Gustave Caillebotte Un rupin chez les Rapins Chez Glénat. La preview.

Les 365 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



115. anti - 13/07/17 13:43
Bah c'est de la merde en barre comme tous les trucs de cet "auteur". Ahah! Quel gros connnard! En plus le mec se prend pour une star. Faut qu'il arrête d'enkuler Caillebotte!

114. Victor Hugo - 13/07/17 13:36

113. Danyel - 13/07/17 07:54
Cela prouve qu'il traine encore dans le coin.

112. froggy - 12/07/17 23:06
A propos de page disparue, celle sur le forum d'en face concurrent mais neanmoins ami dont Danyel-san a cree le lien a egalement disparu.

Bizarre autant qu'etrange, tout ca.

111. marcel - 12/07/17 20:56
La page reste, je ne l'ai pas trouvee par les menus (recherche en haut, par auteur, par collection...).

110. Victor Hugo - 12/07/17 20:06
Bien qu'ils n'aient plus les droits du livre, les escrocs ont conservé la fiche sur leur site.
http://www.la-boite-a-bulles.com/fiche_album.php?id_album=87

109. Piet Lastar - 12/07/17 20:01 - (en réponse à : internal lobster)
Sur bdgest, les avis sont très bdparadisiaques

108. Victor Hugo - 12/07/17 19:09
Non, j'ai récupéré mes droits, mais il y a des tonnes d'exemplaires qui circulent contrairement à ce que voulait faire croire cet escroc qui se prêtant éditeur.

107. marcel - 12/07/17 18:22
Il ne semble pas etre trouvable dans le catalogue du site de l'editeur...

106. froggy - 12/07/17 17:45
En cherchant quelque chose dans de vieux sujets, je suis tombe sur ca, une critique d'Internal Lobster, le premier album de Laurent.

