837. froggy - 14/08/23 00:29

Je suis alle voir Oppenheimer et je suis d'accord avec ce qu'a ecrit Philippe dessus sur exactement les memes points, les actes 1 et 2 sont confus du fait d'un emploi du meme noir et blanc utilises pour des scenes se passant a des moments differents cumule avec celles filmees en couleurs. Ne connaissant rien de la vie d'Oppenheimer a part ce que j'ai lu de lui dans la bd de Rodier, Alcante et Bollee, La bombe, j'ai ete un peu perdu dans la chronologie des evenements avec ces allers et retours entre le present et le passe, si jamais il y a un passe et un present. Et c'est vrai que la musique est omnipresente couvrant parfois les dialogues, il y a des moments ou j'aurais bien voulu avoir quelques sous-titres. Un bon point cependant pour le metteur en scene, il y a tres peu d'effets speciaux car le generique de fin est plus court que celui du Indiana Jones 5 et du Mission:Impossible 7. Je fais partie de ceux qui restent jusqu'a ce que la lumiere se rallume dans la salle.

836. froggy - 12/08/23 16:35

Jérôme: Je te cree le Lien sur la fiche en anglais du film sur Wikipedia. Il semble que cela soit plus complique qu'un intervention des Kennedy pour en arreter la distribution. De mon cote, je n'en avais jamais entendu parler jusqu'a hier quand j'ai lu l'article dans le New York Times sur sa reprise. Heijingling: Il y a au moins un film avec John Huston que je recommanderai jusqu'a mon dernier souffle parce que ce n'est rien de moins qu'un des meilleurs films du monde, c'est Chinatown de Roman Polanski. Evidemment, si cela avait ete un film DE John Huston, la question ne se poserait meme pas. LOL

835. heijingling - 12/08/23 10:43

froggy qui conseille un film avec John Huston en vedette. C'est le monde a l'envers...

834. MrDegryse - 12/08/23 07:52

C'est le film avec plein de stars ? (Mifune, Milan, Houston, Wallace, Taylor, Bridges, etc) et retiré des écrans par la pression de la famille Kennedy? Vu il y a des années. Trop de théories de conspiration tuent les théories. Pas mal sinon mais ne vaut pas d'autres thrillers parano de cette époque.

833. MrDegryse - 12/08/23 07:01 - (en réponse à : Froggy)

Je pars en Auvergne ( Puy en Velay puis Cantal)

832. froggy - 11/08/23 22:53 - (en réponse à : Jérôme)

Toi qui a l'air d'apprecier des vieux films inconnus, en voila un pour toi qui ressort cete semaine a New York. En avais-tu entendu parler? La distribution est assez surprenante. Peut-etre beneficiera t-il d'une nouvelle distribution en France puisque les droits en appartiennent a Canal +. Voici la nouvelle bande annonce:

831. froggy - 11/08/23 22:38 - (en réponse à : Jérôme)

Bonnes vacances alors! Ou pars-tu si tu veux bien repondre?

830. MrDegryse - 11/08/23 21:16 - (en réponse à : Froggy)

Besoin de vacances. Cela tombe bien je pars demain.

829. froggy - 11/08/23 20:51

Jerome doit etre tres amoureux en ce moment, car outre doit confondu H.Hawks et Tom Hanks (mais il ya bien pire comem confusion), il a oubpie de mentionner le titre du film, cela s'appelle Le pire voisin au monde et c'est effectivement tres bien grace a l'interpretation generale. C'est un parfait "feel good movie". Le film a tres bien marche ici grace a un excellent bouche a oreille pour les gens de plus de 50 ans selon un article paru dans le Washington Post peu apres sa sortie. Je l'ai vu sur Netflix. Je suis d'accord avec toi Torpedi au sujet de Mission: Impossible Dead Reckoning part 1, c'est tres tres bien. La derniere heure est formidable et cela n'arreta pas une seconde jusqu'au climax avec la scene finale qui est pleine de suspense. Et bien que cela soit completement invraisemblable et totalement irrealiste, au moins l'arrivee de Tom Cruise dans le train est expliquee contrairement a celle qui ne l'est pas dans le premier Indiana Jones ainsi que je vous en avais fait part recemment. Le seul bemol du film est la poursuite en voiture dans les rues de Rome qui vire quasiment au burlesque a la fin. En tant que film d'action, ce que la serie des Mission:Impossible ets devenue, ce dernier opus est nettement meilleur que le dernier Indiana Jones. C'est un excellent divertissement et je ne me suis pas ennuye une seule minute.

828. Mr Degryse - 11/08/23 14:35 - (en réponse à : torpedo)

Oui le pire est que l'erreur est double. la honte

827. torpedo31200 - 11/08/23 14:26 - (en réponse à : post # 826)

Peut-être Hanks au lieu de Hawks.

