801. suzy - 08/12/11 15:34 - (en réponse à : ratta !)

ah donc vous lisez le forum mais n'intervenaient que lorsque cela vous chante messieurs!? Sachez que cela n'est pas très fair-play! ... pour un yatta en plus!

800. marcel - 08/12/11 15:27

Yatta !

799. Bert74 - 08/12/11 14:53 - (en réponse à : suzy - quai d'orsay)

Plus que très fortement, car c'est de lui dont on parle dans cette BD. J'ai trouvé le 2 tout aussi bien, mais moins fendard. On y suit plus les vicissitudes du métoer de diplomate, que les affres des ors ministérielles. Donc fatalement, c'est un peu moins léger comme ton. Et pis mon perso préféré du 1 est moins présent dans le 2 : le stabylo.

798. suzy - 08/12/11 12:28

avant de lire le nouveau Quai d'orsay #2, je viens de relire le tome 1. Ca m'éclate ce truc! Cette fois, j'ai trouvé que le ministre a parfois des mimiques de Jacques Chirac ... en plus de très fortement rappeler Dominique de Villepin bien entendu.

797. froggy - 06/12/11 23:13

Sasmira 2: la Fausse Note Tel Herve, j'ai relu le premier tome que j'avais completement oublie. J'avais commence a lire ce deuxieme d'abord quand je me suis rendu compte que je ne comprenais rien a mi-lecture. La relecture du premier m'a rappele que L'Appel est un excellent album et que c'est bien dommage d'avoir attendu 14 ans pour en lire la suite (mais le record n'est pas battu, c'est toujours Sato 2 qui le detient, 18 ans entre le 1 et le 2). La suite est de la meme eau, la mysterieuse Sasmira du premier episode l'est un peu moins a l'issue du deuxieme mais le reste suffisamment pour continuer a la qualifier d'enigmatique. C'est une belle histoire romantique et de voyage dans le temps. Le dessin est (presque) au diapason de celui de Vicomte. Je me demande ce que la suite nous reserve, mais faudra-t-il encore attendre 14 ans? A ce rythme la, ce seront mes enfants qui la liront, moi, je serai au cimetiere depuis longtemps.

796. suzy - 06/12/11 17:20

rhaâ le rufiant!

795. Achab - 06/12/11 17:10 - (en réponse à : Sir yes sir)

Note Standard & Poor's : BBB+

794. suzy - 06/12/11 17:00

peut-être mais dixit Marcel, si ta chronique n'a pas de note finale, ça vaut pas tripette!

793. Achab - 06/12/11 16:53

Siegfried #3 – le crépuscule des dieux : Wagnerien. Alice a clairement adapté la version wagnerienne du mythe des Nibelungen, et s’il simplifie le casting, s’il donne une version plus épique de certains passages, il est néanmoins resté fidèle à l’esprit de l’opéra (qui est une refonte assez divergente de la saga nordique originelle). Siegfried est donc l’outil et la perte d’un dieu paralysé par ses propres règles, le symbole du renouveau du monde, de la liberté qui triomphe des lois anciennes et de l’amour qui triomphe de la corruption. La grandiloquence du récit, moins contrebalancée par la trivialité de Mime que dans les tome précédents, le rend à mon sens moins digeste, presque trop symbolique. Sinon, graphiquement, c’est toujours enlevé et inventif.

792. suzy - 06/12/11 10:44 - (en réponse à : Achabadabada)

Mouais! Vos preuves ne sont que morales et partielles. Vous me ferez trois Ave Maria de Spirouia et cinq Notre père des bulles!

791. Achab - 06/12/11 10:39 - (en réponse à : Suzy)

J'ai la conscience tranquille sur ce coup parce que c'est vrai ! La preuve, c'est que notre collection Spirou canal historique n'est complète que jusqu'à "l'horloger de la comète"... Après c'est un album par-ci par-là en fonction de ma réceptivité aux demandes filiales. Je le jure votre Honneur.

790. chienvert - 05/12/11 20:05 - (en réponse à : Suzy)

On l'a tous fait ça ! Par exemple j'achète les intégrales Carl Barks pour les lire à ma fille! Certes je ne pense pas que j'achèterais cette intégrale sans enfants, mais lui lire des épisodes le soir me fait aussi plaisir et sans doute revivre des choses simplement par nostalgie! ps: j'ai vu que Glenat sortait aussi une intégrale Mickey ( début années 30)! Les albums sont magnifiques , mais énormes et pas donnés du tout (30,00 euros je crois)! 11 albums volumineux au total! Quand vous rentrez ça chez vous vous n'avez plus qu'a planter la tente dans le jardin: y'a plus de place à la maison!