1088. Coacho - 02/05/10 21:58 - (en réponse à : Et bis repetita !)


Voilà un livre que, personnellement, j’attendais avec une impatience non feinte.
Pour des raisons personnelles qui font que je connais un peu, virtuellement, l’auteur, et qu’au fil de nos rencontres et discussions, j’ai appris à apprécier le personnage, ses goûts, et, son trait.
On peut en avoir un aperçu assez exhaustif sur son site d’ailleurs (http://www.colonnier.org/).
J’avais eu la chance de pouvoir admirer certaines planches en primeur et j’étais pour le moins conquis. Cela étant, il faut se garder de demander son avis à quelqu’un de convaincu, il est bien trop souvent partial et conquis d’avance.
Je ne suis pas professionnel, donc somme toute, ça n’a guère d’importance !
Mon retour de lecture se veut un mix de passion et de raison, et je vais donc tenter de vous livrer mon sentiment dès à présent.
Ce livre, au format A5, nous offre 56 planches imprimées sur papier glacé avec une faible palette de couleurs, ce qui va permettre de donner le ton et une cohérence à l’ensemble.
L’histoire est celle de l’enfermement, lorsque la culpabilité et le remords rongent à tel point un être qu’il bascule peu à peu dans la folie, traçant un sillon chaotique dans ce qui lui reste d’existence.
Il est intéressant de se pencher sur la construction de ce livre et combien le récit a été pensé.
C’est formidable. Vraiment. Surtout après relecture, quand on voit comment les mécanismes ont été huilés, et comment les éléments parsemés dans les cases de l’album ont un intérêt réfléchi, et mettent en relief le propos même du livre.
Un homme perdu dans un Japon qu’on imagine récent, déambule un peu hagard, assailli de pulsions schizophrènes, des voix dans sa tête qui, d’apparence confuses, ont un sens pour lui.
On sent dès la première case que l’homme a besoin de repères.
Il est face à un phare. Ce symbole de sécurité dans la perdition, quand les bateaux pris dans la tourmente ont besoin de savoir qu’ils ne sont pas loin des côtes, le phare exerce alors un rôle rassérénant.
Mais on voit qu’il s’en éloigne pour aller de lui-même vers son avenir, son quotidien, devenu donc sans repères. Pourquoi ? Comment ? Je vais bien entendu garder ça pour moi pour ne pas vous gâcher les effets nombreux qui sont dans ce livre.
On va voir alors le personnage central de cette histoire développer des comportements étranges, comme parler avec un homard, puis une marionnette, et cela sème la confusion dans la tête du lecteur qui se demande où l’auteur veut en venir… Le double effet obtenu est d’intriguer le lecteur, qui au passage sera dans un état de confusion proche somme toute de celui du personnage qu’il regarde évoluer, et aura un deuxième effet quand on comprendra l’importance de chacun de ces éléments apparemment si anodins.
Et ainsi, quel plaisir quand les dernières pages éclairent enfin de la lumière nécessaire, de découvrir combien tout le chemin parcouru est cohérent, et combien souvent les schizophrènes développent leur propre logique. Et comment les remords et la culpabilité que je citais en introduction montrent leur importance. La haine le ronge, la vengeance l’étouffe, mais ce sont des sentiments qu’il ne peut que retourner contre lui, accélérant ainsi le processus de psychopathie qui le conduit à… à vous de lire !
En tout cas, cet album est une vraie trouvaille, un plaisir de lecture vraiment important, et un titre de qualité. Les révélations de fin ne sont pas là pour expliquer les choses au lecteur de façon pénible et lourde, non, tout est calculé, dosé idéalement, et rend le lecteur admiratif.
Admiratif aussi, même si c’est plus subjectif, je le suis sur le graphisme de Laurent Colonnier.
Je m’attendais à ses silhouettes très anguleuses et pointues et j’ai eu l’agréable surprise de le voir arriver sur un registre différent, sûrement guidé par la volonté de réalisme qu’il voulait conférer à l’ensemble.
Le trait comme au pinceau, ou peut-être au Pentel, donne un effet calligraphique et accentue l’aspect estampes japonaises qui colle idéalement aux lieux où se déroule l’histoire.
J’aime ces côtés travaillés comme aux pages 8 et 9 qui perdent le lecteur, mais illustre pourtant tellement bien l’enfermement mental, cette façon de s’emmurer quand la dépression est trop forte.
Le personnage est ralenti, ses mouvements ne sont plus fluides, comme coulés dans un béton invisible, et l’impact de la couleur rouge quand elle fait irruption en pleine page…
Bref, vous l’aurez compris, j’ai vraiment beaucoup aimé ce livre que je vous recommande chaudement.
Une chronique de la folie ordinaire, d’un drame du quotidien, traité avec brio par un auteur qui se révèle d’une efficacité implacable et dont il faut absolument suivre le parcours.
Je lui souhaite de vite nous publier un nouvel album, quel que soit le thème !


Est-il encore disponible en librairie?

105. froggy - 12/07/17 17:32
99. Piet Lastar - 12/07/17 06:06 - (en réponse à : marcel et froggy)
Vous nous faites un numéro de duettistes, Lib et Lul !


Tu es pire que nous. Ou meilleur selon la pensee de Lien.

104. longshot - 12/07/17 15:11 - (en réponse à : Danyel)
Le dessinateur est toujours aux aguets, il est attentif aux toutes petites choses. Même sans un crayon on peut les dessiner dans sa tête.

Marrant, je viens justement de lire, dans le dernier numéro de Pandora, une histoire courte de Corto Maltese par Pellejero et Canales, où Corto parle du peintre chinois Li-Hai, « un des plus grands peintres de l'histoire », qui n'avait jamais touché un pinceau de sa vie : « Pour Li-Hai, dessiner, c'était simplement observer les formes, les lignes et les couleurs de la nature »...

