrotechnique accompli.
Finalement, les choses accélèrent. La cible est en vue. Nous entrons en phase d’approche du pont toujours sous une pluie battante de consignes policières. Je comprends alors que ce sont les flics qui depuis le début régulent la circulation moutonnière. Tout s’explique.
Au moment où nous posons enfin la geta sur le pont, j’aperçois devant nous un groupe de policiers se glissant subrepticement entre les spectateurs. Ils traversent le pont perpendiculairement au flot humain avec une maîtrise aguerrie de la situation. Le premier de cordée est muni d’un gyrophare portatif fixé au bout d’une tige de gros diamètre. Le policier suivant est relié à lui par un ruban jaune fluo sur lequel sont imprimées des consignes. Un autre tient une grande pancarte numérotée 8 sur laquelle Pîpo-kun, le Vison Buté japonais qui prodigue parfois ses conseils routiers sous forme de haïku, recommande à la populace de traverser le pont tranquillement.
Aussitôt le cordon policier mis en place devant nous, une formation identique prend position derrière, numérotée 9. Ainsi, nous sommes contenus dans une tranche japonaise avec quelques bouts de gaijin dedans. De part et d’autre du pont, tout le long du parcours tous les dix mètres environ, les policiers aux porte-voix répètent de ne pas s’arrêter, de suivre le rythme de marche donné par les cordons.
A mi-parcours, une fliquette juchée sur une camionnette Pîpo-kun assure sans rire dans son micro que "la technologie moderne des appareils photo d’aujourd’hui permet de faire des prises de vue parfaites en mouvement et qu’il est donc inutile de s’arrêter pour prendre des photos."

Côte feu d’artifice, le contribuable tokyoïte en a pour son argent. Un spectacle pyrotechnique japonais dure en effet au moins une heure (deux heures dans le cas présent). Mais celui-ci a la particularité d’être un double feu d’artifice. Les fusées partent simultanément de ponts éloignés de quelques kilomètres en aval et en amont du nôtre. Résultat, quand vous regardez l’un, vous loupez l’autre. J’ai aussi l’impression qu’il n’y a pas de progression dans le spectacle, pas de bouquet final. On alterne du très spectaculaire et du pas terrible. Mais je ne suis pas un spécialiste du feu d’artifice, je n’en perçois sans doute pas la subtilité, un peu comme avec l’ikebana qui reste pour mon cerveau de rustre occidental de simples tiges dans un pot.
Vu le rythme de marche imposé par la police, on a vite fait de franchir le pont pour se retrouver de nouveau au milieu de tours qui masquent le spectacle des deux côtes. La traversée se faisant à sens unique on peut donc estimer que le spectacle est provisoirement interrompu le temps de retrouver un autre endroit. Le plus rageant est d’entendre encore les fusées pendant une bonne heure sans rien voir car nous renonçons vite à nous frayer un chemin dans la foule pour nous remettre dans l’axe du fleuve.

En rentrant, nous prenons le train à la gare située au pied de la tour Tokyo Sky Tree (voir la photo du post 75 de Nemo). Elle est construite incroyablement près de la petite gare aérienne qu’elle écrase de sa masse. On peut en détailler toute l’infrastructure à partir du quai. Je me dis que si un morceau de la tour venait à tomber, la gare n’existerait plus. Tout ca pour une antenne.


Du port des geta.

Si vous voulez passer pour un vrai blaireau aux yeux des Japonais, portez-les à la taille de vos pieds. Un Japonais, lui, sait qu’une paire de geta se porte une, voire deux tailles en dessous. Il vous dira que c’est plus beau ainsi et que, de toute façon, le port des geta est quelque chose qui se mérite.
Pour devenir pénitent, pardon, méritant, il faut donc d’abord réussir à caler correctement la courroie au fond de l’espace entre le gros orteil et le doigt de pied suivant. Vous commencez donc par bien vous râper la peau du dessus du pied. Vous vous apercevez immédiatement que votre pied, trop large, dépasse de chaque côté. Vous avez aussi la désagréable sensation d’être comprimé. Ce n’est pas le moment de faire sa chochotte : puisqu’on vous a dit que c’est plus beau comme ca !
Ensuite, vous constatez que votre talon dépasse, lui aussi, d’au moins deux centimètres en arrière de la semelle. Et là vous ne rigolez plus. Vous vous rendez compte qu’à chaque pas l’angle de la semelle de bois vous rentre dans le pied. La pression répétée régulièrement au rythme de votre marche devient vite extrêmement pénible. C’est en général le moment où vous regrettez de ne pas avoir choisi de passer pour un blaireau aux yeux des Japonais.