826. Mr Degryse - 11/08/23 14:16

Otto Anderson, vieux bougon, n'a plus aucune raison de vivre depuis la mort de sa femme. Alors qu'il s'apprête à en finir, il est dérangé dans ses plans par une famille, jeune et pleine d'énergie, qui s'installe dans la maison voisine. Sans l'avis du scénariste de bds Luc Brunschwig qui en vantait les qualités insoupçonnées, jamais je n'aurais posé une regard sur ce long métrage. L'affiche et le titre français sont particulièrement rédhibitoires. Je ne connaissais pas non plus l'existence du roman ni du film suédois dont ce film semble être un remake-nouvelle adaptation. J'aurais eu tort car le visionnage a été on ne peut agréable. Certes, le film est sur des rails connus. Rien de bien original! Une sorte de Pour le pire et le meilleur avec Hawks à la place de Nicholson. Ou plutôt une variation du début de Là-haut avec un Carl Fredricksen-Ed Asner en chair et en os. L'aspect suicidaire en plus ! Le film aligne les poncifs : Otto le bougon détestable en fait sympathique, les voisins multi ethniques s'entraidant dans l'adversité. Bien entendu comme tous films actuels, on aura aussi des malades handicapés et un couplet pro intégration LGBT. Pourtant le long métrage fonctionne. Du moins sur moi. Il y a un savoir faire indéniable dans l'enchainement et la découverte des péripéties. La qualité d'écriture est là surtout dans les dialogues. Le réalisateur prend le temps de donner vie à chacun des protagonistes. Il y a un saut de foi à faire pour accepter l'acteur jouant Otto dans les flashbacks. Là aussi il réussit néanmoins son coup. La qualité du film doit beaucoup à son casting. Plus que Hawks qui se contente de faire le bougon à la mâchoire serrée et la tristesse en dedans, c'est le reste des acteurs-actrices qui sont parfaitement castés. On s'attache à tout ce petit monde et c'est avec tristesse que je les ai quittés. J'ai pensé aux livres de John Irving. Loin d 'être un chef d'oeuvre mais idéal pour une soirée pas prise de tête.

825. Mr Degryse - 11/08/23 14:14

Finch (Miguel Sapochnik, 2021) Rare survivant d'un phénomène solaire cataclysmique qui a transformé le monde en désert, Finch vit dans un bunker qu'il partage avec son chien depuis des années, Goodyear. Il a créé un robot pour veiller sur Goodyear lorsqu'il n'en sera plus capable. Le film est sorti dans un anonymat certain malgré sa star à l'affiche (Tom Hawks)et une coproduction Amblin qui normalement attire les nostalgiques d'un type de cinéma. C'était mauvais signe ! Après vision, je peux dire que c'est injuste. Certes, on n'est pas face à grand film essentiellement car il est peu original mais il offre un divertissement des plus appréciable. Mixte de Wall -E, de seul au monde et de Mad Max pour le background désertique, le long métrage ne propose rien de neuf mais le fait bien. On croit à ce monde apocalyptique. Le rendu visuel ne cherche pas l’esbroufe pour la représentation de cette fin du monde humaine mais quand il le représente il le fait intelligement. Il se sert surtout des paysages naturels désertiques des USA pour représenter ce monde. Le budget est passé dans l'animation de l'androïde Jeff. C'est la réussite du film. C'est assez bluffant dans le rendu. J'ai vu depuis qu'il était réalisé en motion capture depuis la performance de Caleb Landry Jones. Rôle ingrat pour un acteur car rien ne le laisse deviner dans l'aspect du personnage. Je n'ai aucune idée de l'importance de la performance d'un acteur dans le procédé de motion capture mais Jeff est le point fort du film. L'émotion, la drôlerie liée à son évolution passent par lui. Le film sonne réaliste aussi dans ses propos écologistes et dans les causes de cette fin du monde. Le défaut du long métrage vient qu'il est le cul entre deux chaises : il ne sait quel public viser. Trop adulte pour un film enfant (monde apocalyptique, mort d'enfant, décès etc) mais l'inverse est vrai aussi ( le robot est très enfantin , souvent le dur est montré hors champs, etc). Franchement un road trip plaisant !

824. Mr Degryse - 11/08/23 14:03

Pour les amateurs de bds et d'anime, M.I Dead Reckoning part 1 fait énormément penser à lupin III.

823. torpedo31200 - 11/08/23 13:11 - (en réponse à : pm - post # 822)

Moins fan que toi. J' ai même souffert (d' ennui) sur la première partie du film, je le trouve très surestimé et peu original Sur mes derniers longs vus en salles, j' ai nettement préféré De nos jours d' Hong Sang-soo (très au-dessus des derniers que j' avais vu de lui) Et Yamabuki, 3ème film mais le 1er distribué en France d' un réalisateur japonais et agriculteur (sélection ACID à Cannes). Plus ambitieux et plus miraculeux, mais moins faciles. Et pour Froggy, le MI Dead Reckoning part 1 est excellent. Et McQuarrie sait mieux utiliser les trains que Mangold...

