842. pm - 28/10/23 21:08

Erreur de sujet.

841. pm - 28/10/23 21:08

Comme Biden, le cessez le feu humanitaire doit être conditionné à la libération de tous les otages. Ça va tellement de soi.

840. torpedo31200 - 28/10/23 18:21 - (en réponse à : pm - post # 839)

Espéré en 2024 aux USA.

839. pm - 28/10/23 16:02

Je viens de lire les deux premiers friday, a priori le fantastique n'est pas exactement mon truc mais là c'est quand même très addictif. Si quelqu'un sait quand sort le 3 !

838. herve - 26/10/23 22:59

Blake et Mortimer : l'art de la guerre Avant tout, je dois dire que je suis, depuis mon enfance, un fan absolu des aventures de Blake et Mortimer. J'ai apprécié certains albums de la période post Jacobs, d'autres beaucoup moins. Étonnamment, j'avais adoré "le dernier pharaon", qui explosait les codes de Blake et Mortimer, aussi bien sur le fond que sur la forme (d'ailleurs, je possède trois versions différentes de cet album, l'édition bibliophile, le format à l'italienne, et l'édition noir et blanc, tant cette adaptation m'avait enthousiasmé) Avec ce nouvel album signé Fromental et Bocquet, auteurs du très réussi " huit heures à Berlin", je ne pouvais que m'attendre à un scénario de qualité, et je n'ai pas été déçu, loin de là. Pourtant, lorsque j'ai ouvert cette bande dessinée, j'ai été très surpris par le dessin de Floc'h, au style très épuré, très simple, voire grossier par rapport à celui de Jacobs ou de ses repreneurs. Son style pique les yeux, à première vue. Nous sommes très loin du souci du détail de Jacobs ou encore des décors fouillés et précis auxquels nous étions habitués, pourtant, la magie "Blake et Mortimer" opère toujours.Déstabilisant de prime abord, on finit par s'habituer au dessin et aux couleurs de Floc'h au grès de la lecture. Car, c'est avec un plaisir sans limite que j'ai retrouvé nos deux héros britsh dans un New York où ils pourraient tomber nez à nez avec Mister Kaplan, de "la mort aux trousses". Avec une mise en page basée sur des grandes cases, les auteurs explosent le canon Jacobien, mais avec une intrigue sur 138 pages, l'un compense l'autre. Le scénario repose sur une enquête sur quelques jours , menée tambour battant et qui ménage son lot de surprises. Les auteurs renouent ici avec un classicisme qui fait du bien, sur fond d'un New York, que j'ai bien connu. Cette aventure, qui se situe après "la Marque Jaune", est, à l'aulne des événements actuels, d'une cruciale actualité avec le discours du Capitaine Blake à la tribune de l'ONU. Les gardiens du Temple crieront sans doute au scandale avec cette aventure de "Blake et Mortimer à New York", mais pour ma part, j'en recommande vivement la lecture. Je dois préciser que j'ai opté pour l'édition bibliophile , à 6500 exemplaires, pour découvrir cette bande dessinée. note: 5/5

837. herve - 21/10/23 19:06

Hiver à l'Opéra Peleaz et Chabert Ce qui frappe tout d'abord en ouvrant l'album, c'est le magnifique dessin d'Alexis Chabert, qui ici, illustre de manière sublime le Paris de la fin du XIXème siècle. Les premières pages d'ouverture consacrées à l'Opéra Garnier rendent parfaitement hommage à cette période. Peut-être ici un peu mois de références à de célèbres peintures mais qu'importe le lecteur en a plein les yeux au fil de sa lecture. (d'ailleurs un amusant clin d’œil au Lotus bleu m'a fait sourire) Côté scénario, il faut dire que Philippe Pelaez lorgne beaucoup sur "le Fantôme de l'Opéra" de Gaston Leroux. Nous retrouvons le héros du précédent album "Automne en baie de Somme",l'inspecteur Amaury Broyan, mais un nouveau registre (soit dit en passant j'avais dès l'apparition de Broyan, le rôle qu'il allait jouer dans cette intrigue) Comme sur le premier album, le scénario est assez bancal, le complot pour renverser la IIIème République, n'apporte pas grand chose à l'intrigue principale. J'avoue avoir été un peu troublé par le soupçon d'ésotérisme qui flotte sur cet album, Néanmoins, la lecture cet album, qui peut se lire indépendamment du précédent, est très plaisante. Tout comme "Automne en baie de Somme", c'est un livre que je relirai avec plaisir. note: 3/5