103. Kipkool - 12/07/17 10:45 - (en réponse à : Caillebotte icelli)
Arguments vaseux. Chaque année, dans la production bd, on a tous les genres (polar, sf, fantastique, historique,western,hf,etc.) et donc on n'accepte plus aucune projet dans ces genres-là car le marché en est saturé? Quant au "Fantomas Like", ces dernières années, à part "Thanatos" et "La colère de Fantomas", je ne vois rien d'autre. La référence à Foerster m'échappe. En tout cas, rien ne m'y fait penser dans les planches de Caillebotte. Quand bien même, l'argument n'est pas valable ("Ah non, monsieur Giraud, allez voir ailleurs, nous avons déjà Jijé").


102. Quentin - 12/07/17 10:00
Seb a dit qu'il détestait les "malfaisants" qui prenaient un pseudo pour descendre le travail des autres, et il a aussi dit qu'il n'interviendrait plus sur ce forum. Donc je ne crois pas que c'est Cedric. Il en a assez pris sur la gueule. Pas besoin de rajouter à tout ca l'accusation qu'il adopte maintenant le comportement odieux qu'il critiquait.

101. stefan - 12/07/17 09:05 - (en réponse à : Danyel #97)
Oui, quand les éditeurs essaient de justifier un refus de manière rationnelle c'est souvent pas très cohérent. Surtout que souvent, le lendemain, tu vas en librairie, tu regardes les sorties de l'éditeur en question et tu tombes sur l'exacte exemple de ce qu'il t'a dit ne pas vouloir publier.

Parfois je crois que je préfère quand ils disent juste: "J'ai vraiment pas accroché à votre projet."

Mais bon, ce n'est pas complètement vrai pour tous les éditeurs, parfois tu as aussi des analyses intéressantes. Et ce qu'il faut voir c'est qu'une réponse argumentée comme ça reste plutôt positive. Ton projet a au moins été lu et pris au sérieux. Le plus déprimant c'est quand tu reçois le classique:
"Monsieur, nous avons bien reçu votre projet que nous avons étudié avec attention. Cependant, malgré ses grandes qualités, il ne correspond pas à la ligne éditoriale de notre maison."

Parfois ils ajoutent: "Nous vous remercions cependant d'avoir pensé à nous pour votre projet et nous espérons que, malgré cela, vous continuerez à nous envoyer vos futurs dossiers."

Quand t'as pas cette dernière phrase, c'est vraiment la loose.

100. yopiaboom - 12/07/17 07:54
Yahoo.

99. Piet Lastar - 12/07/17 06:06 - (en réponse à : marcel et froggy)
Vous nous faites un numéro de duettistes, Lib et Lul !

98. froggy - 12/07/17 04:52
95. marcel - 12/07/17 01:07
C'est pour cela que j'aime jouer au jeu de go car le go est lent.
Oui, mais c'est pas grave, c'est un jeu asiatique, et si le go est lent, le jaune attend.


Ca, c'est causé!

97. Danyel - 12/07/17 02:40
Lorsqu'on est formé à l'art visuel, trouve-t-on toujours autant de plaisir à lire des BD, à regarder un film

Ben, on en trouve encore plus, puisqu'on peut y déceler des tas de petites choses. Mais cela ne s'applique pas qu'à la production artistique. On peut se régaler d'une ombre sur une architecture, de l'angle que fait la nuque d'une femme sur le col de son kimono, ou de la lumière qui frappe la joue d'un bébé et souligne son velouté. Le métro, par exemple, est un gigantesque et infini catalogue de postures, de drapés et de détails anatomiques. Quant on le prend comme ça, le voyage passe plus vite et devient nettement plus agréable.
Le dessinateur est toujours aux aguets, il est attentif aux toutes petites choses. Même sans un crayon on peut les dessiner dans sa tête.

ou encore par exemple, prendre ses propres photos ou peindre ses propres tableaux alors qu'on se rend compte que c'est loin d'être bon ?

C'est le lot de tout le monde. Pour ne se limiter qu'au dessin, tout artiste a des lacunes, le sait et tâche de faire avec ou de progresser si c'est possible.
Ceux qui ne doutent pas un instant de leur talent finissent sur Ulele. :-)



Les motivations du refus du projet de Laurent sont intéressantes. En gros, on lui reproche de ne pas l'avoir suffisamment formaté et d'un autre côté que le marché est saturé du même "produit" (puisqu'il faut bien appeler les choses par leur nom). Il y a là une double contrainte insoluble.

