Tchiii-tchaaa: du pop corn caramel dans le Gesamtkunstwerk (6e partie)
Les 1487 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .
1037. pm
- 07/12/23 12:06
"Vincent doit mourir" peut s'apparenter à un film de genre également, à part peut-être la dernière partie un peu plus centrée sur la romance. Je crois que c'est un premier film, c'est une réussite.
1036. marcel
- 07/12/23 11:45
Ah ben Deer Hunter, ca, j'ai aime.
En fait, c'est froggy qui a de gouts tout pourris.
(Petit bonhomme qui a une conjonctivite que d'un oeil).
Sinon, le dessin anime de SF francais Mars express a de tres bons retours critiques et public. Apres Le regne animal, verrait-on enfin une vraie emergence du cinema de genre francais ?... Parce que ca serait quand meme bien que les producteurs soient moins frileux a financer de genre de films.
1035. pm
- 07/12/23 11:11
Après le très bon " Le règne animal" encore un bon film français " Vincent doit mourir" avec un très bon Karim Leklou. Sorte de parabole synthétique de notre époque, l'agression physique remplace le Covid, peut se rapprocher de Walking Dead. Bien foutu.
1034. pm
- 07/12/23 11:04
Et n'oubliez pas que Froggy n'aime pas l'un des deux ou trois meilleurs film du nouvel Hollywood. Deer Hunter et les deux premiers Godfather sont, à mon avis, les trois meilleurs films du nouvel Hollywood.
Sinon, j'ai vu Serpico tardivement à la télévision, j'ai trouvé ça pas mal mais quand même assez mineur, même si Al Pacino est l'un des plus grands acteurs de tous les temps.
1033. heijingling
- 07/12/23 10:53
Ni Kubrick ni Lumet ne font partie du Nouvel Hollywood (meme si certainsfilms de Lumet s'en approchent).
1032. marcel
- 07/12/23 10:25
T'exageres. Exclure tout le FB des annees 50 a 70 en comparaison d'un courant (certes important) du cinema sur 10 ans et dans un seul pays, faut pas deconner. Si tu veux une vraie comparaison, choisi la BD US underground des 60s (Crumb, Shelton...).
Et, oui, j'aime pas Spielberg ni Scorsese ni Kubrick, mais il n'est pas impossible que je tombe un jour sur un film de cette categorie que j'aime bien (d'ailleurs, Taxi driver m'avait plu), mais disons que je me mefie.
Et dans la liste donnee des Lumet, 12 hommes en colere, ca, j'adore !
Au passage, si comme moi vous aimez les "films de proces", puisque c'est presque un genre en soi, je vous conseille The trial of the Chicago 7 (Les 7 de Chicago en VF), fait pour Netflix par le scenariste de Social network.
1031. Mr Degryse
- 07/12/23 09:31
Je te rassure Frogy j'aime beaucoup Sidney Lumet que j'estime un très réalisateur et un nom trop mésestimé du 7 ème art.
Après contrairement à toi, je préfère Le prince de New-York à Serpico.
Lumet a une liste assez incroyable de films que j'apprécie énormément:
-Douze Hommes en colère
-Point limite
-La Colline des hommes perdus ( pépite méconnu)
-The Offence
-Serpico
- un après midi de chien
-Equus
-Le Prince de New York
-Le Verdict
- À bout de course (Running on Empty) ( un bijou)
-Jugez-moi coupable ( le bon rôle de Vin Diesel)
-7 h 58 ce samedi-là
Et même dans les "mineurs "
-Le Crime de l'Orient-Express
-Contre-enquête ( superbe Nick Nolte)
-Family Business ( très mineur mais quel casting)
1030. froggy
- 07/12/23 04:36
l ne faut jamais juger des gouts et des couleurs des gens. Il me faut cependant reconnaitre que cela surprend de la part d'un cinephile tel que toi. C'est comme Jerome qui n'aime pas les films de Stanley Kubrick, ca passe dificilement.
