Quelles BDs avez-vous relues récemment ?

Les 1371 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



671. froggy - 08/08/17 11:33
Je comprends mieux pourquoi il y a autant de feux de forets dans le sud de la France. C'est a cause des antibois.

->

670. marcel - 08/08/17 10:14
Ah ben je pouvais pas deviner parce que c'est AntibOise.

669. feldoë - 08/08/17 08:41 - (en réponse à : @Lannion vs Antibes)
Sans doute parce que, comme le chantait Bobby Lapointe : "ça ne me mettait pas à l'aise de la savoir Antibaise, moi qui serait plutôt pour".
Je ne connais pas, par contre, les préférences des Lannionaises...

668. marcel - 08/08/17 01:25
Ah bon, pourquoi ca ?...
Moi, juste a cote, je trouve ca drole de se presenter en disant "Bonjour, je suis maire de Grasse". Et en Belgique, "Bonjour, je suis maire de Mol". Ah non, ca marche pas, c'est un bourgmestre... Pas droles, les belges.
Sinon, les habitants de Cuges-les pins (13) ont decide de changer de gentile, parce que les Cugelais, ca faisait croire qu'ils etaient frileux...

667. froggy - 08/08/17 01:07 - (en réponse à : Herve)
J'imagine le candidat aux elections arrivant a Lannion et declamant; "Lannionniennes, Lanionniens!"

Je prefererais etre celui d'Antibes, c'est plus facile a dire et plus drole aussi.

666. herve - 07/08/17 22:58
Je continue mes lectures lannionnaises avec "la femme accident" de Grenson & Lapiere, que je n'avais pas rouvert depuis 2009.Le scénario va crescendo et le suspense est habillement entretenu.
Côté dessin, Grenson s'en tire très bien avec son style réaliste.
J'ai lu quelque part que l'intégrale allait paraître à la rentrée. Ce sera une bonne occasion pour certains de découvrir cette histoire d'une femme qui fait fi des conventions et des quand dira t'on.Bref, je vous invite à découvrir le destin d'une femme libre.

665. froggy - 07/08/17 17:59 - (en réponse à : Herve)
J'ai inscrit Le sursis dans mon Pantheon de mes meilleures BD de tous les temps. C'est un album magique qui a definitivement la grace, Gibrat y a ete particulierement inspire par les muses de la creation, tout est admirable dans cet album, le dessin, le scenario et finalement le titre qui ne trouve veritablement son sens qu'a la fin. Et puis, Cecile bien sur. Tu m'a donne envie de le relire, cela fait trop longtemps que je ne l'ai pas fait.

Le probleme que j'ai avec Gibrat maintenant est que je ne peux m'empecher de comparer ses albums suivants avec celui-la esperant toujours y retrouver tout ce que j'y ai tant aime mais ce n'est pas le cas, Le vol du corbeau est moins accomnpli que Le sursis, bien qu'un tres bon album considere en tant que tel et j'avais ete decu par le troisieme Matteo.

Quant a Polina, j'avais egalement adore.

Decidement, tu as d'excellentes lectures estivales, Lannion, c'est bon.

->

664. herve - 07/08/17 08:59
Après avoir parcouru les échanges entre Quentin et Suzix, je me suis replongé dans "polina" de Vivès et bien je dois dire que j'ai encore mieux apprécié ce bouquin en le relisant.
Vivès prend son temps et l'émotion est au rendez-vous,surtout vers la fin. Un des meilleurs album de cet auteur (avec "les melons de la colère",il va s'en dire.=on ne se refait pas -)).
Très bel album à relire.

663. herve - 06/08/17 23:02
Relu aussi "le Sursis" du même Gibrat. Même après de multiples relectures, ce diptyque reste à mes yeux inégalé. Dessin,couleur,témoignages sur l'occupation....bref un régal.

662. herve - 06/08/17 22:48
Je viens de relire la série Matteo de Gibrat. Très bonne série avec mention spéciale pour le tome 2 consacré à la révolution Russe.Vivement le 12 octobre pour la sortie du tome 4.