Malgré son côté peu confortable, la tenue traditionnelle fait un retour en force dans la jeune génération. Les adolescents et les jeunes adultes ont l’air de prendre beaucoup de plaisir à s’habiller comme leurs arrière-grands-parents. De luxueux magazines sont même dédiés aux kimonos contemporains et les modèles qui posent pour les photos n’ont rien de mamies. Du fait de son étroitesse, le kimono contraint la jeune femme à faire des petits pas malhabiles, encore accentués par le port des geta. Il en résulte une démarche flottante et fragile très gracieuse. Mais on est bien sûr en droit, de préférer les shorts et les micro-jupes.


Pîpo-kun, le Vison Buté japonais. Il recueille les informations grâce l’antenne qu’il a piquée à Luc Orient.
Je recommande particulièrement ses chansons dont celle en version karaoké : sur la page d’accueil, colonne de droite, cliquer sur le 3ème bouton en partant du haut (katakana violet), puis cliquer sur le premier lien en tête de liste.


Yukata

127. chienvert - 14/09/10 16:38 - (en réponse à : nem° post 100)
Elle va finir sur facebook, c'est certain! :)

126. Odrade - 14/09/10 16:00
...
...
...




WHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA !


O.

125. nem° - 14/09/10 12:25
Le Japon, ce pays... euh, exotique.

124. nem° - 11/09/10 00:16
Dans une maison
Au bord d'un petit étang
C'est déjà l'hiver

123. nem° - 11/09/10 00:06
Et j'étais complètement à la masse niveau chronologie puisqu'il y a des photos dans la maison. Oh oui, il y en a.

122. nem° - 11/09/10 00:04
Ah, je l'ai retrouvé. Du *roman porno*, donc. Avec de la glace SVP.


121. nem° - 10/09/10 23:49
Tiens au fait, j'ai vu un film sympa sur Arte il y a quelque temps, sur un couple (ère Eido je pense) qui joue à des jeux SM. La fille se fait torturer de façon de plus en plus dure, et le climax arrive au moment où on apprend qu'elle est folle. Le titre est perdu dans l'étang noir de ma mémoire d'encre gelée.

120. nem° - 10/09/10 22:42 - (en réponse à : Danyel)
J'imagine que tu omets volontairement les bars "gaijin-na"?

119. DanyeL - 10/09/10 16:41
Et pour répondre a ta question, Altair, c'est une bonne idée. Je vais demander a ma femme. Mais c'est le genre de question auquel il est difficile d'obtenir une réponse franche de la part d'un Japonais qui sera toujours soucieux de ne pas vexer sont interlocuteur.

Tiens, j'ai constate un truc en passant. Lorsque des couples discutent entre eux, ils parlent toujours des petits travers de leurs conjoints respectifs ou de leurs enfants, jamais de leurs qualités.
La modestie étant une valeur cardinale au Japon, les convenances imposent aux Japonais d'éviter de prêter des qualités a ce qui les touchent, que ce soit pour eux-mêmes ou pour leurs proches.
Les femmes se montrent redoutables a ce petit jeu. On en a un petit aperçu dans "Still walking", l'avant-dernier film de Kore-Eda Hirokazu.

118. DanyeL - 10/09/10 16:27 - (en réponse à : Source AFP)

On apprend a l'instant qu'un célèbre groom belge s'est réincarné au Japon.