Le Nouvel Hollywood est le dernier age d'or venant de la capitale du cinema et il est d'une richesse absolument inouie avec une liberte qui n'est pas pres de revenir pour tous les amateurs de salles obscures. Pour moi, ne pas aimer cette decennie exceptionnelle qui a laisse tant de chefs d'oeuvre (mais des navets aussi il ne faut pas l'oublier) revient a ne pas aimer le Franco-Belge dans la BD dans les annees 50 a 70. Et dans les deux cas, j'ai decouvert les deux que lorsque j'etais un jeune adolescent car a la difference de la BD, de tres nombreux films et pas des moindres etaient interdits aux moins de 13 ans ou de 18 ans a cause de leur sujets, de leur violence. Je ne les ai souvent decouverts que lors de reprises ou de festivals dans les cinemas specialises du Quartier Latin a Paris apres les annees du lycee. Tu rates sincerement quelque chose. Mais bon, que puis-je ajouter?
Quant a la serie tele, Serpico, j'en ai vu quelques episodes quand elle passait le samedi soir vers 22h30 sur TF1 dans les annees 70, lorsque je faisais des bay-sittings pour pouvoir me payer mes BD ou des places de cinema. elle ne m'a pas laisse un souvenir imperissable. C'etait la meme tranche horaire que Starsky et Hutch , a propos.
J'avais vu Serpico il y a quelques temps, et pas compris pourquoi on en disait tant de bien...
Il est vrai que je ne suis pas un si grand cinéphile, et que j'ai tendance à ne pas voir ce qui est discret.
1027. heijingling
- 06/12/23 11:17
"le nouvel Hollywood que tu veneres"
Je ne pense pas qu'il soit si succeptible.
Ha pardon, tu ne parlais pas verlan...
1026. marcel
- 06/12/23 10:25
J'ai vu ca y a longtemps (et ca ne m'avait pas plu, pas plus qu'Un apres-midi de chien, mais ca n'a rien d'etonnant puisque je n'aime globalement pas le nouvel Hollywood que tu veneres), mais j'ai un tres vague souvenir d'avoir vu petit la serie qui en avait tiree, bien sur avec un autre acteur. T'avais vu ca a l'epoque ?...
1025. froggy
- 05/12/23 17:32
Bon anniversaire a Serpico, le film de Sidney Lumet avec Al Pacino. C'est l'histoire veridique d'un policier new-yorkais qui va denoncer la corruption de ses collegues du commissariat ou il est affecte. Il est inutile de dire que cela n'alla pas sans quelques problemes pour lui, il faillit en mourir.
Le film est un peu moins connu que son suivant, le fabuleux Apres-midi de chien, ce qui est dommage car c'est tout aussi bien, ce qui n'est pas peu dire. Il eut beaucoup de succes et fit meme l'objet d'une serie tele qui ne dura que le temps d'une saison avec un autre acteur, David Birney. Pacino y est tout bonnement extraordinaire et l'histoire est passionnante. C'est assurement un des meilleurs films de Lumet qui 8 ans plus tard reviendra sur le meme sujet avec Le prince de New York et Treat Williams dans un role similaire a celui de Pacino, malheureusement, ce film n'est pas aussi bon que celui-ci.
Je vous le recommande sincerement car c'est franchement tres bien, et vous permet de voir comment etait New York dans les annees 70 au temps ou le paquebot France faisait encore la navettte entre Le Havre et la grande metropole americaine. Quand vous verrez le film, vous comprendrez pourquoi j'ecris cela.
1024. froggy
- 30/11/23 00:37
Et puis, une des meilleures comedies francaises de tous les temps a eu avant-hier 60 ans. Cela vaut bien une celebration de ma part. Film devenu cultissime au fil des dans l'hexagone, il a peine vieilli et puis surtout il y a le dialogue devenue citation qui n'a pas pris une ride et dont chacun peut en etre temoin tous les jours que Dieu fait. C'est une citation de St Thomas d'Aquin, rien de moins, que Michel Audiard a remis dans sa langue bien a lui.
Les tontons flingueurs, c'est du bon. Dans ma famille, on le deguste apres avoir sorti le vitriol de son placard.
C'est dans cette salle qu'entre autres, j'ai vu 2001, l'odyssee de l'espace, La malediction, Le retour du Jedi, Blade Runner, Les aventuriers de l'Arche Perdue, Orange mecanique, Operation Tonnerre. Je me souviens plus des films americains que des francais car c'etait aux Champs-Elysees que je pouvais voir dans les meilleures salles les films en VO. Tout a une fin.