Relu aussi à la plage,le premier cycle de Gil st André dans sa version intégrale poche noir et blanc. Bon scénario que j'avais un peu oublié. Aurait pu sans doute tenir sur 4 volumes en resserant l'intrigue à l'essentiel.

661. suzix@bdp - 01/08/17 12:59
En vue de la lecture du tome 4, je viens de relire les 3 premiers tomes de "L'assassin qu'elle mérite" de Corboz & Lupano chez Vents d'Ouest (2010 à 2014). Même impression que lors de mes lectures précédentes (ben oui, le tome 1, cela fait donc ma 4e lecture puisque je relis presque à chaque fois les albums précédents) : les 2 premiers albums sont excellents. Je les conseille à tous ceux qui ne les ont pas lus. Le 3e qui se passe à Paris est plus mou, bien moins inventif et vif. Surtout, le "mécène excentrique" n'apparait presque pas. Du coup y'a bcp moins de piquant et d'extravagance. J'espère que ce 4e (et dernier ??) tome sera une belle fin (paru fin 2016).

660. suzix@bdp - 01/08/17 10:48 - (en réponse à : froggy)
Bedetheque sur BDGest résume bien les 4 tomes d'Urban.

659. froggy - 01/08/17 01:43
De mon cote, avec Le Pouvoir des Innocents, je considere que Makabi/Lloyd Singer est ce que Brunschwig a ecrit de mieux meme si il y utilise un peu trop de la corde scenaristique du tueur en serie, il y a des developpements tres interessants et rarement vus en BD, je regrette sincerement son interruption due a son insucces commercial.

Je ne connais pas Urban, c'est de la SF, je crois? Ca parle de quoi exactement?

658. Quentin - 31/07/17 21:30 - (en réponse à : Suzix)
Ah merde, je crois que j'ai confondu avec le sourire du clown. Je crois que je n'ai même jamais acheté le 1er tome de la mémoire dans les poches (ca ne me dit rien en tout cas). Sans doute pas accroché aux dessins de la mémoire dans les poches, et je crois que j'ai mis Brunschwig sur ma liste noire après le 1er tome du sourire du clown.

657. suzix@bdp - 31/07/17 16:40 - (en réponse à : quentin)
c'était quoi la raison de la revente du tome 1 parce que ça partait pas mal et on ne savait pas encore que la déprime durerait 3 albums!

656. Piet Lastar - 31/07/17 16:29
Makabi, pas fini le tome 1
Sourire du clown, tu t'attends à une fin grandiose, et puis non...
Pouvoir des innocents, 1er cycle intéressant chez Delcourt et les suites chez Futuropolis aussi

655. suzix@bdp - 31/07/17 16:24
de Brunschwig j'avais bien apprécié l'ambiance de "Le sourire du clown". Et actuellement j'aime bcp "Urban" que je trouve excellent en terme d'idées, d'ambiance et de gestion des personnages.

654. Quentin - 31/07/17 15:25 - (en réponse à : Suzix)
J'ai revendu après le 1er tome ;o)

En ce qui concerne le politiquement correct de Brunschwig, mon dosimètre a explosé avec Makabi (je n'ai jamais fini la série et j'ai revendu après 2 ou 3 tomes).

Maintenant c'est fini, j'ai revendu tout ce que j'avais de lui dans ma bibliothèque, y compris le pouvoir des innocents. J'avais besoin de place pour des trucs plus intéressants.