96. Victor Hugo - 12/07/17 01:25
Vous croyez qu'il a disparu cedric/seb ? C'est dommage, je voulais tellement lui rembourser mon livre plein de caca pas propre.

95. marcel - 12/07/17 01:07
C'est pour cela que j'aime jouer au jeu de go car le go est lent.
Oui, mais c'est pas grave, c'est un jeu asiatique, et si le go est lent, le jaune attend.
(Il est vraiment tout creve, celui-là, mais il est tard).

94. froggy - 12/07/17 00:33
87. suzix@bdp - 11/07/17 17:57
Note pour plus tard : ne pas racheter de sérigraphie à Bert!

86. Bert74 - 11/07/17 17:45
Cette pratique demande aussi un rapport au temps différent.
Il faut regarder longtemps un dessin pour le comprendre et l'apprécier

Tu m'étonnes ! C'est pourquoi j'expose mes sérigraphies et autres portofolio dans mes chiottes... Là j'arrive vraiment à réfléchir pourquoi j'apprécie un dessin ou non


Excellent, j'aime beaucoup.

93. froggy - 12/07/17 00:29
91. marcel - 12/07/17 00:21
Peut-être parce que tu avais la tete dans les nuages, tu avais le cerveau lent.


C'est pour cela que j'aime jouer au jeu de go car le go est lent.

92. froggy - 12/07/17 00:27
77. Danyel - 11/07/17 14:41
Quand j'y réfléchis, je me demande si Sœur Veritas n'est pas une autre émanation du même.


Putain, on a affaire a un schizophrene a personnalites multiples avec des probables tendances paranoiaques.

Planquez vos momes les gars, il va tous nous massacrer un par un. C'est con, je vous aimais bien.

91. marcel - 12/07/17 00:21
Peut-être parce que tu avais la tete dans les nuages, tu avais le cerveau lent.

90. froggy - 12/07/17 00:19
66. marcel - 11/07/17 00:57
Perso, je faisais mes devoirs... Cancre !


Effectivement, j'etais un cancre. Un cancre fatigué, c'est a dire un cancre las.

->

89. Victor Hugo - 11/07/17 18:06 - (en réponse à : Kipkool post 71)
Voilà comment le dernier refus de Spectrus était formulé.

Spectrus. J’aime bien l’idée une fois encore, mais en terme de réalisation je ne suis pas convaincu, notamment parce qu’il me semble que le projet semble hésiter entre deux tendances. Une tendance plutôt indé / absurde, et pour le coup j’ai déjà Philippe Foerster au catalogue auquel ton travail graphique me fait irrémédiablement penser ici. L’autre tendance est le côté roman feuilleton populaire : et à la fois il y en a eu déjà beaucoup ces dernières années, je trouve que le marché est un peu en phase de saturation de tout ce qui peut être Fantomas-like, et d’un autre côté, je trouve ton projet un peu trop électron libre, un peu trop détaché de toutes contingences commerciales pour pouvoir rentrer dans ce créneau et toucher le public visé.

88. Victor Hugo - 11/07/17 18:02
Ca reste très pipicaca ici, néanmoins je vois que l'autoportrait de cedricd a disparu... mystère...

87. suzix@bdp - 11/07/17 17:57
Note pour plus tard : ne pas racheter de sérigraphie à Bert!

86. Bert74 - 11/07/17 17:45
Cette pratique demande aussi un rapport au temps différent.
Il faut regarder longtemps un dessin pour le comprendre et l'apprécier


Tu m'étonnes ! C'est pourquoi j'expose mes sérigraphies et autres portofolio dans mes chiottes... Là j'arrive vraiment à réfléchir pourquoi j'apprécie un dessin ou non.