1022. froggy
- 24/11/23 02:05
Quelques semaines apres Les aventures de Rabbi Jacob, sortait sur les ecrans de France et de Navarre, une irresistible comedie qui est devenue culte au film des annees selon ce que j'ai pu en lire. C'etait le 23 novembre 1973 et Le magnifique etait ne.
J'ai peine a croire que le film a deja 50 ans car je me souviens encore tres bien d'etre alle le voir un dimanche soir des vacances de printemps 1974 au Cine-Cornay de Loudun ou le film joauit ce week-end la. C'etait encore le temps ou la distribution des films durait plusieurs mois en France selon leur succes. D'abors a Paris et dans les grances villes de France en premiere exclusivite dans les meilleures salles et ensuite dans celle de deuxieme exclusivite pour gagner aussi les petites villes de province ou ils finissaient leur carriere avant d'etre diffuses quelques annees plus tard a la television. J'eus l'occasion de le revoir en septembre 1976 au Cinema des Champs-Elysees, salle specialisee dans les reprises avec des copains du lycee. C'etait un samedi apres-midi et nous etions alles a Paris pour voir Barry Lyndon en VO au Gaumont Champs-Elysees. Nous ne savions pas qu'alors, il arrivait que des salles soit completes. C'est ce qui ne nous arriva ce jour la, nous n'arrivions pas a nous decider quel autre film aller voir, en passant devant la salle alors que nous deambulions sur l'avenue tous decus, je vis que le film de Belmondo y jouait, je le proposais au groupe qui arriva quand meme a se mettre d'accord et nous rentrames dans le cinema. Ce qui est amusant c'est que l'avant-programme etait strictement le meme que celui d'il y a deux ans, un documentaire sur la question de la chaine alimentaire chez les animaux. Nous sortimes tous enchantes car nous avions tous beaucoup ri aux exploits de Bob St Clar, l'espion imagine par l'ecrivain Francois Merlin qui met en scene les gens qui l'entourent dans sa vie pour en faire des personnages de fiction, son editeur qui devient l'abominable Karpov, chef des services secrets albanais, et surtout sa ravissante voisine d'immeuble Christine, qui devient la somptueuse Tatiana, l'espionne qui va etre la compagne de Bob St Clar durant sa mission qui va l'entrainer a Acapulco, au Mexique.
Avec ce film ,Belmondo renoue avec Philippe de Broca, 8 ans apres leur dernier film ensemble, Les tribulations d'un chinois en Chine, c'est probablement le metteur en scene qui a le mieux compris l'acteur au cinema en faisant ces tres amusantes comedies d'aventure. Le magnifique est servi par un tres amusant scenario de Francis Veber qui permet a l'acteur de jouer 2 roles; celui de l'ecrivain rate reduit a ecrire des romans d'espionnage de deuxieme zone et celui de l'agent secret qu'il surjoue volontairement sur un ton deliberement comique. C'est absolument irresistible de drolerie avec la partie mexicaine outrageusment outranciere dont la memorable scene d'ouverture que je ne revelerai pas si vous n'avez pas vu le film.
Le titre du film devait etre Comment detruire la reputation du plus celebre agent secret du monde, mais il fut juge trop long et pas commercial pour les producteurs du film qui choisirent le plus simple Magnifique, titre qui convient tout aussi bien.
C'est un de mes films preferes bien sur et un de ceux qui firent que Belmondo fut longtemps mon acteur prefere jusqu'a ce que la sucesssion de ses mauvais films qu'il tourna dans les annees 80 qui furent tous des gros succes n'entache cette position. Le magnifique est un de ses derniers bons films. Le mauvais accueil de son film suivant par la critique francaise, Stavisky d'Alain Resnais accompagne d'un echec commercial flagrant et d'un ereintement quasi unanime apres la projection au Festival de Cannes 1974 ramenerent l'acteur vers le chemin des films moins risques artistiquement. Ce qui est dommage car le film d'Alain Resnais est remarquable et est un de ses meilleurs.