789. suzy - 05/12/11 18:04 - (en réponse à : achab)

Wouahh purée, l'excuse en carton d'acheter pour le fiston!! Elle est bonne celle là! (;o)))))

788. Achab - 05/12/11 17:53

Spirou, c'est le héros de mon enfance, alors j'ai lu ce dernier opus, mais je ne l'aurais quand même pas acheté si mon fils ne me l'avait pas demandé, faut pas déconner. Cela dit, je trouve encore mon compte avec les exercices de style de la série parallèle des Spirou vus par...

787. chienvert - 05/12/11 16:11 - (en réponse à : Achab)

Il est grand temps de passer aux BD "Tabou"! Il y a une BD appelée " le sale petit con" ( ou un truc qui ressemble) qui sort le 9 et dont les 24 premières pages sont proposées à la lecture sur le site de la fnac! ça à l'air vachement plus instructif que Spirou de mes couilles! Ah ah ah ah!

786. Mr Degryse - 05/12/11 15:56

Oui c'est bien Specke.Stanley est un autre explorateur qui confirma la localisation des sources du Nil.Il est connu pour la phrase " Docteur Livingstone je presume". Les auteurs ont fusionné les 2, je pense.

785. suzy - 05/12/11 15:50

Le Spi(ga)rou est qd même sympa non?

784. Achab - 05/12/11 15:40

Spirou & Fantasio #52 - La face cachée du Z : futile. Bon ben je crois que j’ai passé l’âge… La seule chose qui m’intéressait c’est de savoir si Spirou allait se taper la jolie starlette… Le reste, la lune, Zorglub, Spi(ga)rou, la lutte avec le super barbouze, tout ça ne m’a pas vraiment concerné. Dans l’ensemble, je trouve que rien n’est amené, tout débarque comme un cheveux dans une soupe de gros sabots, à l’image du réveil sur la lune, de la vexation de Zorglub et de la transformation du barbouze identique à celle de Spirou…

783. Bert74 - 05/12/11 11:24

Lu le dernier Paul, Paul au parc, d'une traite, sans à pein souffler, le jour de son achat... Et ben, quand je lis du Rabi gliati, je me rappelle pourquoi la BD est ma passion.

782. Bert74 - 05/12/11 11:14

>Degryse 767 Il me semble que les auteurs avait clairement présenté Drake comme un avatar de Sir Richard Burton lors de la sortie du tome 1 (dans une interview peut-être). D'autre part, l'ami-ennemi de Burton (si je me souviens bien du film Aux Sources du Nil) n'était pas Stanley, mais un autre explorateur du nom de Hanning Speke. Bon, j'ai pas encore lu ce nouveau tome.

781. suzy - 05/12/11 09:47

(:o)))

780. stefan - 05/12/11 09:39

Quand je vois un gars qui dessine bien, je m'accroche à sa jambe jusqu'à ce qu'il me dise qu'il veut bien être mon ami.

779. suzy - 05/12/11 09:35 - (en réponse à : stefan)

Tu en connais du monde dis-donc! (;o)

778. stefan - 05/12/11 09:28 - (en réponse à : Suzy #777)

Tu me fais plaisir Suzy. Le dessinateur de Vivisection est un ami, je m’apprêtais à bientôt en parler en toute subjectivité.

777. suzy - 05/12/11 09:19

lu Vivisection de Dunhill & Cisko chez Treizeétrange (novembre 2011). Jolie couverture! Je vous laisse juger. (;o). L'intérieur est en N&B. Cela n'est pas publié chez Treizeétrange pour rien. Il y a en effet un cousinage (ceux qui ont lu la BD apprécieront le jeu de mots!) avec "Ces années-là" de Peyraud ou encore ses "Premières chaleurs" parues chez Casterman. Le ton est proche bien qu'un tout petit peu plus subversif et légèrement plus barg'. Il s'agit donc de l'émoi amoureux d'un jeune chercheur en biologie (je crois que certains ici sont de la partie!). On y fait d'ailleurs pas mal allusion avec les cellules et tout ça. J'ai bien aimé. Je me suis marré à plusieurs reprises. Puis les auteurs ont dû conclure. Et j'ai trouvé cela un peu précipité. Amha, ils se sont demandés un moment s'ils allaient laisser le "héros" succombé ou pas! Bref, album plaisant si on aime ce genre mais je trouve la fin un peu sommaire (bien que symapthqiue), notamment la scène du gâteau de mariage et je n'ai pas apprécié la toute scène finale. J'aurais bien vu l'opposé avec amour, sexe et rock n' roll. Il me semble qu'il y avait moins basique à faire pour conclure cet album. Dommage. Note 3/5.