836. herve - 21/10/23 18:26

Corto Maltese : la reine de Babylone Je suis, loin de là, un spécialiste de Corto Maltèse, ne possédant que 3 albums signés Hugo Pratt, pourtant je m'étais précipité, non sur la reprise de Juan Díaz Canalès et Rubén Pellejero , mais sur celle de Bastien Vivès et Martin Quenehen en 2021. Et j'avais adoré. Je suis de nouveau au rendez-vous avec "la reine de Babylone" signé du même duo d'auteurs. Je trouve que le dessin de Vivès s'inscrit toujours autant dans celui de Pratt, sans pour autant le copier. Bastien Vivès conserve son style propre dans un univers qui n'est pas le sien. Par contre, j'ai trouvé que cela allait un peu vite dans l'intrigue, avec pas mal de scènes d'actions et de nombreuses cases muettes. Il manque peut-être un soupçon de poésie ou de quiétude pour que l'album soit parfait. On retrouve la patte de Quenehen dans cette nouvelle aventure avec un périple à travers l'Europe, des actes de piraterie , une dose de CIA et un trésor. Malgré l'épaisseur de l'album (180 pages), j'ai savouré cette aventure de Corto Maltèse ,dans l'édition de luxe, qui il faut l'avouer en dépit de son prix assez élevé, est superbe. note:4/5

835. herve - 21/10/23 17:44

XIII trilogy , Jones # Azur noir Taduc & Yann J'avoue acheter et lire tout ce qui concerne XIII, la série mère comme ses dérivés, tant XIII a marqué mon adolescence lorsque je le lisais dans le journal "Spirou" Comme pour Thorgal, à forcer de tirer sur la corde, l'éditeur finit pas lasser le lecteur. Dans ce premier volume d'une trilogie consacrée à Jones (sous-lieutenant Jones pour le moment), l'intrigue est poussive. J'ai du mal à voir où Yann veut aller, tant les scènes, , se succèdent pour le moment,sans trop peu le lien entres-elles. A part Jones, le fil rouge du scénario est assez confus. Yann, déjà scénariste d'un XIII mystery , nous gratifie évidement de clins d’œil avec "little Jones". Côté dessin, Taduc assure vraiment sauf sur le personnage du Général Carrington, méconnaissable ici. Non, vraiment, j'ai eu du mal à adhérer à ce premier album tant cela manquait de fluidité entre les différentes intrigues ( la formation de Jones, l'épisode d'Alcatraz, l'histoire du capitaine McKaa, et les flash back ponctuant l'album). Cela se lit, certes, mais sans enthousiasme. Mais, je serai au rendez-vous pour le tome 2, cela va sans dire (c'est mon côté complétiste!) note:2,5

834. marcel - 17/10/23 16:56

Surtout que Kordey est connu, lui, pour etre tres productif. Ses trucs avec Dionnet, ils les avaient colores, mais ils ont ressorti l'integrale en N&B.

833. torpedo31200 - 17/10/23 16:43 - (en réponse à : marcel - post #832)

J' avais oublié. Plus commercialisé et on ne peut pas imaginer 2 dessinateurs aux styles si dissemblables.

832. marcel - 17/10/23 16:28

Je suis comme toi, j'ai feuillete mais pas lu. Te manquera Diosamante 1 mais en couleur et script de Jodorowsky, moins fan. Pas fini car décédé qq années après. Y a eu un 2 avec Igor Kordey au dessin. Je sais pas si ca finissait l'histoire.

831. torpedo31200 - 17/10/23 16:09 - (en réponse à : pm - post #829)

9782731604351 Epopées fantastiques, int n&b des Armées du conquérant + les 2 Arn (script Dionnet). Ses 3 plus beaux bouquins. Te manquera Diosamante 1 mais en couleur et script de Jodorowsky, moins fan. Pas fini car décédé qq années après.