La meme mesaventure arrivat a Alain Delon deux ans plus avec ce film qui s'averera etre en definitive un chef d'oeuvre, Mr Kleinde Joseph Losey, ereinte a Cannes, descendu par la critique francaise, et donc, gros echec. Il n'est pas etonnant que les deux plus grandes stars masculines francaises des annees 70 echaudes a cause de cela, prefererent aller vers des chemins plus balises. C'est vraiment regrettable et nous a peut-etre prive de grands films que nous ne verrons jamais.
Tout cela pour dire que vous pouvez voir, revoir et revoir encore Le magnifique, cela vous fera toujours autant rire.
La bande annonce originale bien sur avec ses fautes d'ortographe pour les noms de Vittorio Caprioli et de Philippe de Broca.
Ps: le Cine-Cornay de Loudun existe toujours, par contre le Cinema des Champs-Elysees est devenu le magasin Mercedes Benz quelques annees plus tard et le Gaumont Champs-Elysees a ferme ses porte sil ya une dizaine d'annees pour devenir une boutique de pret aporter de luxe. J'oubliais de preciser dans ma belle histoire est qu'ayant compris, il ne fallais pas aller voir un film aux Champs-Elysees un samedi apres-mid, nous y revinmes quelques semaines plus tard un mercredi apres-midi. Et nous arrivames suffisament tot pour avoir de bonnes places dans la salle. Tout est bien qui finit bien donc.
1021. froggy
- 22/11/23 05:44
- (en réponse à : Jerôme)
Je ne suis pas d'accord avec toi pour qualifier Everything everywhere at once d'hysterique. Il faut reserver ce qualificatif aux films d'Andrzej Zulawski et de Patrice Chereau pour son pendant gay.
1020. marcel
- 21/11/23 15:00
Ben justement, moi c'est ce cote "trop plein" qui m'a plu.
Leurs films sont produits par le studio A24, qui cherche a faire des films quelque part entre le film de genre et le film d'auteur. C'est eux qui ont produit The whale, Midsommmar, ou le recent Talk to me (assez effrayant dans le genre ecule des films de possession).
1019. Mr Degryse
- 21/11/23 12:45
J'ai préféré swiss army man. Barré, imparfait mais bien moins usant que l'hystériquement trop trop long everything machin truc
1018. marcel
- 21/11/23 11:59
J'ai vu recemment le film precedent des realisateurs, Swiss army man. J'ai bien aime mais c'est TRES particulier. C'est une sorte de film completement branque (un type echoue sur une plage se sert d'un cadavre ramene par la mer comme d'un couteau suisse) mais avec des jolis moments au milieu. C'est assez indescriptible. Le genre de film ou on se demande a la fin ce qu'on vient de voir (mais moi, j'ai bien aime le voyage).
1017. froggy
- 21/11/23 05:18
J'ai vu Everything everywhere at once et j'ai bien aime sans avoir adore. Ca part dans tous les sens, le montage ferait passer un film de Michael Bay pour un film de Marguerite Duras tellement il est rapide, c'est pas toujours facile a suivre a cause de la rapidite des plans qui defilent a l'image a la vitesse d'une rafale de mitrailleuse mais il y a un veritable point de vue. On ne sait pas toujours dans quelle direction le scenario va, ce qui est bien car il y a beaucoup de surprises dont la fin qui peut donner lieu a plusieurs interpretations.
En choisissant ce film sur ceux de facture plus classique pour l'Oscar du meilleur film, tel Les Fabelmans de Spielberg, il semble que l'Academie ait voulu recompenser un film plus moderne, qui serait un pot-pourri de pop culture faisant references a de nombreux genres, allant du film d'arts martiaux asiatiques aux jeux video.
Il est certain que ce n'est pas un film du calibre de Eve de Joseph L. Mankiewicz ou de La garconniere de Billy Wilder, mais cela se laisse voir agreablement. Vieillira t-il bien? Il est evidemment beaucoup trop tot pour y repondre.
1016. LienRag
- 20/11/23 20:57
Tiens le strikethrough est remplacé par des points d'interrogation sur BDP ?
1015. LienRag
- 19/11/23 18:19
J'avais vraiment beaucoup aimé Moon, ne serait-ce que parce que les films de Hard SF se comptent sur les doigts d'une main de personnage de cartoon..