653. suzix@bdp - 31/07/17 12:13 - (en réponse à : La mémoire dans les poches)
Je vais revendre mes 3 albums de "La mémoire dans les poches". J'étais resté sur une bonne opinion à la lecture du tome 2 en 2009. En relisant les 2 premiers tomes à la parution du 3e et dernier, je me suis rendu compte que j'avais changé. Contrairement à toi, Froggy, impossible de m'identifier même un tout petit peu aux trois personnages principaux. Ce sont des loosers pathétiques, même pas magnifiques ou comiques ou avec de l'autodérision. Nan, les 3 perso principaux sont justes pas intéressants. La mère passe d'hégémonique à tyrannique pour finir raciste, égocentrique et dépressive dès que les choses lui échappent un peu. Fort antipathique cette dame non?
Le fils est mou du genou et colle ses pas dans la voie tracée par sa mère. Il est incapable d'agir englué dans la pauvreté émotionnelle et culturelle de son environnement familial. Il a pourtant trouvé les clefs de l'émncipation avec ses succès d'écrivain. Mais non, il revient toujours au sein d'une marâtre, délissant sa générosité (et sans doute son premier véritable amour pour une mère dégénérée.
Le père est le plus sympa mais il a accepté bien volontier un tout petit rôle de figure paternel dans une petite vie monotone et étriquée aux côtés d'une femme qui le bouffe puis vient lui reprocher de ne s'être pas assez investi dans son rôle de père. Si en plus on lui prête des problèmes de mémoire (bon en fait pas vraiment ce sont plutôt des tocs) ben la coupe est pleine. SERIE DE-PRI-MANTE !!!

652. pm - 30/07/17 22:32
DisparaiSSENT

651. pm - 30/07/17 22:29 - (en réponse à : froggy)
Pas relu depuis un moment mais la bienpensance post soixantehuitarde n'a rien à voir avec celle d'aujourd'hui.
Dans l'une je la vois comme un idéalisme certe naïf mais également poétique dans l'autre je n'y vois que des clichés.
Pour faire simple quand je compare les slogans de mai 68 avec ceux de nuit debout je pleure.
Quand l'imagination et l'esthétique disparait de l'idéal la tristesse s'installe ( voir pire ) .

650. froggy - 30/07/17 20:15 - (en réponse à : Philippe)
Quand on y pense, certains scenarios de Christin son tres bien pensants, celui de Bienvenue sur Alflolol de Valerian, par exemple, curieusement c'est mon prefere dans la serie.

649. pm - 30/07/17 19:55 - (en réponse à : froggy)
Tu as très bien résumé les raisons qui m'empêchent d'apprécier ce scénariste: ce coté bien pensant que je trouve contradictoire avec une démarche artistique.

648. froggy - 29/07/17 20:39
Le Roux & Brunschwig, La memoire dans les poches 1 et 2

En prevision de ma lecture du troisieme tome qui vient de sortir et que je viens juste de recevoir, je me suis attele a relire les 2 premiers tomes de ce triptyque que j'avais completement oublies, reconnaissons le. Et quand j'ecris completement, c'est vraiment le cas, je me souvenais vaguement de l'histoire, mais surtout, je me souvenais que j'avais beaucoup aime a l'epoque, 2006 et 2009 (!). Ou comme disait l'autre, il ne faut pas etre presse.

Cela raconte l'histoire d'un couple de retraites vivant dans une cite HLM d'une banlieue non identifiee, cite dont les habitants sont principalement des emigres en ce debut du 21e siecle. Nos 2 retraites sont parmi les derniers francais de souche a y resider. Ils ont un fils, obtenu difficilement, qui est ecrivain de roman policier. La mere aide les jeunes ecoliers, enfants d'emigres, a faire leurs devoirs a la sortie de l'ecole, cela leur evite ainsi de ne pas trainer dans les rues et leur permettra donc de ne pas sombrer dans le vice et la turpitude. Parallelement, le fils donne des cours d'alphabetisation a des emigres venus d'horizons tres divers, Asie, Europe Centrale et bien sur Afrique. La, il va rencontrer une jeune femme d'origine maghrebine et tout va derailler. En effet, la mere, que l'on pensait etre une personne tres sympathique et tres ouverte, revele une face sombre de sa personnalite et rejette completement la jeune femme.

Le deuxieme tome commence trois annees plus tard, le pere est parti avec le fils de la jeune femme, son fils le recherche et retrouve sa trace a Alger. Il y decouvre ce que son pere a fait pour aider la jeune femme.