822. pm - 11/08/23 11:41

Limbo du hong kongais Soi Cheang, superbe polar noir dans les bas fonds ( d’où le titre) de Hong Kong ( les décharges à ciel ouvert). Aucun élément naturel dans ce film à la magnifique photo noir et blanc, les limbes de la ville sous une pluie démente sont scrutées dans sa version coup de poings dans le ventre à répétition pendant deux heures. Hyper bien filmé, très bien construit, à voir et à revoir.

821. torpedo31200 - 08/08/23 16:57 - (en réponse à : Friedkin - post # 820)

19 long métrages et un vingtième pas encore distribué The Caine Mutiny Court-Martial. Et c' est plutôt French Connection qui serait impossible à refaire de nos jours. Car la course poursuite était déjà alors réalisée de façon illégale (sans autorisation, 1 seule prise)

820. froggy - 08/08/23 01:16

Ca tombe comme des mouches cet ete et le cinema vient de perdre un metteur en scene qui n'aura pas fait beaucoup de films mais il y a en au moins 2 qui ont beaucoup impressionne les foules en leur temps, surout un d'ailleurs, William Friedkin est decede aujourd'hui. Jean-Baptiste Thoret doit etre triste ce soir. Sa carriere est en demi-teinte car apres les enormes succes de French Connection en 1971 et L'exorciste en 1973, les studios etaient a ses pieds et il pouvait faire tout ce qu'il voulait avec tout l'argent qu'il voulait. Ce qu'il fit avec le remake du Salaire de la peur d'Henri-Georges Clouzot, le film francais d'aventure de 1953 que les americains nous envient. Finance par Universal et Paramount du fait d'un budget pharaonique pour l'epoque et en un temps ou les studios ne s'associaient pas dans la production des films, le film appele en France, Le convoi de la peur eut le malheur de sortir une semaine avant La guerre des etoiles de George Lucas aux USA. Le Friedkin disparut aussi rapidement des ecrans qu'il y etait arrive et en meme temps toutes ses esperances de faire une prestigieuse carriere cinematographique, car le film fut une veritable catastrophe financiere. J'ai eu enfin l'occasion de voir le film a sa ressortie au debit des annees 10 apres sa restauration car il etait rentre dans la categorie des films maudits, et je dois dire que j'ai ete tres decu, pas enthousiaste du tout compare au chef d'oeuvre de Clouzot. Il y a une excellente sequence, la traversee du pont sous la pluie, c'est d'ailleurs l'affiche americaine du film, mais pour le reste c'est bien faible. Par la suite, il realisa un polar urbain, Cruising avec Al Pacino qui se voit aujourd'hui quasiment comme un documentaire car l'action se passe dans les milieux homosexuels cuirs et sado-masochistes du Village a New York avant que le sida ne vienne decimer cette commnaute, le film date de 1980. Ce que je considere comme son dernier bon sursaut au cinema est l'excellent film policier, Police Federale; Los Angeles en 1985. Le dernier film que j'ai vu de lui est Jade en 1995 avec un acteur sans saveur, David Caruso, ce qui n'est pas du tout le cas de sa partenaire, Linda Fiorentino, dont il vous faudra un jour que je vous parle de sa prestation dans The last seduction, un film policier de serie B absolument sublime mais la n'est pas le sujet. Friedkin a eu de la chance de pouvoir realiser ces deux films majeurs dans les sannees 70. Si le premier est encore faisable aujourd'hui, il n'en est plus du tout de meme du deuxieme surtout qu'il est interprete par une jeune adolescente qui n'avait que 13 ans quand elle tourna le film ou elle prononce des dialogues tels que "Ta mere, elle suce des bites en enfer!" et autres fariboles du meme acabit. Je me souviens qu'a sa sortie, le film etait vraiment nimbe d'une aura demoniaque. Ma soeur ainee agee de 15 ans etait allee le voir avec sa meilleure amie, elles s'etaient debrouillees pour rentrer dans une salle car evidemment le film etait strictement interdit aux moins de 18 ans. Moralite, ma soeur eut un sommeil un peu agite ce soir-la sans qu'elle nous dise pourquoi car evidemment elle n'avait rien dit a personne dans la famille, mes parents auraient un peu fait la gueule si ils avaient su ca. Et ce fut tout. Quant a sa meilleure amie, elle chassa sa mere du lit conjugal pendant 3 semaines pour dormir aupres de son pere, elle etait en proie a des cauchemars nocturnes quasi-quotidien. LOL Ici, aux USA, on distribuait avant la projection des petites bouteilles d'alcool de menthe pour reconforter les ames sensibles, il y eut aussi des spectateurs qui s'evanouissaient durant les seances, bref, toute une legende et plein de rumeurs venant des USA jusqu'en France bien avant internet qui ne firent qu'ajouter a l'aura du film. Je ne le vis beaucoup plus tard que lorsque j'avais 19 ou 20 ans lors d'une reprise estivale et j'avais enormement aime. Le film est formidablement bien fait et terriblement efficace. Je ne que vous le recomamnder mais meme encore aujourdhui, je ne le montrerai pas a des enfants et des adolescents tres sensibles, il y a des scenes et sequences tres impressionnantes. Quant a French Connection, c'est un excellent film policier tourne comme un documentaire quasiment avec un superbe morceau de bravoure, la poursuite metro-voiture dans les rues de Brooklyn. Je connaissais deja le film pour l'avoir vu a la tele puis j'ai eu l'occasion de le voir en salles en double programme avec Cruising et il faut se rendre a l'evidence, cela rend nettement mieux dans l'obscurite d'une salle que dans son salon. Cela va plus vite et c'est plus intense. Quant a Cruising, les scenes de meurtres vous ecrasent sur votre fauteuil tellememt elles sont fortes. Cote vie privee et bien que d'habitude je m'en moque pas mal, il fut marie un temps a Jeanne Moreau, mais il ne la fit jamais tourne dans ses films. Je vous mets la bande annonce de Cruising parce que je crois que j'ai deja mis celle des deux autres.