830. pm - 17/10/23 16:00 - (en réponse à : marcel)

Et aussi parce qu'il est mort jeune.

829. pm - 17/10/23 15:59

Oui, j'ai lu qu'il était capable de faire des centaines de petits points à la main plutôt que d'utiliser une trame. Est ce qu'il a fait des albums avec un bon scénario ? Arn, Diosamante ? J'ai eu ses albums en main lorsque j'étais " libraire", mais je ne les ai jamais lus.

828. marcel - 17/10/23 15:01

Faut dire qu'il mettait beaucoup de temps a dessiner ses albums. C'est pour ca qu'il en a fait si peu.

827. pm - 17/10/23 12:54

Obtenu dans un lot j'ai lu l'aigle de Rome ( au singulier !) par Jean-Claude Gal. Si le scénario est des plus classiques, genre Alix, le dessin est vraiment magnifique, un vrai plaisir pour les yeux.

826. Quentin - 13/10/23 23:34

La longue marche des dindes, de Léonie Bischoff et Kathleen Karr, chez Rue de Sévres. Fauve jeunesse mérité pour cet album bien sympathique et bien dessiné, racontant l'histoire d'un jeune homme essayant de faire fortune en achetant 1000 dindes et en les acheminant à pieds 3 états plus loins, où les dindes vallent 20 fois la mise de départ. Lecture très agréable.

825. froggy - 08/10/23 23:56

Les frères Rubinstein 4, Les fils de Sion Cet album continue à nous raconter les tribulations des 2 frères durant l'entre-deux guerres en France, à Hollywood où ils se sont installés et à Boston, à l’université d'Harvard. Ainsi qu'il en est depuis le premier tome, le scénariste, Luc Brunschwig, a construit son récit en une succession d'aller et retours entre le présent et le passé, le présent consistant en l'emprisonnement de Moïse, le plus jeune des deux frères, au camp de concentration de Sobibor en Pologne en 1943. On ne sait pas ce qu'il en est de Salomon, son frère ainé, celui qui est débrouillard comme ce n'est pas permis et qui fait tout pour que le vœu de leurs parents se réalisent, à savoir que Moïse, qui est très intelligent, fasse les études les plus brillantes qui soient. Malheureusement pour eux, ils sont confrontés a un antisémitisme systématique qui imprègne toutes les couches de la société d'alors, et cela, des deux côtés de l'Atlantique. Cet antisémitisme se niche partout même venant de personnes dont on aurait pu penser qu'elles seraient les dernières a l'être. Plus que les albums précédents, le scénariste a établi un véritable catalogue de toutes les formes d'antisémitisme qui pouvaient exister avant la 2ème Guerre mondiale qui en sera le paroxysme et une véritable horreur puisqu'il fut institutionnalisé par le régime nazi avec en point culminant, la Solution Finale dont Moïse en sera le témoin direct au camp de Sobibor. J'ai moins aimé cet opus comparé aux précédents à cause principalement des dialogues que j'ai trouvés empesés, moins naturels. Brunschwig veut manifestement faire passer un message mais ses dialogues n'ont pas cet aspect d’être prononcé pour la première et dernière fois. Au contraire, j'ai eu l'impression de lire des dialogues qui seraient comme des discours politiques préparés à l'avance. Par contre, il y a des bonnes scènes comme celle qui se passe a Sobibor qui montre que le désir de vivre arrive parfois à prendre le dessus, même dans les moments et endroits les plus improbables. Je continue à apprécier le dessin d'Etienne le Roux et Loïc Chevallier. Les décors sont très bien rendus et comme d'habitude, ils s'ingénient à donner à leurs personnages les expressions adéquates au moment qui convient. Ce n’est pas du Leo, c'est sûr ! Note finale, 3/5. C'est une note un peu plus basse que pour les autres pour les raisons exprimées ci-dessus. J'espère que cette baisse de régime ne sera que temporaire.