J'ai essaye de resumer cette histoire en aussi peu de mots que possible car bien qu'elle ne soit pas tres compliquee malgre ce que j'en ai ecrit, il se passe beaucoup de choses. Les evenements s'enchainent les uns a la suite des autres tout a fait logiquement et Brunschwig a construit le scenario du premier tome par la methode du retour en arriere, le pere raconte son histoire. Quant au deuxieme, il est construit en 2 parties, la premiere met l'accent sur la nouvelle relation entre la mere et le fils depuis la disparition du pere, la deuxieme reprend le principe du retour en arriere quand le fils apprend ce qu'a fait son pere a Alger. Comme d'habitude chez le scenariste, ce sont les gens qui font avancer le recit. Et quand c'est bien fait comme c'est le cas ici et a son habitude, le resultat est prenant, j'ai relu ces 2 livres comme si c'etait la premiere fois que je le faisais. J'aime le fait que ce sont de veritables personnages avec autant de qualites que de defauts qui sont les moteurs de l'action. J'ai eprouve de l'empathie pour chacun d'eux, meme pour le personnage de la mere, ce qui n'est pas un mince tour de force considerant sa description et son evolution dans cette histoire. Chaque intervenant est characterise meme legerement avec de leur donner plus de consistance et d'epaisseur.

Il y a cependant une chose qui m'a gene est le cote tres politiquement correct de cette histoire. Il y a un cote utopiste chez Brunschwig qui m'agace un peu car je trouve cela trop bien pensant. Bien sur, il y a des personnages antipathiques et mauvais mais le ton general qui domine ces deux tomes est que les gens s'entraident. Si Brunscwhig nous montre son rousseauisme, de mon cote, je serai plutot moebiusien, l'homme n'est pas bon.

Le travail du dessinateur n'est pas en reste avec la qualite du scenario fourni par l'ecrivain. Les premieres planches sont encore hesitantes, sensation renforcee par leurs pauvres couleurs, mais ensuite, tres rapidement, on sent que le dessinateur prend de l'assurance. J'ai trouve que c'etait le personnage de la mere le plus reussi graphiquement sur les deux car c'est elle qui exprime la palette la plus large. Le pere est bien reussi aussi, quant au fils, il reste attachant avec son physique de grand adolescent qui n'est pas encore celui d'un adulte, ce qui ajoute d'ailleurs une dimension supplementaire au personnage. On peut qualifier le dessin de semi-realiste, cela vient surtout du gros nez donne au pere, cela ne gene pas du tout mais on peut bien se demander pourquoi ce choix graphique, il a le pif comme une patate, le meme que celui de l'acteur Robert Dalban mais en plus gros. Une derniere chose, les couleurs des toutes premiers planches sont vraiment atroces, est-ce bien de la couleur d'ailleurs? Fort heureusement, elles s'arrangent tres rapidement. Elles ne sont pas representatives de la realite, elles sont realisees en teintes monochromatiques qui changent selon le scenes mais toujours dans les memes tons afin de donner de la consistance a l'ensemble.

Note finale, 4/5. Un excellent moment de lecture




647. torpedo31200 - 24/07/17 16:00 - (en réponse à : post # 645)
Epuisé depuis plusieurs années.

646. herve - 23/07/17 12:27
oups!
album paru initialement en 1993
Je l'ai relu dans sa réédition de 2004.

645. herve - 23/07/17 12:20
Je viens de redécouvrir Trait de craie de Miguelanxo Prado, paru initialement en 2004, dans ma bibliothèque.
Cette histoire est à la fois simple et mystérieuse. Nous suivons quelques personnages (un navigateur, une énigmatique et belle passagère et la tenancière du seul restaurant de l'île-et son fils-) sur une île le temps d'une brève escale.
Tout d'abord, il faut souligner le magnifique dessin de Miguelanxo Prado où chaque case est travaillée. Les couleurs employées font ressortir l'atmosphère du moment. Les cases ressemblent parfois à de véritables petits tableaux.
Quant à l'histoire, elle peut paraitre incompréhensible, en fin de lecture mais il se dégage une poésie sur l'ensemble de l'album. D'ailleurs, Prado abonde sa narration de multiples références littéraires.
J'avoue avoir été un peu déboussolé à la première lecture mais il faut prendre son temps pour lire ce presque huis clos dans une atmosphère étouffante.
Œuvre à découvrir;

Note :3/5

644. Lien Rag - 19/07/17 13:10 - (en réponse à : L'Ascension)
Dans le dernier tome David B. raconte sa rencontre, adulte, avec un autre épileptique, moment où il se rend compte (et le lecteur avec) que l'épilepsie est quelque chose de bien plus léger que ce dont souffre son frère.