819. Lien Rag - 04/08/23 17:53

Et sur les incohérences dans les films, je suis d'accord avec ce que disait Brett Devereaux dans son article sur Rings of Power : y'a pas besoin que ce soit réaliste, mais il faut que l'oeuvre respecte les règles qu'elle établit elle-même, sinon il ne reste plus d'enjeu.

818. Lien Rag - 04/08/23 17:44

Sur la grève des scénaristes (et acteurs si j'ai bien compris), y'a cet article qui est pas trop mal... J'avais pas pensé à l'explication qu'elle donne de la prégnance des suites et franchises par rapport aux créations originales en voie de disparition : “The reason it’s so hard to make anything original today is that originals force studio executives to cede their power to creatives. Sequels & franchises put the executives in charge.” Sur la partie "feeding in 100 years of films and TV series into GAI models, in order to deliver spoonfuls of Frankenstein-like characters, tones, and stories" il me semble que le vrai risque est celui dépeint dans la vidéo de MrBobine sur Aquaman, mais c'est vrai qu'elle a été faite avant l'arrivée de l'IA (enfin, des LLM pour être précis¹, ce n'est pas réellement de l'IA). ¹ Ou, comme disent Timnit Gebru et Stefano Quinterelli, du SALAMI.

817. pm - 04/08/23 00:20

Bon, j’ai vu Openheimer et je n’ai un peu aimé que la dernière partie, avec les auditions, où les personnages prennent enfin un tout petit peu de consistance. Comment massacrer un sujet en or en voulant trop en faire, perdre toute incarnation des personnages au profit d’un rythme hyper accéléré, pour rien, et d’une musique incessante et horrible.

816. froggy - 02/08/23 18:37

812. Lien Rag- 02/08/23 02:24 - (en réponse à : Froggy) Peut-être que y'avait un frigo dans le sous-marin ? Tu as entierement raison, j'avais oublie cela du debut du 4eme. C'est enorme, mais au moins il y a une explication a comment il s'en sort. C'est exactement comme la fin du Buck Danny, Menace au nord ou Charlier fait survivre les 3 heros d'une explosion nucleaire due a un test. Et pour en revenir aux Aventurierss de l'arche perdue, n'en deplaise au condescendant qui a du mal a remonter, il y a la fameuse scene de la poursuite du camion ou Spielberg rend hommage a La chevauchee fantastique de John Ford. On y voit Jones traine par le camion avec son fouet, et il arrive a y remonter tout de meme, ce qui est imposssible considerant les circonstances. Et pourquoi on arrive a y croire malgre cela, par la grace d'un habile montage des plans bien filmes par le metteur en scene. Revoyez la scene et vous pourrez le constater par vous meme. Pour en finir, et j'agree avec Jerome sur le 5eme et j'avais oublie de l'ecrire quand je vous ai fait part du film, Mangold n'est pas Spielberg, ce dernier a un truc, une maniere de filmer, de choisir ses cadres et objectifs qui font que sa patte est immediatement reconnaissable et c'est cela qui manque dans le film compare aux precedents. Il y a de bonnes choses et Mangold s'en sort bien mais ce n'est plus cela. De lui, je n'ai vu que Identity qui m'avait bien plu et Night and day avec de bonnes scenes d'action aussi. Qu'avez-vous pense de la fin? Celle qu'on voit est vraiment consensuelle. Celle qui aurait pu etre etait plus risquee pour les spectateurs et aurait pu donne une bonne idee de paradoxe spatio-temporel bien qu'on sait depuis le 3eme qu'Indiana Jones est immortel.