Maintenant c'est vrai qu'il est un peu c?h?i?a?n?t? lent par moments (et je peux comprendre qu'on le trouve prévisible, même si moi je me suis laissé surprendre).
1014. froggy
- 16/11/23 23:47
Je consulte regulierement le site CBO-Boxoffice pour suivre un peu l'actualite des sorties en cinema en France et j'y ai vu qu'il y a une superbe retrospective de films de Sacha Guitry qui vient de commencer. Dans cette retrospective, il y a un des meilleurs films de tous les temps, (rien de moins), un authentique chef d'oeuvre, il faudrait que j'aille revoir le dernier classement Sight&Sound des meilleurs films du monde pour savoir si il y figure, il s'agit du Roman d'un tricheur, un film extraordinaire et tres innovant. C'est tres court, 1h21, et je peux vous assurer que vous ne le regretterez pas, cela vaut le voyage. C'est spirituel, drole, charmant, ironique, tout l'esprit de Guitry y est et c'est un veritable plaisir d'entendre pendnat tout le film sa voix suave, musicale, chic, voire legerement snob. Le film est egalement un tour de force technique particulierment dans la scene de la rencontre avec Marguerite Moreno a la terrasse d'un cafe.
C'etait un des films preferes de Francois Truffaut. C'est aussi un des miens, vous remarquerez que Truffaut est maintenent en tres bonne compagnie, LOL.
Cela date de 1936 et cela n'a pris aucune ride, je vous promets. Ce film est un enchantement.
1013. Bert74
- 16/11/23 17:45
Moi aussi, j'ai bien aimé, Moon (vu à la demande, je sais plus où). Pas trouvé ça chiant. Un peu prévisible, mais parce que ça me faisait penser à la BD le Traque-Mémoire...
1012. MrDegryse
- 15/11/23 22:08
J'ai bien aimé Moon. Pas un chef d'œuvre mais un bon film.
1011. suzix@bdp
- 15/11/23 21:38
bon du coup suis allé voir sur wiki et on dirait qu'il ny' a pas que ma gueule à avoir apprécié "Moon".
Et vous vous avez fait comment pour le voir ?
WIKI:
Moon est un film de science-fiction britannique écrit et réalisé par Duncan Jones, sorti en 2009.
Ce film est présenté pour la première fois au festival du film de Sundance, le 23 janvier 2009.
En France, Moon n'a jamais fait l'objet d'une sortie cinéma en bonne et due forme. Il a néanmoins été projeté dans les salles lors de plusieurs festivals, dont le Festival international du film fantastique de Gérardmer le 29 janvier 2009, le festival du film anglais et irlandais d'Ajaccio Under My Screen (4 au 12 décembre 2010), et le Festival européen du film fantastique de Strasbourg, où il a reçu le premier prix.
Ce film a reçu une bonne critique, entre autres au festival du film de Sundance, a reçu le prix du jury et le prix du public au Festival du film fantastique de Gérardmer 2010, a été considéré comme meilleur film indépendant britannique à la 12e cérémonie des British Independent Film Awards et a gagné le prix de British Academy of Film and Television Arts en 2010.
1010. suzix@bdp
- 15/11/23 21:35
1010. torpedo31200 - 15/11/23 20:30 - (en réponse à : suzix@bdp - post # 1008)
C' est le fils de Bowie (David Jones de son vrai nom) qui l' a réalisé.
ah oui. Rigolo ça!
T' as des super soirées quand tu ne bosses pas au boulot et sur BDP !
hé ho, on fait comme on peut!
1009. torpedo31200
- 15/11/23 20:30
- (en réponse à : suzix@bdp - post # 1008)
C' est le fils de Bowie (David Jones de son vrai nom) qui l' a réalisé.
T' as des super soirées quand tu ne bosses pas au boulot et sur BDP !
1008. suzix@bdp
- 15/11/23 18:13
1006. torpedo31200 - 15/11/23 17:28 - (en réponse à : suzix@bdp - post # 1005)
T' as une appli où tu notes les films ?
T' as peur d' oublier ceux que tu as adoré, ou tu fais des classements après ?