Il se trouve qu'il y a quelques années j'ai passé la série à une amie qui a des troubles psychiatriques depuis l'adolescence, notamment parce que je voulais qu'elle lise la partie (traitée avec beaucoup de finesse dans l'album) où le frère explique que d'une certaine manière, il a choisi la maladie à un moment, pour éviter de devenir adulte.
Après l'avoir lue, elle m'a dit qu'il y avait "beaucoup de mauvaises vibrations" dans cette BD.

Sur le moment je n'ai pas pris ça au sérieux, mais à la réflexion il me semble en effet que dans la BD traîne l'ombre d'une psychose familiale qui n'est jamais adressée et toujours esquivée par l'auteur - ce n'est peut-être pas pour rien que sa famille a mal réagi à son autobiographie, il y a amha un squelette dans le placard qui n'est pas sorti dans l'album mais qui y rôde derrière les pages.

643. marcel - 18/07/17 16:48
Oui, c'est ce que je dis. David B. parle clairement des deux aspects, justement.

642. froggy - 18/07/17 16:35 - (en réponse à : Marcel)
Au debut, c'est une maladie neurologique qui peut entrainer une maladie mentale selon les cas.

641. marcel - 18/07/17 16:32
A ceci pres que la maladie de son frere provoque bien un retard mental (du aux nombreuses chutes), et qu'on se rapproche donc de cette thematique.

640. froggy - 18/07/17 16:29 - (en réponse à : Lien Rag)
L'epilepsie, traitee dans L'ascension du haut-mal n'est pas une maladie mentale, c'est une maladie neurologique. Je ne connais pas les autres BD que tu as mentionnees.

639. Lien Rag - 18/07/17 14:30 - (en réponse à : froggy)
la maladie mentale dont a souffert sa mere. Pas vraiment de quoi faire une BD.
Sans parler de Sainte Famille, l'Ascension du Haut-Mal, Mal de Mère, etc...

638. froggy - 18/07/17 00:40 - (en réponse à : Philippe)
Je te remercie de tes renseignements, je connais le Gaumer, je l'ai bien sur. Il y parle de sa mere evidemment mais il ne s'etend pas longuement sur la question tres sensible pour lui, on le comprend.

D'apres ce que je sais, il a ete beaucoup plus disert dans le livre dont j'ai parle. J'en ai oublie le titre, j'avais lu ca au moment de son deces.

637. pm - 18/07/17 00:26 - (en réponse à : froggy Tibet)
Il y a la bio de Gaumer sur Tibet "La fureur de rire" qui n'est pas du tout confidentiel, sinon en plus confidentiel "Conversation avec Ben Durant" et des deux ( Tibet et Ben Durant) "Mon Papa, le safari d'Hemingway et moi " que vous trouverez là http://www.ebay.fr/itm/Mon-Papa-le-safari-dHemingway-et-moi-Tres-Rare-HC-Tibet-Ben-Durant-/122014353567 . Très rare mais c'est pas une bio.

636. maxproducts - 14/07/17 11:44
Je viens de finir le "colossal" volume géant de "L'attaque des Titans" N°1 de Hajime Isayama à 19,95 euros. Le format manga dans ce gros volume est intéressant pour tester la résistance de vos rayons de bibliothèque.
Superbe, audacieux est complètement incohérent sur l'histoire:" Des géants asexués dévorent les humains par pur plaisir" Un véritable besoin du public de voir et lire ces histoires. Cette peur ancestral d'être dévoré par des géants, sans doute la faute à Speilberg et son Tyrannosaure du " Jurassic.". Pour moi le rapprochement avec les Sentinelles des X-MEN dessinées par John Byrne ne fait aucun doute, mais ces Titans pourraient être la représentation des Riches et Bourgeois de notre monde qui se régalent de l'humanité...