815. helmut perchu - 02/08/23 12:14

Indiana Jones 5 > Sympa mais sans plus. Trop de fan service qui sert pas à grand chose, il manque le côté un peu gore dégeu et surtout ou est passé l'humour des premiers ?

814. Mr Degryse - 02/08/23 12:12

Women in Love (Ken Russel, 1969) Dans la région industrielle britannique des Midlands durant les années 1920. Gerald Crich et Rupert Berkin sont les meilleurs amis du monde et tombent amoureux de deux sœurs : Gudrun, une sculptrice, et Ursula Brangwen, une institutrice. Rupert épouse Ursula, Gerald entame une liaison avec Gudrun et ensemble, ils passent leur lune de miel en Suisse. Leurs relations prennent des directions de plus en plus différentes. J'avais adoré les diables du même Ken Russel et avec aussi l'excellent Oliver Reed. J'ai été bien déçu par ce film pourtant son plus connu. Certes, j'y reconnais une belle maitrise formelle ( surtout la très belle photo) et quelques expérimentations visuelles. De même Oliver Reed est toujours aussi bon. Il réussit à dégager des blessures secrètes, une fragilité derrière son aspect de brute. Le film a beau se passer dans les années 20 , il raisonne parfaitement avec l'esprit de libération sexuelle des sixties. Il parle d'émancipation féminine avec le portrait des 2 femmes libertaires. Il y a de belles scènes comme celles de la noyade ou la scène en parallèle entre le couple faisant l'amour et la découverte des noyés dans la même posture. Le passage de lutte entre les 2 hommes nus est aussi très réussi. Il y a un coté homo érotique flagrant. La description sociale des années 20 est aussi intéressante. Mais........... Je me suis profondément emmerdé la plupart du temps. Je comprends peu l'oscar donné à Glenda Jackson que je ne trouve pas particulièrement brillante ( la moins bonne du casting). Je dois faire une allergie à D.H Lawrence. La lecture de l'amant de Lady Chatterlay avait été aussi bien pénible. Les histoires de fesse petit bourgeoise en mode lutte des classes me passent au dessus. Les considérations pseudo philosophiques sur la vie, l'amour déclamées longuement avec emphase me sortent constamment du long métrage. Je n’éprouve aucune émotion, aucune attache, aucun trouble ni excitation pour des personnages qui en fait m'exaspèrent. Le prisme de l' amitié- amour homosexuel refoulé est le plus intéressant. Le final de Reed devrait me bouleverser et cela ne fait rien. Une déception.

813. Mr Degryse - 02/08/23 12:10

Indiana Jones 5 ( James Mangold) Distrayant mais très moyen. Je ne vois pas comment on peut démolir le 4 et défendre celui là. Il y a les mêmes défauts ( souvent moche) en pire. C'est souvent ultra laid. On se croit dans un animé style Tintin mais en sombre. Il faut aussi avoir de la merde dans les yeux pour y trouver les meilleures scènes d'action ou l'inventivité des films précédents. On est loin du niveau de la scène des trains de mines du 2, de la scène cheval tank du 3 ou même si il y avait des trucs nuls ( tarzan scene) de la poursuite en voiture dans la jungle du 4 ou celle en moto. Pareil pour les ouvertures. Il y a une maestria, une gestion du rythme dans celle du 1, du 2 ou même du 4 qu'on ne retrouve pas ici. Le 4 était très pulp dans l'imagerie. Souvent plus proche d'un Bob Morrane mais il y avait de l'inventivité. La c'est scolaire en plus d' être assez dégueulasse avec cette teinte numérique. Et niveau émotion et alchimie entre les persos: on est loin du 3. Mangold n'est pas un bon réalisateur d'action. J'aime bien Logan mais c'est clairement quand il vire dans l'actionner qu'il devient moyen. Son wolverine n'est pas bon. Bref pas déshonorant mais c'était mieux avant.

812. Lien Rag - 02/08/23 02:24 - (en réponse à : Froggy)

Peut-être que y'avait un frigo dans le sous-marin ?

811. torpedo31200 - 01/08/23 20:28 - (en réponse à : froggy - post # 810)

Je doute que les gans aillent voir les Indiana Jones pour la qualité des scripts. Et pour un plan de 3 secondes dans le Mangold, tu nous ressort l' Arche Perdue, un James Bond et Hitchcock ?! Redescends.