85. suzix@bdp - 11/07/17 16:39
Lorsqu'on est formé à l'art visuel, trouve-t-on toujours autant de plaisir à lire des BD, à regarder un film ou encore par exemple, prendre ses propres photos ou peindre ses propres tableaux alors qu'on se rend compte que c'est loin d'être bon ?

84. Kikôm - 11/07/17 16:30 - (en réponse à : Arigatô Danyel)
Or, sauf dans les écoles d'art, on n'est pas sensibilisé à développer cette approche, à aiguiser le regard. C'est bien la raison pour laquelle toutes les dérives et manipulations de l'image sont possibles et passent souvent inaperçues.

Cette pratique demande aussi un rapport au temps différent.
Il faut regarder longtemps un dessin pour le comprendre et l'apprécier.



AMEN.



83. suzix@bdp - 11/07/17 15:38 - (en réponse à : dany)
Je comprends tout à fait qu'il est bien plus plaisant d'étudier un chef d'oeuvre qu'un truc raté! (;o)

82. Danyel - 11/07/17 15:12 - (en réponse à : Suzix.)
Je suis d'accord.

Sinon, et contrairement à ce que l'on peut imaginer, cela ne m'intéresse pas du tout de signaler ce qui déconne dans un dessin en entrant dans son détail et cela me met même mal à l'aise.
Si tu te souviens de mes posts, j'en étais resté aux généralités les plus criantes, pointant les problèmes de base sans détailler.

Je préfère mille fois décrire et analyser un dessin que je trouve réussi, essayer de révéler en quoi il l'est et communiquer mon enthousiasme et le plaisir que je prends à l'admirer.
Apprécier un dessin au-delà des goûts personnels et des notions de beau/pas beau, demande une éducation pour savoir quoi regarder par delà la surface.
Or, sauf dans les écoles d'art, on n'est pas sensibilisé à développer cette approche, à aiguiser le regard. C'est bien la raison pour laquelle toutes les dérives et manipulations de l'image sont possibles et passent souvent inaperçues.

Cette pratique demande aussi un rapport au temps différent.
Il faut regarder longtemps un dessin pour le comprendre et l'apprécier.

Ce ne sont donc pas des leçons de dessin, mais une pédagogie du regard que je propose.

Allez, assez pollué le sujet de Laurent, il risquerait de se plaindre auprès d'Alex.

81. Bert74 - 11/07/17 15:10 - (en réponse à : Lien)
il n'y a dans tout l'album qu'une scène d'ambi güité sexuelle comme il s'en produit généralement au moins une fois dans les amitiés masculines fusionnelles

Tu veux peut-être nous en parler, mmmh ?

80. suzix@bdp - 11/07/17 14:53 - (en réponse à : dany)
On va pas polluer le sujet de Laurent avec ce Pernet! (;o)
Par contre, même si tu en souffres déjà, je posterai d'autres dessins que j'estime meilleurs en espérant que tu prennes (à nouveau) qq minutes pour les commenter. Ca m'intéresse sur des dessins que j'ai aimé et sur lesquels j'ai sans doute aussi trouvé des erreurs.

79. Lien Rag - 11/07/17 14:52
Après avoir vu les images postées, je comprends qu'on aime, mais je comprends aussi qu'on n'aime pas.
Et certaines couleurs ont effectivement au premier coup d'oeil un aspect dégueulis qui peut rebuter de lire le reste.

Cela dit j'avais plutôt bien aimé Georges & Tchang et pas du tout compris la polémique: il n'y a dans tout l'album qu'une scène d'ambi güité sexuelle comme il s'en produit généralement au moins une fois dans les amitiés masculines fusionnelles (donc parfaitement crédible même si les deux témoins n'en ont rien dit à ma connaissance), elle est très bien écrite amha et Laurent laisse au lecteur le choix de son interprétation.

78. ronny - 11/07/17 14:44
Personnellement, j'aime beaucoup les couleurs. Et le dessin n'est pas mal non plus.

77. Danyel - 11/07/17 14:41
Sur BDGest, Sebpernet avait fait sa crise suite au premier (et unique) post critiquant son dessin.
Il avait repris le même "argumentaire" qu'ici et avait ensuite déserté les lieux en retirant tous ses messages et les œuvres postées.