635. froggy - 11/07/17 00:50 - (en réponse à : Lien Rag)
D'apres ce que j'ai lu sur ce livre, il y traitait beaucoup de la maladie mentale dont a souffert sa mere. Pas vraiment de quoi faire une BD.

634. Lien Rag - 10/07/17 01:14 - (en réponse à : froggy)
J'ignorais, merci pour l'info.
Mais il aurait dû la faire en BD, s'il voulait qu'on la lise...

633. froggy - 10/07/17 00:31
Lien:

Tibet a ecrit une autobiographie qui a connu un tirage tres confidentiel. Je ne sais meme pas si le livre a ete diffuse en France, peut-etre que Philippe ou Torpedo le savent.

Cedric:

J'adore cette serie qui est tres riche, 71 albums quand meme. Elle est injustement tres sous-estimee. N'en deplaise a Laurent, Greg y a ecrit quelques uns de ses meilleurs scenarios, Le reveil du Patratomac entre autres. A mon avis, la serie comprend un authentique chef d'oeuvre, La bande a Kid Ordinn mais je sais que cet avis n'engage que moi. En deuxieme, vient L'arme secrete de Kid Ordinn

Sur la fin, Tibet a mis son gout du calembour dans quasiment tous les titres, mes preferes sont Le convoi rouge, L'hideux Zorpheline et L'homme qui a tempêté. Comme chacun sait ici, j'adore les jeux de mots laids pour gens bêtes.

Si le coeur t'en dit, va lire le sujet Chick Bill qui traine quelque part sur le forum. J'y ai deja ecrit tout ca.

632. Lien Rag - 09/07/17 01:06
Je n'ai lu que le premier Aldo Remy et si la BD aurait été très intéressante dans les années 60 ou même 70 elle vient ici bien trop tard et reste bien trop sage...
Tibet aurait mieux fait d'écrire une vraie autobiographie (il a été plus ou moins mac dans son jeune âge, non? ou au moins a vécu parmi eux) puisqu'apparemment il avait des choses à dire - mais soit je suis aveugle soit il ne les dit justement pas dans Aldo Remy.
A moins que ce ne soit Colonnier qui écrive cette autobio, bien sûr! Cela pourrait avoir de la gueule, non?

631. cedricd - 08/07/17 18:22
Je n'ai pas parlé de Chick Bill, tout simplement parce que je ne les ai encore jamais lu. J'espère en avoir l'occasion un jour. Je suis d'accord sur le côté un peu niais qu'on retrouve dans Aldo Remy, et comme tu dis, qui n'est pas si niais que ça finalement. Disons que Tibet enfonçait un peu des portes ouvertes sur cette série, mais au final ça reste très sympa à lire et lui permettait de mettre en avant son côté humaniste.

630. froggy - 08/07/17 17:36 - (en réponse à : Cedric)
Je ne les ai pas relus depuis leurs sorties mais le meilleur est le premier dans lequel Tibet s'est beaucoup libere en exprimant beaucoup de ses preoccupations sur le monde. Il vaut mieux rapprocher Aldo Remy de Chick Bill que de Ric Hochet. Chick Bill etait sa serie la plus personnelle et il y a dit beaucoup de choses essentiellement a travers le couple constitue de Dog Bull et de Kid Ordinn, le premier etant un total cretin et le deuxieme un type sympa un peu simplet parfois masi pas si con que cela en definitive. J'ai toujours eu l'impression que Tibet a cree Aldo Remy pour dire ce qu'il pensait vraiment sur un certain nombre de choses qui le faisait raler dans le monde et qu'il ne pouvait pas inserer ses idees dans un scenario de Chick Bill a cause du cadre dans lequel la serie s'inscrivait, un western.