810. froggy - 01/08/23 19:48 - (en réponse à : Torpedo)

Moi, ce qui me fait rire, c'est toi. Tu es tellement condescendant qu'il te faudra bien un jour que tu remontes cette pente. Je ne vais pas revenir sur la credibilite de ces films car tous ceux ou le heros affronte dangers mortels sur dangers mortels et s'en sortent sans une egratignure, ou presque, sont evidemment des fictions amusantes et si possibles divertissantes. Ce que je demande c'est un minimum de coherence, c'est a dire rendre l'invraisemblable vraisemblable. L'ellipse que j'ai mentionne au sujet de Indiana Jones et du sous marin dans le premier film de la serie n'est que de la paresse, le scenariste/metteur en scene/producteur ont bloque sur cette sequence et n'ont pas de trouve de solutions satisfaisantes, ils ont donc eu recours a l'ellipse. Je pense qu'ils auraient du resoudre le probleme d'une maniere ou d'une autre. Je vais en revenir a Hitchcock qui lui aussi a ete confronte a ces problemes de logique dans ss histoires. Il avait trouve le truc de ce que j'appelle, les faire passer en force aux spectateurs. Ainsi, au debut de La mort aux trousses quand Cary Grant se fait enlever au Plaza de New York. On le voit arriver dans le hall, le traverser, prendre un ou deux couloirs afin d'accer au Oak Bar. Puis lorsqu'il se fait intercepter par les deux hommes de main dont l'un lui met un pistolet dans le dos, on voit juste cela et le plan d'apres ils sont pres de la porte de sortie, comment cela est-il possible? Personne n'a rien remarque, pourquoi Cary Grant n'appelle pas au secours alors qu'il y a plein de monde, les clients et les employes? Tout simplement parce que si c'etait le cas, il n'y a plus d'histoire ensuite. Hitchcock a filme ses plans et monte la scene de telle maniere que le spectateur l'accepte sans restriction bien qu'elle ne resiste pas a une legere analyse. C'est pareil dans son dernier film, Complot de famille avec la scene de l'enelevement de l'eveque en pleine messe a la cathedrale et devant tout l'assistance. La scene est tres rapide mais Hitchcock par un art consomme du montage et de l'efficacite de ses plans fait passer cela comme une lettre a la poste. Tu peux donc bien rire si cela te fait plaisir, moi je vois en cela des gens qui ne font pas bien leur travail parce que je suis comme tout le monde je ne demande qu'a y croire.

809. pm - 01/08/23 11:39

Ah oui, zut.

808. longshot - 01/08/23 11:37 - (en réponse à : pm)

Mauvais sujet, non ?

807. pm - 01/08/23 07:17

Ce serait bien que l’édition spéciale soit en n&b, mais ce qui est sûr c’est qu’elle sera en strips, comme certains Blake et Mortimer. Parution 1/12.

806. torpedo31200 - 01/08/23 01:43 - (en réponse à : froggy - post # 805)

Vu aussi et plutôt très bien, même si j' en espérais plus de risques de la part de Mangold (mais bon, avec 4 scénaristes qui essaient de plagier les premiers films...). Ca m' amuse que certains spectateurs s' accrochent sur la crédibilité de certaines scènes, vu que ce sont des films très grands public pour jeunes et vieux enfants. Moi c' est la structure et le rythme que je trouve mal dosés mais c' est inhérent à tous les Indiana Jones. Mais en vieillissant, l' influence de Tintin me semble de + en + prégnante. Depuis janvier, je suis à 57 films en salles.

805. froggy - 31/07/23 23:54

Je suis alle voir Indiana Jones et le cadran de la destinee, mon premier film em salles depuis Les Fabelman vu en janvier dernier. C'est bien et ce n'est pas bien. C'est bien car il y a son quota de scenes d'action, de mysteres esoteriques et de mauvais bien mauvais. Ce n'est pas bien car il y a des images de syntheses ratees, celles de Jones courant su rle toit du train a pleine vitesse est digne de celles de James Bond surfant sur de la neige sur un monoski de fortune dans Meurs un autre jour, ce qui considerant le budget de chacun de ces deux films est un exploit,; il y a des ellipses enormes dans certaines sequences dignes de celle fameuse du premier Jones, Les aventuriers de l'Arche Perdue ou comment Jones parvient a survivre alors que le sous-marin nazi abritant la precieuse relique est en plongee. au debut du dernier tiers du film, et puis la fin ou les decideurs du film ont eu manifestement peur d'aller jusqu'au bout d'une idee que j'ai trouvee tres belle preferant une differente d'une toute autre nature.

804. torpedo31200 - 30/07/23 01:20 - (en réponse à : Anecdotique)

Quand je suis allé voir Il Boemo, le joli film de Petr Vaclav (qui par le personnage principal, pourrait évoquer Barry Lindon, comme le fait justement remarquer Pierre Eisenreich dans le Positif 748), à la fin du générique de ce long métrage tchèque-italien-slovaque apparaît une agence de transport qui s' intitule Indiana Jones Travel qqchose. Assez surpris car je pensais que la marque appartenait à Disney, avec un droit de regard de LucasFilm. Vu que je suis manifestement entouré ici de gens très aisés et qui voyagent beaucoup, je serais curieux de savoir si l' un de vous a croisé cette compagnie... Mais peut-être bossent-ils seulement avec des pros.