Spirou

117. suzy - 07/09/10 22:00 - (en réponse à : dany)
Ta femme est japonaise? ... j'espère qu'elle te fait marcher à la baguette! (;o)

116. Altaïr - 07/09/10 14:10
Chouette, j'étais pas passée depuis 2 mois et j'ai de nouveau plein de trucs à lire !
Dis-moi Danyel ta chère épouse n'a pas des anecdotes similaires sur nous autres gaijin dont elle a pu observer le mode de vie étrange lors de ses passages en France ?

(sinon, dens, j'ai déjà pu rencontrer "en vrai" Danyel et Larry comme toi d'une part, mais aussi Coacho (et d'autres moins présents maintenant) par ailleurs. Donc soit tout le monde ment, soit nous ne sommes pas tous virtuels ;) )

115. Danyel - 30/08/10 14:47
Oui, c'est la particularité des love hotels d'être racoleurs. :-)

114. Bert74 - 30/08/10 14:16
A Osaka, je suis passé par le quartier des love hotels, à côté de Dotonbori. Ben on peut pas dire qu'ils soient très discrets : gros néon bien flashy, accroches aguicheuses (façades, nom etc...)

113. Danyel - 30/08/10 02:35
C'est exactement cela pour l'hôtel capsules : pas mixtes, exigus et avec des salles communes pour s'habiller vu que la capsule est horizontale. ... et effectivement les 2 amants se retrouvent dans un "love hôtel". ... ce ne peut être une coïncidence. L'as-tu lu?

Non, mais toute personne s'intéressant au Japon connaît l'existence de ces lieux. Ils font parti du folklore locale on va dire. Il y a un quartier de love hôtels a Tokyo et on trouve facilement des hôtels capsules dans tous les quartiers. Cela figure dans tous les guides touristiques, français ou autres.

112. nem° - 28/08/10 19:52 - (en réponse à : Vous êtes très violable mademoiselle)

111. nem° - 28/08/10 18:02

110. suzy - 28/08/10 18:02
107. nem° suzy - 28/08/10 15:28 - (549299)
Attends, tu le mets où le piment là???


Comme cela te plaira tant que c'est sur ta propre personne!

109. suzy - 28/08/10 18:01
108. Danyel Suzy - 28/08/10 16:47 - (549305)
Oui, il s'agit des capsules hôtel. Très prisés des salarymen qui loupent le dernier métro pour rentrer dans leur lointaine banlieue. C'est pas cher et c'est bien pratique. En principe, ils ne sont pas mixtes. Si on veut faire des galipettes, vu l'exiguïté des lieux, il vaut mieux avoir une longue pratique du yoga (tantrique de préférence).
Les love hotels sont plus adaptés pour les couples illégitimes.


C'est exactement cela pour l'hôtel capsules : pas mixtes, exigus et avec des salles communes pour s'habiller vu que la capsule est horizontale. ... et effectivement les 2 amants se retrouvent dans un "love hôtel". ... ce ne peut être une coïncidence. L'as-tu lu?

108. Danyel - 28/08/10 16:47 - (en réponse à : Suzy)
Oui, il s'agit des capsules hôtel. Très prisés des salarymen qui loupent le dernier métro pour rentrer dans leur lointaine banlieue. C'est pas cher et c'est bien pratique. En principe, ils ne sont pas mixtes. Si on veut faire des galipettes, vu l'exiguïté des lieux, il vaut mieux avoir une longue pratique du yoga (tantrique de préférence).
Les love hotels sont plus adaptés pour les couples illégitimes.

107. nem° - 28/08/10 15:28 - (en réponse à : suzy)
Attends, tu le mets où le piment là???

106. suzy - 28/08/10 15:23
dites-, avez-vous lu "Face cachée" de Martin et Runberg paru chez Fututo en juin? ... j'en parle un peu dans "que venez-vous de lire". Il s'agit en effet d'une histoire (de cul pour mettre un peu de piment) se déroulant au japon actuel. On y découvre donc un peu les moeurs japonaises ... dont un hôtel "case" où la chambre est réduite à une sorte de coffre façon morgue.

105. nem° - 28/08/10 07:49 - (en réponse à : a honte aussi)
Je vais trop loin, c'est lamentable.