Vous aurez noté au passage Hervé qui ne tarit pas d'éloges et achetait déjà les yeux fermés. :-)

Quand j'y réfléchis, je me demande si Sœur Veritas n'est pas une autre émanation du même.

Enfin, avoir les lacunes en dessin d'un ado de 14 ans quand on en a 41 montre soit qu'on est nouveau dans le métier (ce qui n'a rien de répréhensible, sauf à vouloir jouer les pro) soit qu'on ne travaille pas suffisamment.
Je lui laisse le bénéfice du doute.

76. suzix@bdp - 11/07/17 14:36
pas encore acheté. Faut que je passe en librairie mais je ne sais pas quand je pourrai faire cela.

75. Bert74 - 11/07/17 12:23
Une petite réaction sur la critique si objective de cedric-machin...

avertissement du libraire qui me connait depuis plusieurs années : "Je vous préviens, c'est pénible à lire, si ça ne vous plaît pas, n'hésitez pas à le rapporter, on vous le remboursera".

Le truc de mytho complet ! 30 ans que je dépense entre 1500 et 2000 euros par an chez les libraires de BD, aucun ne m'a jamais, mais vraiment jamais, tenu ce genre de discours... C'est d'ailleurs la mort annoncée du petit commerce, s'ils osent se lancer là-dedans.

Cela dit, l'exercice de style de poster une critique, qui, sans avoir acheté ou lu la BD, repose sur de l'invention totale est assez intéressant. On peut le pratiquer pour voir quelles réactions les affabulations provoquent. Mais c'est quand même un jeu où il faut être un minimum honnête et reconnaître sa pratique quand on se fait pécho !

74. marcel - 11/07/17 11:39
Je ne suis pas inscrit et je ne les vois pas non plus. Deux possibilites : il les a enleves (je vois pas pourquoi, y a finalement tres peu d'avis negatifs), ou il a ete exclu de BDGest.

73. pierrecédric - 11/07/17 11:36 - (en réponse à : Ciseaux)
Sur Bdgest tu peux parfaitement effacer tes commentaires en les éditant, et ce autant que tu veux.

72. suzix@bdp - 11/07/17 11:30
68. Danyel - 11/07/17 02:45
Le sujet du site d'en face, vidé de son contenu :

ICI


Je ne peux pas lire les commentaires de "sep" sur ce sujet. Je suppose qu'il m'a exclu ou un truc du genre ou alors il a lui même retiré ses posts?

71. Kipkool - 11/07/17 11:01 - (en réponse à : Caillebotte des 7 lieues)
Et comment ont-ils motivé leur refus?

70. Bert74 - 11/07/17 10:42
C'est marrant de voir comment les médiocres sont les plus susceptibles. Je suis sûr qu'il y a un nom pour ça en psychanalyse.

69. froggy - 11/07/17 05:09 - (en réponse à : Danyel)
C'est tout a fait l'impression que j'ai eue au sujet de cedric et seb.

Quand ton bouquin sortira, ce sera ton tour de te faire critiquer mechamment et surtout stupidement. Tu connais le mot de Georges Bernanos, "les ratés ne vous rateront pas". Je pense qu'il convient tres bien dans la situation presente.

68. Danyel - 11/07/17 02:45
Le sujet du site d'en face, vidé de son contenu :

ICI

67. Danyel - 11/07/17 02:16
cedriccd=sebpernet.
L'un apparaît quand l'autre disparaît.
Il est allé chialer auprès d'Alex, comme il l'avait fait sur BDGest pour faire supprimer le sujet.
Et maintenant il prend sa petite revanche.

Heureusement, fort du précédent BDGest, j'ai pris soin de copier l'intégralité ou presque des échanges. Je remettrai des morceaux choisis à l'occasion.
Je risque de me faire bannir du site. :-)

66. marcel - 11/07/17 00:57
Perso, je faisais mes devoirs... Cancre !



 


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