803. torpedo31200 - 30/07/23 00:59 - (en réponse à : froggy - post # 802)

Par légers, j' entends une forme de distance avec les sujets des long-métrages. Car après tout, ce ne sont que la vie d' un quidam et la découverte d' une forme de vie ou d' intelligence supérieure, donc inutile à appréhender rationnellement. Sur Barry Lindon, revu il y a environ 2 ans, ça me semble évident avec le découpage en deux parties. Et sur 2001 A space odyssey, que j' ai vu au moins 5 fois dont 2 en salles (ça peut influer sur mon jugement), le film me semble nettement plus léger que le roman sur les 4 parties du film = Dans la 1ère partie, découverte de l' outil et naissance de l' humanité, c' est plus laborieux dans le roman (des noeuds avec des brins d' herbe en plusieurs tentatives). Kubrick choisit volontairement l' arme. Dans la 2nde, le voyage vers la lune c' est plus évident avec la tarification des communications, les panneaux publicitaires, le choix des musiques. Dans la 3ème partie, entre le jogging et certaines répliques finales d' Hal 9000, je finis par trouver certains moments assez drôles, au fil des visions. (Pas à ma première vision, adolescent) Et dans la 4ème partie, il laisse la main en grande partie à Douglas Trumbull et n' explique rien, dans une forme d' humilité géniale.

802. froggy - 29/07/23 23:47 - (en réponse à : Torpedo)

Tu es bien la premiere personne que je connaisse qui qualifier un film de Kubrick "leger". A ma connaissance, il n'a jamais fait une comedie a la Lubitsch ou une comedie musicale facon Minnelli ou Donen. Cela ne veut pas dire que les films de Kubrick sont lourds, pris en tant qu'antonymes de leger, ils ne le sont pas mais de qualifier un film de Kubrick leger, cela merite que tu elabores ce point un peu plus non? Par contre, sur le plan de la comedie, c'est lorsque j'ai revu pour la deucieme fois Orange mecanique que cela m'a frappe et m'a paru comme une evidence, c'est une comedie jouee comme telle par Malcolm McDowell. Il y a des moments tres droles mais ce n'est pas un humour tarte a la creme bien sur et sans vouloir me vanter, je ne pense pas que tout le monde puisse saisir cet humour car le film est malgre tout tres perturbant. C'est sardonique, mechant, sarcastique, moqueur, terriblement ironique. Il va un pied plus loin dans cet humour qu'il ne l'a fait avec Docteur Folamour qui est ouvertement une comedie.

801. torpedo31200 - 29/07/23 16:15 - (en réponse à : egoes - post # 799)

Perso, plus je revois ces deux films, plus je les trouve légers, fluides et complets. Et drôles (la première partie de Barry Lindon) et le 2nd quart de 2001 (le voyage vers la Lune). Pour ceux qui n' auraient pas vu ce dernier en salles, il existe un gag visuel (une fausse pub en fonds d' image) qui est probablement invisible sur petit écran.

800. torpedo31200 - 29/07/23 16:03 - (en réponse à : egoes - post # 799 about Kubrick)

Quand j' animais des classements de films préférés sur un forum cinéma disparu, vers 2006, c' étaient les 2 films qui arrivaient nettement en premières positions, sur 65 participants ou + de mémoire. Loin devant les autres, mais il existait une grande différence entre les deux, Barry Lindon était quasi systématiquement cité dans les 3 meilleurs de chaque liste, mais pas 2001 qui était beaucoup plus clivant. Malgré cela, c' était 2001 qui avait fini en 1ère place du classement général, car les titres cités en 1er bénéficiaient de + de points que les autres. C' était aussi le réalisateur qui avait suscité le + de participations.

799. egoes - 29/07/23 09:38 - (en réponse à : Degryse 779)

Etonnant de décider de voir un film tel qu'En Corps quand on n'aime pas énormément la danse ;-). Le souci n'est pas que c'est mal écrit... c'est juste pas écrit. Et, enfin, c'est comique comme les gens réagissent très différemment à Barry Lyndon (ou 2001) : pour ma part, ce sont sans doute deux des films qui "suscitent" le plus d'émotions chez moi, peut-être justement à cause de. / grâce à leur côté statique. Ce ne sont certainement pas "mes" meilleurs films (ou films préférés, pour reprendre l'expression consacrée par froggy), mais "les" meilleurs parmi ceux que j'ai vus.

798. froggy - 28/07/23 23:16

Je n'ai jamais parle d'un aspect documentaire, j'ai seulement pense au contexte du film dans lequel des anciens resistants au nazisme se rememorent leurs fait d'armes. Qu'etaient-ils devenus 15 ans apres, au milieu des 30 Glorieuses? Il est evident qu'en 1959, c'etait un sujet d'actualite meme si ce n'est pas le sujet du film. C'est comme vouloir voir les annees Pompidou sous le prisme des films de Claude Chabrol et Claude Sautet comme beaucoup tentent de le faire. Ces films ne donnent qu'une idee de la vie des bourgeois et cadres superieurs. Il ne faut pas les prendre pour argent comptant. Cela reste des fictions avant tout.