824. herve - 08/10/23 22:41 - (en réponse à : bon topic)

Les aigles de Rome T6 J'ai évidemment relu les cinq premiers volumes avant d'entamer le sixième tome, vu le temps d'attente entre ces deux volumes...7 ans! Depuis des années, je suis fan de Marini, depuis "l'étoile du désert' à "Rapaces(je sais ça date !) et même "Noir Burlesque" m'avait conquis, pourtant je note là, une baisse de la qualité du dessin, j'ai en effet du mal à retrouver ce qui faisait la particularité de Marini, à savoir un trait précis avec des décors fouillés J'ai été étonné de découvrir un album de 84 pages, contre 62 habituellement, pourtant la lecture de ce dernier opus est assez rapide. En effet; au vu de la lecture des albums précédents, j'ai la nette impression que Marini s'offre de plus grandes cases (le plus souvent sur 3 bandes) au mépris d'un scénario qui tend à faiblir. Si on occulte les courses poursuites et les scènes de sexe, , il ne reste pas grand chose de cet album. Bref, l'intrigue principale n'avance guère malgré les 84 pages de cet opus. J'espère ne pas avoir attendre 7 ans pour connaitre la suite de cette aventure qui, malgré tout, me captive depuis 2007! note:3/5

823. herve - 06/10/23 22:20

Tuskegee Ghost #2 Second volet d'un diptyque, ce volume met encore plus en lumière la ségrégation raciale dans les années 70, tout en retraçant le parcours de Robert Hoffman (le père) pendant la seconde guerre mondiale. Ce qui m'a attiré d'emblée dans cette série, c'est le dessin d'Olivier Dauger, un dessin net, clair, précis bref efficace. Le scénario de Benjamin Von Eckartsberg exploite avec habileté le parcours de deux hommes, Robert et son fils, confrontés tout deux au racisme, au Ku Klux Klan, à la guerre (la seconde guerre mondiale pour l'un, celle du Vietnam pour l'autre) sur deux périodes distinctes. Les éditions Paquet nous ont habitué à des séries d'aviation "pures", mais ici les auteurs plongent les lecteurs dans une Amérique profonde pas si éloignée de cela de notre époque. Cet album fait la part belle à une communauté à qui les États Unis doivent beaucoup. En lisant cette bande dessinée, j'ai fait le rapprochement avec "Cinq branches de coton noir", ce qui n'est pas un mince compliment. note :3/5

822. herve - 06/10/23 19:29 - (en réponse à : Pm)

D'accord avec toi sur la forme, l'adaptation épistolaire est ratée. A la lecture, je me demandais à quelle case correspondait les lettres.

821. pm - 06/10/23 16:52

L'ombre des lumières d'Ayroles et Guérineau, présenté comme du niveau des Indes fourbes, qui était plutôt malin sans être génial. Ils ont voulu adapter le roman épistolaire en BD, et c'est un ratage total, rien ne va, le texte ne colle pas au dessin, ou artificiellement, le dessin est faible, c'est hyper poussif et mal raconté, le scénario de cet album n'a aucun intérêt, arriver au bout m'a demandé un gros effort. Retourné à l'envoyeur avec le dernier Gil St André et le Conan de Masbou.

820. herve - 05/10/23 22:59

La fortune Winczlav #3/3 Van Hamme & Berthet Dernier volet de ce préquel à Largo Winch. Malgré un titre assez inapproprié, et une couverture trompeuse, l'intrigue principale tourne essentiellement sur Nerio Winch, personnage qui s'avère au fil des pages, fourbe, antipathique et calculateur. En effet, on retrouve dans cet opus, le Van Hamme de la série mère, avec ses intrigues financières complexes menant à la chute de Gordon. Alors que les deux premiers volumes couvraient voire survolaient une période assez longue en seulement quelques pages, JVH, pour les intimes, nous offre ici,certes une histoire assez linéaire, avec quelques digressions ( les relations de Nerio avec son frère de lait, l'histoire d' Aliana et de Danitza) mais qui tient le lecteur en haleine sur 64 pages sur une presque et même période.. Le final est tel que je me suis plongé dans les deux premiers volumes de Largo Winch, pour voir les éventuels erreurs de raccord entre le préquel et la série mère (et il y a en a , volontaire ou non) Je n'ai pas parlé du dessin de Berthet, auteur que j'adore depuis plusieurs années, qui finalement s'inscrit parfaitement dans le scénario de JVH. note: un généreux 4/5