776. suzy - 04/12/11 21:16

(;o)

775. marcel - 04/12/11 19:59 - (en réponse à : suzy)

Merci, j'aime mieux ca.

774. suzy - 04/12/11 18:00 - (en réponse à : hervé)

L'impression que tu as eu sur ce dernier tome de Magasin Général, je l'ai eu avec les tomes 2 et 3 de "Le Landais Volant" de Dumontheuil. A trop tirer sur la corde, elle se casse, que les auteurs soient bons ou qu'on les apprécie; le risque est là.

773. suzy - 04/12/11 17:58 - (en réponse à : marcel)

Je ne vais pas reprendre un à un les chapitres parce que y'en a bcp trop. Pas mal de scènes, rencontres, discussions, allusions, remarques m'ont bcp plues. Il me fallait donc trouver qqchose de moins bien : un ou deux visites chez des auteurs m'ont moins intéressées. Pas toutes hein! Voilou! Mais je confirme que si j'avais pointé un à un les moments remarquables et/ou qui m'ont marqué, mon post serait 100 fois plus long! (;o)

772. suzy - 04/12/11 17:55

lu Les ignorants de Davodeau chez Futuropolis (septembre 2011). Pour faire plais' à Marcel et en considérant son point de vue "BD de reportage", Note : 4,5/5.

771. herve - 04/12/11 15:33

Lu le dernier magasin général C'est vrai qu'il ne se passe vraiment pas grand chose dans cet opus. Il est temps effectivement que les auteurs pensent à clore cette sympathique aventure avant de lasser le lecteur. Seule la dernière case (et encore on la devine) vint apporter un soupçon de rebondissement dans cette histoire. Autant dans les derniers volumes, cette suspension du temps et la quasi absence d'intrigue ne m'incommodaient guère, autant ce la commence à peser à présent. Allez j'achéterai le prochain mais après on verra. note:3/5

770. marcel - 04/12/11 15:15

Content que ca t'ait plu, j'aime bien ton analyse (meme si j'ai beaucoup aime de mon cote les passages chez les auteurs). M'enfin, t'aurais pu te fendre d'un 4,5/5, quand meme. Quand c'est une BD-reportage (donc, pas de scenario pre-etabli), tu mets pas de note ?... Ca donne un peu l'impression que Davodeau n'a pas vraiment fait un travail reflechi, c'est bizarre.

769. suzy - 04/12/11 14:16

lu Les ignorants de Davodeau chez Futuropolis (septembre 2011). Pour commencer, moi qui aime bien mettre une note à la suite de mes avis, je dois reconnaître que ce Davodeau n'entre pas dans les cases. Y'a pas vraiment de scénar et le dessin de Davodeau est ce qu'il est. Bref, il faut prendre ce livre par un autre bout. Il faut le considérer dans sa globalité : concept, travail, résultat. Eh bien, je le trouve tout simplement énorme ce bouquin, au sens physique (plus de 260 pages) comme figuré (plus d'une année de dur boulot de paysan, de rencontres et d'échanges humains). Respect! Marcel souhaitait mon point de vue sur cet album et on sait (presque) tous pourquoi. Je me suis effectivement assez reconnu dans l'approche de Richard, le vigneron, concernant la BD. Même point de vue sur Mattotti par exemple. Ses BDs sont ... difficiles et ses illustrations donnent envie de retenter l'aventure! J'ai également trouvé l'effacement de Davodeau très judicieux concernant les avis de "l'ignorant". Il n'impose rien. Parfois il explique mais pas plus. Il sait bien que de toute façon, la capacité à apprécier des BD moins consensuelles vient avec le temps ... tout comme apprendre à goûter le vin! Et je pense même qu'il jubilait à entendre (enfin) des avis basiques mais vrais sur la BD, avis allant parfois à l'opposé de la pensée unique développée dans le microcosme BDphile, surtout visà-vis d'auteurs aussi énormes que Giraud! L'humour de Davodeau notamment envers les autres auteurs "jugés" par Richard est sympa! Il constate, il ne juge pas. Les seuls passages qui m'ont moins plus sont une ou deux rencontres avec certains auteurs. Passage que j'ai trouvés ennuyeux, peut-être parce que condescendants. Sais pas trop. Et pour terminé, j'ai aimé aussi suivre la vie de vigneron sur toute une année. J'ai appris plein de trucs. Bref, une BD à avoir lue. Désolé, pas de Note parce que je ne sais pas noter ce genre de bouquin!