Non c'est une appli pour lister mes DVD et Blu-ray. Une fois vus, je l'indique et je mets une note. C'est toujours sympa en soirée pour faire le point sur ce que j'ai vu récemment. Des fois, je laisse mon tél à un pote que regarde les films que j'ai vus et les notes mises. Ca permet d'échanger assez vite.
1007. suzix@bdp
- 15/11/23 18:11
1007. torpedo31200 - 15/11/23 17:34 - (en réponse à : Moon)
Sinon je partage un peu l' avis de Marcel (on devine vite ce que va être le long métrage) et un moyen métrage aurait peut-être suffit.
Mais j' aime beaucoup Sam Rockwell et suis fan de Bowie.
Sam Rockwell y est excellent. Dans les bonus, il explique le travail à faire pour se parler à lui-même.
Quel est le rapport avec Bowie? Bowie comment ?
Pour la longueur c'est assez court. Ca dure dans les 1h30.
1006. torpedo31200
- 15/11/23 17:34
- (en réponse à : Moon)
Sinon je partage un peu l' avis de Marcel (on devine vite ce que va être le long métrage) et un moyen métrage aurait peut-être suffit.
Mais j' aime beaucoup Sam Rockwell et suis fan de Bowie.
1005. torpedo31200
- 15/11/23 17:28
- (en réponse à : suzix@bdp - post # 1005)
T' as une appli où tu notes les films ?
T' as peur d' oublier ceux que tu as adoré, ou tu fais des classements après ?
1004. suzix@bdp
- 15/11/23 17:22
1001. marcel - 15/11/23 15:13
C'etait chiant et previsible, Moon.
Ben chiant pas du tout. Prévisible ... non plus!
Enfin je n'avais pas vu d'extraits ou de résumé qui m'avaient mis sur la voie. J'ai eu des doutes lorsque le premier clone est réveillé et qu'il a du mal à marcher mais je n'ai compris que lorsqu'il a ramené le corps du premier clone. Et par la suite les comportements ne sont pas attendus. Ni la fin. En bref, j'ai vraiment bien aimé. J'ai mis 5/5 sur mon appli! (;o) Je crois que ça les vaut si on prend en compte que c'est une petite production. Les véhicules sur la lune, ce sont des maquettes et c'est super bien fait. Pareil quand les clones se parlent. Bref, em-ba-llé !
1003. torpedo31200
- 15/11/23 17:04
- (en réponse à : marcel - post # 1003)
Je m' inquiétais sur les deux chouinements rapprochés.
Alors certes, c' est un peu le leitmotiv des forums numériques hors sociologues/politologues/philosophes expatriés. Et oui, les "Boulou c' était mieux avant" sont fréquents. Mais l' intervalle m' interrogeait.
Tant mieux si tout va bien.
1002. marcel
- 15/11/23 16:10
Moi aussi, je t'aime.
1001. torpedo31200
- 15/11/23 15:53
- (en réponse à : marcel - post #1001)
Tous mes voeux de rétablissement.
1000. marcel
- 15/11/23 15:13
C'etait chiant et previsible, Moon.
999. torpedo31200
- 15/11/23 14:58
- (en réponse à : suzix)
Je crois.
998. torpedo31200
- 15/11/23 14:57
- (en réponse à : suzix@bdp - post # 998)
Script original.
997. suzix@bdp
- 15/11/23 13:21
Vu hier soir "Moon" sortie en 2009. C'est un chouette film SF indépendant. Ils sont faits de nombreux plans avec des maquettes. C'est très réussi. Le scénario est aussi très bon. Le jeu de l'acteur est génial. J'ai adoré.
"Oblivion" sorti en 2013 s'en serait-il inspiré ? Il y a un comics qui porte ce nom où l'entité Oblivion peut créer des clones, d'où le nom du film. Estc-e que le film est tiré d'un écrit, BD ou roman ?
996. torpedo31200
- 15/11/23 12:24
- (en réponse à : pm)
Pierre Feuille Pistolet/ In the rearview, documentaire polonais est aussi très bien.
995. pm
- 12/11/23 13:59
Erreur de sujet
994. pm
- 12/11/23 13:51
- (en réponse à : Quentin)
Lu ce matin, Un exemplaire de Mein kampf vient d'être découvert dans la chambre d'un enfant gazaoui...