819. froggy - 05/10/23 04:57

Je crois que je l'avais deja ecrit ici meme quand Herve avait chronique cette adaptation en BD du roman de Margaret Mitchell, si le film est absolument formidable et fait partie de la legende du cinema depuis sa sortie, lisez le livre, il est sublime surtout si vous etes feministe, c'est le portrait d'une femme qui sait ce qu'elle veut et comment l'obtenir dans un environnement tres masculin, pour ne pas dire machiste. Scarlett O'Hara est une emmerdeuse certes mais quelle emmerdeuse!

818. Quentin - 04/10/23 22:41

Gone with the wind d'Alary chez Rue de Sèvres. La romance est cousue de fil blanc dès les premières planches, le ton a la mièvrerie des productions d'Hollywood des années 1950-60 (jusque dans le traitement paternaliste des noirs), il y a quelques longueurs, mais on sent le souffle épique d'une période charnière dans l'histoire des USA. Les personnages sont emportés dans le tourbillon de l'histoire et font corps avec elle, ce qui les rend attachants. Niveau dessin, on trouve des personnages sans bouches, des yeux disproportionnés, des moues impossibles, des ombres mal placées, et surtout des taches de couleurs balancées plic ploc pour faire des effets d'ombrages ratés (rien qu'à voir la couverture déjà ...) J'ai tenté une lecture avec les yeux d'un anti-Bourgeon et grand mal m'en a pris puisque ca m'a enlevé quasiment la moitié du plaisir. J'achèterai néanmoins le 2e tome.

817. pm - 04/10/23 22:02

J'aime mieux Forest, évidemment, puisque c'est mon auteur préféré.

816. Victor Hugo - 04/10/23 21:32

Moi je trouve le dessin de Blutch laid. Bien fait, mais laid, on dirait du Forest mais moche, tout le contraire du dessin de Forest du coup, qui était élégant, sensuel, beau. Blutch est un bon dessinateur, mais je trouve ça moche.

815. pm - 04/10/23 19:40

Je ne vois pas comment on peut trouver sale et vulgaire le dessin de Blutch qui est sublimement beau. En toute objectivité.

814. Piet Lastar - 04/10/23 19:02

Moche

813. heijingling - 04/10/23 17:44

C'est le personnage du Scrameustache que tu n'aimes pas? Parce que le dessin de Gos n'est pas virtuose, parfois maladroit, un peu statique, mais venant de l'ecole Peyo, je vois mal comment on peu le trouver "sale et vulgaire".

812. Piet Lastar - 04/10/23 17:19 - (en réponse à : gling-gling)

Qu'est-ce que tu n'as pas compris ? Je n'aime pas son dessin, je le trouve sale et vulgaire. Comme il a choisi son pseudo en référence au Caporal et que ses BD sont moches, Blutch aurait dû se faire appeler "Scrameustache" (tout aussi moche).

811. heijingling - 04/10/23 16:57 - (en réponse à : Piet Lastar)

Pas compris le jeu de mot, s'il y en a, pas non plus la reference. Blutch a l'intention de faire un Thorgal?

810. pm - 04/10/23 16:04 - (en réponse à : Piet Lastar)

Il est graphiquement magnifique tu veux dire.

809. Piet Lastar - 04/10/23 00:21

Blutch, je n'y vois aucun intérêt. Son Tif & Tondu est infâme. Il aurait dû choisir "Scrameustache" comme pseudo.

808. pm - 03/10/23 11:38

Je crois que je n'achète les albums de Blutch que pour la beauté graphique. Ensuite c'est complètement barré comme dirait suzix, il faut pouvoir entrer dans son délire, parfois j'y arrive comme avec son dernier livre, parfois moins.

807. froggy - 03/10/23 01:19

J'ai decouvert Blutch sur le tard avec Vitesse moderne que j'ai adore. Par contre, j'ai trouve faible si ce n'est tres faible, ses suivants; Pour en finir avec le cinema, Lune l'envers et son Tif et Tondu. Le dessin est vraiment superbe, j'agree avec Philippe sur sa qualite de surdoue, il en est bien differemment de sa capacite a ecrire des scenarios.