768. herve - 03/12/11 22:23

Sasmira #2 J'ai évidemment relu le tome 1 de Sasmira avant de me jeter dans ce second opus. Graphiquement, c'est très réussi, Claude Pelet n'a en rien démérité, au contraire,en s'associant (ou en succédant à Laurent Vicomte) La première partie se lit avec une très grande fluidité mais la seconde partie prend un tout assez ésotérique, que je n'attendais pas. Vu les difficultés relatées par Claude Pelet dans le numéro 43 du magazine "Casemate", je ne sais quand nous verrons paraitre un tome 3. Alors, je ne conseillerai pas cette bd aux jeunes amateurs de bd, mais plutôt, aux anciens, comme moi, qui ont patiemment attendu 14 ans pour enfin en connaitre la suite. note: 4/5 pour le côté nostalgique.

767. Mr Degryse - 03/12/11 11:08

Lu à la suite les 2 tomes de D de Ayroles et Maiorana : j'ai plutôt apprécié la lecture de ces albums. Lecture très distrayante. Le scénario est classique ( trop diront certains) mais est très bien mené. On ne s'ennuie pas et l'envie de tourner chaque page pour lire la suite est bien présente. On attend même la suite avec impatience. Graphiquement j'aime toujours autant le trait de Maiorana même si je trouve le tome 2 moins abouti que le premier volume. Au niveau scénario, le point fort de cette bd est le personnage de Richard Drake. C'est aussi ma source d'interrogations. Pourquoi en s'étant autant inspiré du personnage de Richard Burton l'explorateur ne pas l'avoir appelé ainsi..... Drake a le même visage que Burton. C'est aussi un explorateur. On retrouve comme pour Burton son expédition aux sources du Nil. On a aussi le partenaire devenu ennemi Stanford à la place de Stanley. On apprend que Drake est un épéiste brillant comme Burton. On découvre ses déboires pour trouver des financements. On évoque même dans un dialogue le Soudan ( Burton fut ambassadeur du soudan). Burton était connu pour être un ethnologue juste boutiste qui voulait découvrir toutes les coutumes d'un peuple même les plus noirs. C'est aussi évoqué dans cette bd. J'oublie le traducteur brillant des 1000 et une nuits en version non expurgée ce qui lui valu la censure dans son pays (idem dans la bd). Un tel personnage est très intéressant mais pourquoi changer le nom. Je trouve que d'un point de vue éducatif on aurait du garder le nom ou au moins marquer en page de garde la source d'inspiration. Le but est de donner envie aux gens de découvrir ce personnage extraordinaire et réel. Burton eut une vie telle que jamais un romancier n'aurait pu l'inventer. Je me souviens que Herenguel avait marqué ou assumé son inspiration ( et adaptation) de Memoire d'un gentilhomme corsaire. Je trouve dommageable qu'ici tel ne fut pas le cas. 3.5/5 Lisez Un diable d'homme de Fawn Brodie aux éditions Phébus.

766. Thierry - 02/12/11 17:04

euh, Louve, c'est comme 'Survivre avec les loups' ?

765. Achab - 02/12/11 15:14

Sauf qu'en fait c'est #15...

764. Achab - 02/12/11 15:08

Jonathan # 14 – Atsuko : mélancolique. Jonathan, l’éternel routard, fait une nouvelle rencontre charmante et profite des circonstances pour faire un bout de chemin avec la belle. L’Asie continentale cède ici place au japon insulaire. Sa campagne nippone, zen et hivernale, convient bien au ton contemplatif de la série, et l’aventure, avant tout humaine, romantique et poétique, est fidèle au personnage. Dans la simplicité de l’intrigue, son mystère léger et son dénouement, j’ai cru retrouver plus de points communs avec les premier Jonathan qu’avec les derniers qui m’avaient parus plus ardus.