629. Cedricd - 07/07/17 17:24
Je viens de relire les trois tomes de la dernière création de Tibet : Aldo Rémy. Une série bien marrante, parfois dure, avec une ambiance très éloignée de Ric Hochet.
Dans le tome 1, Aldo, sans emploi qui vit dans un bas quartier, se loue comme homme à louer afin de se faire un peu de sous. Cette activité le conduira dans une aventure aussi mouvementée que périlleuse, il n'en sortira d'ailleurs pas indemne.
Dans le second tome, il devient amnésique suite à un accident, et se retrouve hébergé dans le domaine de celui qui a causé son accident, et qui tente de le faire disparaître par tous les moyens.
Enfin, dans le troisième et dernier tome en raison du décès de Tibet, Aldo, qui n'a pas retrouvé la mémoire, commence une nouvelle vie, mais tombe sur un trafic humain ou une bande exploite des filles de l'est.
Raconté comme ça, ça n'a pas l'air très marrant, et comme je le disais, c'est assez dure comme série, mais avec l'humour omniprésent de Tibet, qui signe dessins et scénarios, ça reste avant tout une série d'aventures humorstiques.

628. froggy - 21/03/17 18:24 - (en réponse à : Lien Rag)
J'aimerai bien lire cette BD pour toutes les raisons que vous savez mais le dessin de Sattouf est vraiment trop rebutant a mon gout.

627. Lien Rag - 21/03/17 17:35
Je viens de relire No Sex in New York de Sattouf, que j'avais lu il y a longtemps sans avoir compris la démarche de Riad S.
Et donc, à la relecture, certes sans casser trois pattes à un canard, il faut avouer que cette tranche de vie de la communauté expatriée française à New York est plutôt bien faite...

626. herve - 04/03/17 15:27
Gringos Locos

Loin des polémiques qui ont accompagnées la sortie de cet album, j'ai pris un réel plaisir à relire cette aventure américaine de Jijé, Franquin et Morris.
Je connaissais cet épisode dans la vie des dessinateurs mais Yann réussit à le rendre vivant et surtout drôle. Que certaines anecdotes soient inventées ou non, ce n'est pas grave, suivre ces pieds Nickelés au pays de l'Oncle Sam et au Mexique (ah ! les scènes de saloon) m'ont fait rire. Le dessin de Schwartz y est pour beaucoup : vif, et rendant hommage aux maîtres de la bd franco-belge.
A travers cet album, vous revivrez un pan de la petite histoire de la bande dessinée franco-belge, sur un mode humoristique.
Bon album, et dommage qu'aucune suite ne verra le jour, vu l'attitude des ayants-droits.

note:3/5

625. Lien Rag - 01/03/17 10:19 - (en réponse à : Peter Pan)
Le premier tome est génial mais le second laisse retomber le soufflé (un peu comme le Voyage en Italie, mais en pire)...

624. herve - 28/02/17 16:14
Pendant mes vacances, je me suis replongé dans les albums de Cosey:

- "A la recherche de Peter Pan" =>cela fait au moins 8 ans que je ne l'avais pas relu et le charme opère toujours
- "Le Voyage en Italie" => la dernière page m'émeut toujours autant
- "le Bouddha d'Azur" => de très belles planches sur un fonds historique

623. herve - 06/02/17 20:50 - (en réponse à : froggy)
Pour mes relectures,je ne suis pas l'ordre chronologique des B&M
Il s'agit en effet de ma énième relecture, donc l'histoire je la connais :-)
Je vais à présent me replonger dans "l'affaire Francis Blake", après avoir relu de week-end l'excellent "SOS Météores".

622. froggy - 06/02/17 18:12 - (en réponse à : Herve)
Je me demande pourquoi tu as relu Les sarcophages du 6eme continent apres Le sanctuaire du Gondwana alors que ce dernier est la suite directe du diptyque. Ne relis-tu pas tes BD dans l'ordre chronologique?

Sinon, il est certain que cette histoire en 2 albums est tres penible a lire. Et je dirai meme plus, encore plus penible a relire!



 


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