806. pm - 02/10/23 22:06 - (en réponse à : Suzix)

Oui, je ne pense pas que ça puisse te plaire.

805. suzix@bdp - 02/10/23 21:26 - (en réponse à : pm)

ok. Chiant donc! MouuuuaaaAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH !!!

804. pm - 02/10/23 21:26 - (en réponse à : Suzix)

C'était ma réponse à ta question sur le Blutch. Bon, c'est pas classique du tout comme tu peux t'en douter mais c'est bien une histoire d'amour.

803. pm - 02/10/23 21:24 - (en réponse à : Suzix)

C'est une histoire d'amour.

802. Victor Hugo - 02/10/23 21:20 - (en réponse à : pm)

J'ai au contraire très bien regardé cette merde, je n'en revenais pas, c'est bien ce qui m'a mis en colère, c'est affligeant de foutage de gueule. Ce qui est con, c'est que j'aime bien ce que fait Rabaté, quand c'est lui qui dessine.

801. suzix@bdp - 02/10/23 20:26

et puis j'ai fouaré un yatta en plus! 799. pm - 02/10/23 19:29 - (en réponse à : Victor Hugo) À part ça, le dernier Blutch, la mer à boire, est hyper émouvant en plus d'être une pure merveille. Je suis allé voir. Le preview est space comme souvent. Ca raconte quoi?

800. suzix@bdp - 02/10/23 20:24

796. Victor Hugo - 02/10/23 15:33 La Marie en plastique c'est vraiment une merde sans nom, un foutage de gueule d'amateur pas doué, de la grosse merde quoi. Blutch n'est pas du tout un surdoué. Je suis resté un moment perplexe. C'est quoi le rapport entre "La Marie en plastique" et Blutch ? C'est juste 2 phrases juxtaposées sans lien ou bien !? Sinon de Blutch j'ai gardé un bon souvenir de "Lune l'envers" ... même si je ne me souviens plus dutout de ce que cela raconte! (;o)

799. pm - 02/10/23 19:29 - (en réponse à : Victor Hugo)

Au contraire, je pense que tu as regardé trop vite ce livre, car le dessin est d'une très grande rigueur. Pour dessiner comme ça des scènes de repas avec convives il faut une grande précision des expressions et des attitudes. Ça a l'air jeté, tu dis amateur, pour qu'on ne sente pas l'effort mais si tu regardes bien c'est ultra précis. À part ça, le dernier Blutch, la mer à boire, est hyper émouvant en plus d'être une pure merveille.

798. torpedo31200 - 02/10/23 18:29 - (en réponse à : Quentin - post # 797)

Il n' a rien à raconter, mais Blutch reste un génie.

797. Quentin - 02/10/23 18:09

Pour Blutch, j'aime bien Peplum, mais le reste... Son dernier livre (la mer à boire) m'est tombé des mains. J'ai lu récemment son petit Christian. Sympa mais ca ne casse rien non plus, comme le reste de sa production. Blutch fait ce qu'il veut, et il a une liberté de ton incroyable. Mais il ne la met pas au service de grandes ambitions. Il n'en a sans doute pas besoin; il peut très bien se contenter de singer les grands maîtres de son enfance (son Lucky Luke a l'air pas mal).

796. Victor Hugo - 02/10/23 15:33

La Marie en plastique c'est vraiment une merde sans nom, un foutage de gueule d'amateur pas doué, de la grosse merde quoi. Blutch n'est pas du tout un surdoué.

795. pm - 02/10/23 14:10

La Marie en plastique est un chef d'oeuvre graphique d'une inventivité folle.

794. suzix@bdp - 02/10/23 14:08

mais pour aller dans le sens de Laurent, c'est dessiné avec les pieds, les visages notamment.

793. suzix@bdp - 02/10/23 14:05

"Les passagers du vent" s'est singularisé par la violence crue montrée en gros plan. Je pense notamment aux scènes de combats navals.

 

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