993. pm
- 12/11/23 11:49
À noter que plusieurs dessinateurs, dont Fréderik Peeters, ont travaillé pour le règne animal, probablement pour dessiner les costumes.
992. pm
- 11/11/23 13:56
- (en réponse à : Torpedo)
Merci pour les infos.
Le Bellochio est le prochain de ma liste, Dupontel je n'aime pas et Loach avec un grande tristesse je refuse de voir ses films.
J'ai vu Le règne animal, a priori ce n'est pas exactement mon genre de film, ça me fout la trouille, mais c'est un très bon film de genre, rare dans le cinéma feançais.
991. torpedo31200
- 11/11/23 12:47
- (en réponse à : pm)
Les derniers Miyazaki, Bellochio, Loach et Dupontel sont très bien. Mais surtout les 2 premiers pour toi.
Et next week, un premier film assez impressionnant How to have sex, de Molly Manning Walker, prix Un certain regard à Cannes. Vu en AVP.
990. pm
- 08/11/23 11:13
- (en réponse à : Heijingling)
Bon texte, l'Angleterre est soumise à une vague d'antisémitisme encore plus forte qu'en France. Comme aux USA, mais avec une tradition de manifestations différente, Il est légal, donc courant, d'entendre des slogans comme " mort aux juifs" dans les manifestations, d'arracher les affiches des enfants kidnappés, de revendiquer " de la mer au fleuve" pour l'état palestinien ( c'est à dire rayer Israël de la carte) etc.
Extrême gauche complice des islamistes.
989. heijingling
- 08/11/23 09:12
- (en réponse à : pm)
Ken Loach : l'anti, fada
par Jérémy Sebane.
Chantre du cinéma social et de la gauche Corbyn, le réalisateur britannique deux fois Palme d’or ne rate jamais une occasion de dire tout le mal qu’il pense de l’État d’Israël, tout en se défendant (assez mal) d’être «?antisémite?».
En France, Ken Loach est accueilli et célébré comme un héros. De passage à Paris pour présenter son 34e film, The Old Oak, il a été de nouveau encensé. Plusieurs rétrospectives de ses œuvres ont été organisées. La presse, comme souvent, a salué «?l’humanisme?» de son dernier long-métrage, actuellement en salle. Nul appel, cette fois, à distinguer l’œuvre de l’artiste, malgré des positions éminemment discutables. Et pour cause : depuis longtemps, notre pays a les yeux de Chimène pour le metteur en scène de 87 ans. Ses films ont été sélectionnés vingt fois au Festival de Cannes, dont quinze en compétition officielle. Il appartient à la classe des très rares réalisateurs à avoir remporté à deux reprises la Palme d’or et deux César du meilleur film étranger.
Loach, c’est aussi une icône de la gauche radicale, séduite par son œuvre qui met en lumière les plus précaires. Sandrine Rousseau, députée EELV, le cite à l’Assemblée nationale pour étayer son plaidoyer contre la réforme des retraites, la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, ne tarit pas d’éloges sur son dernier long-métrage et déclare, emphatique, qu’«?un film comme ça vaut 100?000 tracts?». Un tel compliment oblige à s’interroger sur la fonction du cinéma?: création ou tract?? Ken Loach a tranché. S’il a le mérite de donner la parole aux plus défavorisés, c’est toujours de façon ingrate et paternaliste qu’il les filme, au cœur de récits souvent manichéens. Le résultat est pompeux et inefficace dans une Angleterre qui enchaîne, depuis treize ans, les Premiers ministres de droite.
À dire vrai, le réalisateur partage avec une partie de la gauche britannique des travers qui ont empêché cette dernière de revenir au pouvoir lors des récents scrutins.