763. suzy - 02/12/11 10:37

(;o)))

762. Piet Lastar - 01/12/11 23:57 - (en réponse à : Suzy)

Non, Suzy, Non. Si Raïssa est correctement dessiné, cet album n'a pas de scénario. Cette histoire de loups-qui-ont-une-chef-très-très-pas-gentille est moins crédible qu'un sous-Yakari... Ou alors il manque Baloo? Ou les 3 petits cochons ?

761. Achab - 01/12/11 17:05

Travis #10 – New York Delaware : haletant. Fin en forme de course contre la montre pour ce cycle contant la menace que fait planer Domy - l’IA domotique émancipée - sur l’eau potable, à New York comme ailleurs. La lutte est inégale et la victoire modeste. Autant je n’apprécie que moyennement le tour mystique que Carmen McCallum est en train de prendre (et il faut bien le dire, le dessin du repreneur non plus), autant je continue à prendre du plaisir à lire Travis. Peut-être parce que le rôle titre n’est définitivement pas l’acteur principal de la série, éclipsé qu’il est par les rôles secondaires (Vlad, Pacman, Thundercat, les hackers nerds…) et les innovations technologiques qu’ils illustrent mieux qu’un Travis toujours boy-scout, mais si désespérément humain qu’il a bien du mal à suivre ses acolytes. Au final, ceux qui aimaient déjà la série devraient apprécier aussi cet album, les autres ne devraient pas trouver d’éléments nouveaux qui soit susceptibles de les y amener.

760. suzy - 01/12/11 12:34

ah ouais! Possible maintenant que tu en parles! (;o)

759. stefan - 01/12/11 12:31

Je pensais à la fois où tu étais allé au charbon pour défendre Internal Lobster et son auteur (c'était bien toi si je ne me trompe)

758. suzy - 01/12/11 12:23 - (en réponse à : stefan)

Non pas encore lu "Le masque du Fantôme #2". Bientôt. Peu-têtre après "Les Ignorants" de Davodeau que je viens de commencer. D'ailleurs lire cela à la suite de Thorgal a produit un cocktail détonnant dans mes rêves. Sans déconner, j'ai rêvé que l'histoire de Davodeau devenait une sorte d'HF space opéra! ... (;o))) Je me suis fait attqué sur BDGest? Moi? Mais y'a combien d'années dis-moi? Et à propos de quel album? Non parce que j'ai rarement discuté le fond des albums sur BDGest ... ou alors juste par provocation. Yek yek yek!

757. suzy - 01/12/11 12:16

lu Les Mondes de Thorgal - Louve #1 de Surzhenko & Yann chez Le Lombard (novembre 2011). C'est donc le second "Thorgal like" non dessiné par Rosinski. Pour commencer, je suis assez admiratif des dessinateurs qui s'approprient ainsi le style d'un autre auteur. Un peu comme ce qui été fait avec "Avant la Quête" pour copier le style Loisel. Remarquez un russe pour copier un polonais, c'est un joli pied de nez à l'histoire. Oui car Surzhenko arrive à un résultat graphique de très bon niveau. Des couleurs superbes, le visage de Louve très joli et attendrissant. Jolie Aaricia également. J'ai juste constaté des erreurs dimensionnelles. De mémoire, un hibou qui rétrécit de moitié sur une case, l'arc tendu à Louve également bien trop petit et à contrario, une erreur de perspective avec le "Dieu" assis sur son trône au fond de la salle de banquet mais aussi grand que les autres convives du premier plan. Et puis aussi une erreur de mise en scène lorsque Louve se retrouve face à l'entrée du "terrier". Le dessin laisse penser qu'il est en hauteur vu la position du corps et la direction du regard. Ce sont des détails qui me gâchent un peu le plaisir de tout le reste qui est vraiment de très grande qualité. Et je m'étonne que personne n'ait semblé vouloir faire corriger ces erreurs grossières, notamment Rosinski que Odrade nous avait décrit comme un dessinateur pointilleux. M'enfin! je dois être trop pinailleur! L'histoire débute correctement puis souffre d'un petit creux au milieu de l'album avant de prendre du corps sur la fin à la hauteur des meilleurs passages historiques de Thorgal. Fin à suspens et on se prend à s'inquiéter pour Louve face au mystère de ce double "animal"! Du joli travail de Yann, surtout pour ces dernières pages ... pour nous pousser à acheter le prochain tome. Il connait son job qui est de faire acheter du papier! Par contre, je n'ai pas du tout apprécié son trait d'humour sur le nom du forgeron. Il n'a pu s'empêcher de mettre sa marque sur cette série historique. Tel un caniche, de marquer son territoire en levant la patte! Eh MACHIN, cette série a plus de 30 ans, j'ai vécu avec toute mon adolescence! ... et toi, MONSIEUR YANN, tu te permets après moins de 10 pages d'y laisser ta marque!!! UN PEU DE RESPECT ... NON MAIS! (j'avais mis des insultes mais je les ai retirées ... mais je n'en pense pas moins!). D'autant que je ne me souviens pas que l'humour ait souvent été employé comme ressort à cette série! re-M'enfin! Mis à part ces qq points, c'est une belle réussite. Sans ces pinaillages, j'aurais mis un 5/5 mais là, je dois sanctionner! (;o). Note 3,75/5