104. nem° - 28/08/10 07:48
Une grosse poitrine est quelque chose de honteux pour les Japonaises

Mais elles bien avoir honte non? Enfin si je me fie aux sites très graphiques mais néanmoins honorables que je visite à l'occasion.

103. Danyel - 28/08/10 06:07
Larry, elle s'en amuse aussi. Je crois que les Japonais sont assez blasés, côté cuisses-mollets-pieds. Ici, les femmes sont toujours généreuses quand il s'agit de les montrer. Par contre les décolletés sont très rares, sans doute parce qu'il n'y a pas grand chose à y mettre.

Je n'ai encore pas vu de femmes poitrinées comme sur les photos aimablement fournies par Nemo. Une grosse poitrine est quelque chose de honteux pour les Japonaises. Une étude publiée en juin a toutefois démontré que la taille moyenne de leurs seins est en augmentation constante. J'imagine que c'est une étude faite par des hommes.

...Damned, je m'étais pourtant promis de ne pas aborder le sujet des Japonaises. C'est la faute de Suzy.

102. larry underwood - 27/08/10 19:15 - (en réponse à : danyel)
merci pour ce midsummer dream. Madame danyel n'a rien dit ?

101. suzy - 27/08/10 17:54
intéressant mais je n'ai pas encore trop soif ... il m'en faudrait un peu plus!

100. nem° - 27/08/10 17:23
Je sais bien que c'est pas elle, j'alimente ta soif de connaissance de la culture japonaise, c'est tout. Elle c'est juste une infirmière chargée du bouche à bouche.


99. suzy - 27/08/10 16:53 - (en réponse à : nemo)
Meuhn non c'est pas elle! Tape sur Google image. Hitomi Tanaka est toute bouffie pas comme celle de te photo.

98. nem° - 27/08/10 16:31 - (en réponse à : suzy)
Hitomi Tanaka

97. Danyel - 27/08/10 15:57
Dens, non, No Hero est bien range dans ma mini bibliothèque. Mais comme c'est ma seule BD, j'attends un peu avant de la lire.

96. Bert74 - 27/08/10 15:43
je ne sais pas comment ce pays fait pour être en tête des pays écolo

C'est évident pourtant, voyons.



95. suzy - 27/08/10 14:56
... mais bon japonaise ou pas, c'est forcément du fake. Cela n'existe pas en vrai des filles comme cela!

94. suzy - 27/08/10 14:51
Vas-y nem', prouve-nous maintenant qu'il s'agit bien d'une japonaise!? (;o)

93. nem° - 27/08/10 14:46 - (en réponse à : Lien)

92. dens - 27/08/10 13:52
et No Hero alors il a pas fait le voyage pour rien?

91. suzy - 27/08/10 12:57
Ce ne sont pas de japonaises du cru. Elles sont importées ... de Chine!

90. Lien Rag - 27/08/10 12:54 - (en réponse à : Comme ça)
Elles existent pour de vrai, les jolies japonaises?
Vu les échantillons que l'on voit à Paris, j'avais l'impression qu'elles étaient réservées aux mangas et à quelques magazines photos, ou alors gardées pour tourner les films...

89. suzy - 27/08/10 12:34 - (en réponse à : dany)
... suite à ta demande, j'ai donné mon avis sur "Le voyage avec Bill" de Schultheiss dans le sujet "que venez-vous de lire".

88. Danyel - 27/08/10 12:27
Nan,je n'ai rien vu de tel... ou alors j'avais la tête ailleurs.

87. longshot - 27/08/10 12:20 - (en réponse à : Spécificités culturelles)
Alors tu veux dire que quand la demoiselle s'est penchée l'endroit n'a pas été repeint en rouge sous des flots d'hémoglobine libérés par tous ces messieurs saignant soudain du nez ?

Je suis déçu.

86. Danyel - 27/08/10 12:10 - (en réponse à : Privés de gambettes.)
Bon, bah ça marche pas.
Le lien fonctionne sur la page preview, mais pas sur la page def. Dommage, c'était des exemples de micro jupes sur le site Amazon Fashion Japon.

85. Danyel - 27/08/10 12:07 - (en réponse à : Deuxième essai.)



 


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