En premier lieu, une complaisance coupable envers l’antisémitisme. Depuis 2016, Loach est adhérent du collectif Boycott, Désinvestissement, Sanctions (BDS), un mouvement qui appelle au boycott économique, académique, culturel et politique des Israéliens. Un engagement raciste, puisqu’il ne tient pas compte des positions des artistes, seulement de leur origine et de leur nationalité. D’autant plus affligeant lorsqu’on connaît l’audace des cinéastes israéliens, qui ne cessent de remettre en cause la société dont ils sont issus. Ken Loach assume. Au quotidien berlinois Tagesspiegel, qui l’interroge sur son appel au blocus contre les créateurs israéliens, le Britannique se justifie en expliquant qu’«?Israël se présente comme une démocratie occidentale et en même temps […] vole des terres auxquelles il n’a pas droit et ment à la terre entière?». Pire, le cinéaste écrit systématiquement aux organisateurs des festivals afin qu’ils soient désinvités, mais aussi aux artistes souhaitant présenter leurs œuvres en Israël. Comme à Radiohead, qui projetait de donner un concert à Tel-Aviv. «?Radiohead doit décider si le groupe se tient du côté de l’oppresseur ou de l’opprimé. Le choix est simple?», a-t-il tweeté, avant de se faire remettre à sa place par le chanteur Thom Yorke. Ce dernier lui a rétorqué qu’il était du côté de «?l’humanité et de la liberté d’expression?». Cet acharnement antisioniste du réalisateur dépasse le cadre de la critique légitime d’Israël. Invité à Paris par l’Institut du monde arabe en 2016, il livre au public venu l’écouter une nouvelle version du complot juif médiatique, en expliquant que «?dans les journaux, dans les émissions, pour un Palestinien, vous entendez dix Israéliens?».
En 2017, l’homme frôle le pire lors d’une interview à la BBC. Désireux de défendre son ami Corbyn?–?à l’époque leader travailliste et accusé de ne rien faire contre l’antisémitisme dans son parti?–, Ken Loach dérape. Amené à prendre position sur une discussion sur la véracité de la Shoah, lors d’un congrès du Parti travailliste auquel il n’a pas assisté, il déclare : «?L’Histoire est un sujet dont on peut tous débattre. La création de l’État d’Israël […] qui repose sur le nettoyage ethnique est un sujet qui mérite débat donc n’essayez pas de saboter ce débat avec de fausses histoires d’antisémitisme.?» Un propos qui lui sera reproché par le Premier ministre belge, Charles Michels, l’année suivante, lorsque l’Université libre de Bruxelles (ULB) décide de lui décerner le titre de docteur honoris causa. Six cent cinquante personnalités s’y opposent. Dans une carte blanche, elles rappellent que Loach a mis en scène, en 1987, Perdition. Une pièce de théâtre présentée par son auteur, Jim Allen, comme «?l’attaque la plus létale jamais écrite contre le sionisme, car elle touche au cœur du mythe le plus durable de l’histoire moderne : l’Holocauste?». La polémique enfle. Loach tente d’éteindre l’incendie en déclarant, cette fois sans ambi guïté, et par écrit?: «?Je tiens à réaffirmer dans les termes les plus forts que l’Holocauste est un événement historique aussi réel que la Seconde Guerre mondiale et ne peut pas être mis en doute.?»
Un an plus tard, il soutient le prédicateur islamiste Tariq Ramadan, accusé non seulement d’antisémitisme mais aussi de viols par plusieurs plaignantes. Loach signe même un appel accusant la France de «?discrimination?», et exige «?un procès équitable?».
Finalement exclu du Parti travailliste en 2021, peu après le départ de Corbyn, le réalisateur ne change pas. Récemment, il a apporté son soutien à la projection du film Yallah Gaza, qui devait se tenir à Paris en présence de la militante du Front de libération de la Palestine?–?organisation classée terroriste par l’Union européenne?–?Mariam Abou Daqqa. Elle sera finalement annulée, Gérald Darmanin ayant décidé d’assigner cette dernière à résidence et d’émettre un arrêt d’expulsion. D’où une profonde gêne face au dernier long-métrage du réalisateur, dans lequel la vie d’une bourgade perdue de l’Angleterre est chamboulée par l’arrivée de réfugiés syriens. Si chacun peut être sensible à sa capacité de dénoncer le racisme ordinaire, son tract perd de sa force, quand on sait qu’il ne distingue pas les islamistes des autres réfugiés, et que l’«?humanisme?» de son créateur n’inclut pas tout le monde.?
988. pm
- 07/11/23 21:38
J'aime bien la bd de mon coté, surtout le 1 er cycle, à près le scénariste est parti en live sur des infos mal digérées, voire du complotisme, mais la reprise n'est pas mauvaise.