756. torpedo31200 - 01/12/11 12:05 - (en réponse à : stefan - post # 753)

Se faire insulter sur un forum, aussi sclérosé que l' était BDGest il y a qq années, ça a plutôt quelquechose de rassurant.

755. torpedo31200 - 01/12/11 12:02 - (en réponse à : Top Ten)

Top Ten va être réédité l' an prochain par Urban comics. Après, ce n' est peut-être pas très utile de conseiller d' autres titres non disponibles depuis longtemps.

754. stefan - 01/12/11 11:26

(et c'est très drôle Top Ten aussi, ça danse habilement sur le fil qui sépare la parodie du premier degrés palpitant.)

753. stefan - 01/12/11 11:19 - (en réponse à : Suzy #736)

Tu n'es ni méchant ni con, je pense que tu es juste un provocateur qui prend un plaisir pervers à se faire traiter gratuitement de fasciste sur BDP. (la preuve, tu arrives même à te faire insulter sur BDGest) Tu as bien vu je crois la richesse de Halo Jones, juste que ça t'intéresse pas forcément. Mais ton exemple comparatif de la quête de l'oiseau du temps est intéressant. La quête de l'oiseau du temps, c'est une BD qui m'a vraiment marquée quand je l'ai lue à la fin des années 80, c'est un précurseur qui a été par la suite copié et recopié. Ben Pelisse, c'est un pur fantasme, qui n'a même pas d'existence dans la BD, elle n'est qu'une image, et n'a aucune profondeur. Elle n'a pas d'autre rôle dans la BD que ça, être une image. Et rare sont dans les BD d'action/aventure/SF les personnages féminins qui vont au delà de ça. Par comparaison Halo Jones a des années lumières d'avance. Et je pense que si tu l'as trouvé attachante, si tu as senti une relation particulière s'établir, ce n'est pas juste une histoire de traduction ou de découpage, c'est le travail sur le scénario qui la rend proche du lecteur et attachante, parce qu'elle est incroyablement riche et crédible, qu'on peut s'identifier à elle ou la relier à des gens qu'on côtoie. Contrairement à Pelisse donc. Après, si tu veux du Alan Moore, divertissant et rythmé, je te conseille Top Ten. Tom Strong et Promethea mettent du temps à démarrer, le début et fastidieux. Top Ten est formaté comme une série télé, ça démarre sur les chapeaux de roue et le rythme ne se perd jamais, chaque chapitre fonctionnant comme un épisode de série télé racontant la vie dans le commissariat d'une ville où tous les persos sont des super héros. Comme dans les séries télé "modernes" chaque épisode à sont intrigue propre avec une intrigue secondaire qui se développe en toile de fond d'un épisode à l'autre. Il y a pleins de références à des comics de super héros, mais il n'y a pas besoin de saisir les références pour se laisser absorber par l'intrigue (une grosse partie des références étant purement graphique ou compréhensible avec une connaissance très superficielle des comics.). Je crois que c'est le Alan Moore qu'il te faut. (tu as lu le second Masque du fantome en fait, tu en as pensé quoi?)

752. torpedo31200 - 01/12/11 01:07

Par défaut. C' est Zenda 1ère formule qui s' était arrêté 2 mois après.

 

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