9. froggy
- 24/06/17 22:20
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Combien de temps as-tu mis pour le realiser?
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8. totom
- 24/06/17 18:38
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C plutôt les textes qui me semblent assez niais sur les extraits, le dessin est pas mal, assez standard
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7. anti
- 24/06/17 17:42
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C'est honteux de publier de telles bouses. Que fait l'éditeur? Rien. Le propos pourrait être intéressant (un énième biopic, très original), mais de toutes façons le dessin (si on peut appeler cette merde du dessin) ruine tout. Le type qui a chié ça n'est pas du tout un dessinateur, il dessine des personnages tous plus moches les uns que les autres, plein d'aberrations anatomiques, ne jouant jamais la situation, c'est nullissime au delà de tout ce qu'on peut imaginer
La question qui se pose est :pourquoi un éditeur confie le dessin d'une BD à un tel incapable? Avec un dessinateur ça aurait pu donner un bon album, même juste le texte tout seul vaut bien mieux que ce désastre (en fait , non). C'est lamentable.
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6. froggy
- 24/06/17 17:12
- (en réponse à : Laurent)
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Absolument!
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5. Victor Hugo
- 24/06/17 12:09
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Rien à voir, comme le bouquin est sublime et le dessin somptueux il lui faut un écrin à sa hauteur, le grand format s'impose. Au delà de la BD c'est un véritable livre d'Art.
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4. torpedo31200
- 24/06/17 11:58
- (en réponse à : Victor Hugo - post # 3)
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Un 21/28 aurait peut-être suffit. Mais comme c' est Glénat, je suppose qu' ils ont utilisé un logiciel de référents.
(Pour ceux qui l' ignoreraient, les éditeurs dits industrialisés ou gros utilisent de plus en plus fréquemment des logiciels et programmes pour déterminer les prix et formats des bouquins)
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3. Victor Hugo
- 24/06/17 11:39
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24/32cm. 46 pages BD + dossier sur Caillebotte (10 pages)
Prix : 14.50 €
EAN/ISBN : 9782344005316
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2. torpedo31200
- 24/06/17 11:20
- (en réponse à : Victor Hugo - post # 1)
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Ca a l' air bien. Format ?
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1. Victor Hugo
- 24/06/17 04:31
- (en réponse à : Ouah! Ça claque sa mère!)
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Gustave Caillebotte,Un rupin chez les Rapins Chez Glénat le 5 juillet 2017
Et l'impressionnisme était né
Paris, 1875. Alors que ses Raboteurs de parquet sont refusés par le jury de l’Académie des Beaux-Arts, Gustave Caillebotte est invité à exposer aux côtés des « intransigeants ». Ce groupe de peintres réunissant des artistes comme Monet, Manet, Renoir, Pissarro ou Degas – tous refusés au Salon de Paris – possède en commun une vision moderne de l’art. Privilégiant les sensations, élargissant le choix des sujets, des compositions et des couleurs, ceux que les critiques nomment avec mépris les « impressionnistes » marquent une véritable rupture avec l’académisme. Collectionneur et mécène, Caillebotte participera à l’essor de ce courant naissant en finançant ses amis et organisant des expositions. Artiste original et audacieux, il en peindra également quelques-uns de ses plus grands chefs-d’œuvre...
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