797. pm - 28/07/23 20:32 - (en réponse à : Froggy)

C’est normal que tu aimes Agatha Christie, Ric Hochet est sur le même schéma.

796. pm - 28/07/23 20:31 - (en réponse à : Froggy)

Je n’ai pas dit que je voulais voir ce film sous un aspect documentaire, j’ai réagi lorsque que tu as parlé de cet aspect documentaire, pour te contredire. Je n’aime pas non plus chercher le coupable mais là le film l’impose.

795. froggy - 28/07/23 19:58

Je deteste deviner avant la fin qui est le coupable, je me prends au jeu tout simplement et j'aime etre surpris et apprecier l'ingeniosite du scenariste ou de l'ecrivain. Je me souviens que Pulsions de Brian de Palma m'avait decu a cause de ca. Et puis, j'adore les romans d'Agatha Christie que j'ai devores quand j'etais adolescent.

794. froggy - 28/07/23 19:54 - (en réponse à : Philippe)

Si tu veux voir Marie-Octobre sous un aspect documentaire, libre a toi, mais tu ne peux qu'etre forcement decu puisque ce n'est pas du tout le sujet du film. Et puis, je viens de voir sur la fiche du film dans Wikipedia que c'est l'adaptation d'un roman ecrit en 1948.

793. pm - 28/07/23 19:52

La résistance n’était pas spécialement prolétarienne, il y avait pas mal de grands bourgeois qui en faisaient partie. Surtout que ça n’a pas vraiment l’air d’être un réseau ftp. Je rapprocherais davantage ce film d’une histoire d’Agatha Christie, que je n’aime pas beaucoup ( les polars simplement à énigme m’ennuient). Pour le suspens, je ne sais pas si c’est moi mais l’issue était tellement évidente que j’ai cru que c’était une subtilité pour égarer le spectateur ( en gros, le coupable est archi soupçonné depuis le début ou presque). Du coup ça a fait vraiment plouf pour moi. Ou alors c’était mega subtil, du genre c’est évident que c’est lui donc vous allez penser que ce n'est pas lui, mais comme c’est lui je vous ai bien eu. Mais je comprends qu’un grand amateur de Ric Hochet apprécie.

792. pm - 28/07/23 19:39 - (en réponse à : Froggy)

Ah non, au niveau de l’historiographie c’est très faible. Je suis passionné par l’histoire de la résistance et plus particulièrement par Jean Moulin, et c’est vraiment sans intérêt à ce niveau.

791. froggy - 28/07/23 19:36

Marie-Octobre est un whodunit tout simplement, ce n'est que cela. En 1959, il permet d'evoquer la Resistance et la personne de Jean Moulin a qui le personnage de Castille, celui qui a ete trahi et macguffin de l'intrigue, fait reference. J'aime aussi l'aspect, que sont devenus les resistants d'hier 14 ans apres la fin de la guerre? Les heros sont fatigues et surtout se sont pas mal embourgeoises. La demeure ou se situe le film est tres cossue. Le scenario fait intervenir tour a tour chacun de ces personnages quand ils sont suspectes a un moment ou a un autre, ce qui permet a chacun des acteurs de jouer sans etre reduit a de la figuration intelligente ou une participation de facade. Et puis, ainsi que Jerome le souligne, les dialogues sont excellents, il faut dire qu'ils ont ete ecrits par Henri Jeanson, un des meilleurs dialoguistes du cinema francais, qui pouvait avoir la dent tres dure. C'est un film que je revois avec toujours autant de plaisir bien que je connais la fin et qui est le traitre. La premiere fois que je l'ai vu, je devais avoir 15 ans, j'etais completement pris par le suspense.

790. Mr Degryse - 28/07/23 19:05

les dialogues aussi

789. pm - 28/07/23 18:02

La casting est bon mais c’est vraiment tout.

788. froggy - 28/07/23 17:16

Ah mais pas du tout! Je suis trop fatigue pour que je m'enerve, et puis m'enerver me fatigue. Il n'est donc pas besoin d'en rajouter, non? Et puis, je suis d'accord avec Jerome sur Marie-Octobre, la version 1959 j'entends. C'est vraiment tres bien. Il faut dire qu'il y a la creme de la creme des acteurs francais des annees 50, que des acteurs que j'aime qui m'ont aussi fait aimer le cinema. Le film avait ete un gros succes a sa sortie. C'est d'abord un scenario original qui a ensuite ete adapte pour le theatre, ce qui a du etre relativement facile car le decor est unique, le grand salon de reception. J'en avais vu celle faite pour Au theatre ce soir en 1973, c'etait une actrice que j'aime beaucoup, Judith Magre, qui reprenait le role titre. Je ne me souviens plus de celle masculine par contre.

 

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