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La mission infernale de Baloo
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3 critiques
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Par :
Krus
(15 mai 2003)
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Une histoire simple, certes, mais bien ficelée. Enormément d'humour dans cet album avec en prime, un "bêtisier" absolument succulent.
"La Mission Infernale", une histoire drôle sans prise de tête, à lire pour passer un excellent moment de détente.
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Par :
ceupoune
(20 avr. 2003)
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Une meute d'éléphants militaires partent à l'assault. Quoi de plus banal ? Leur mission : exterminer X-Xl, traître parmis les siens. C'est tout ? malgré un humour fort agréable et une fin digne des plus grands cinéastes (d'humour, bien entendu). Malgré tous ces bons poins (très bons même), cet album reste particulièrement vide et peu complet. La taille précédente du bouquin correspondait mieux, là on se retrouve parfois avec une page entière sur un gros plan (page 12 par exemple), ou même 2 cases... 3... bref : "oh c'était mieux avant", comme chantait Cabrel derrière sa petite moustache. mais achetez-le quand même hein ! y'a un bétîsier à la fin... original pour une bd, je ne vous le fais pas dire...
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Par :
Thierry Bellefroid
(16 avr. 2003)
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« La mission infernale », par Baloo, chez Petit à Petit.
Petit à petit... l'oiseau fait son nid. C'est le cas de le dire, pour l'éditeur du même nom qui passe aux albums de plus grand format avec deux nouveautés, « La mission infernale » et « Léo Cassebonbons ». Mieux imprimé que le second qui paraît avoir été relié avec du papier buvard -le lettrage « bave » systématiquement-, le premier n'est pas l'album d'un inconnu. Seul aux commandes, Baloo, le scénariste de John Doe, triptyque paru chez Delcourt dans la collection « Sang-Froid ». Aux histoires de mafia mi-humoristiques, Baloo préfère ici le récit de guerre burlesque en version animalière. Une sorte de remake de « Apocalypse Now » décalé joué par des éléphants en uniforme. L'auteur pousse la parodie aussi loin qu'il le peut, grossissant le trait autant que le lui permet son univers pachydermique. Le résultat est forcément tiré par les cheveux, mais rappelle la fraîcheur, l'originalité -l'intérêt, même- d'un univers comme celui de « La Vache » (ou « Lait entier » pour les épisodes plus récents parus au Lombard) de De Moor et Desberg. Baloo est moins inventif et audacieux que De Moor, mais il parvient à amuser le lecteur d'un bout à l'autre de sa parodie tout en multipliant des clins d'il habiles au cinéma. Bon, personnellement, j'aurais préféré qu'il se passe du « bêtisier » qui n'apporte rien et souligne un peu trop lourdement le rapport au cinéma, mais sans être parfait, son album réserve un bon moment au lecteur.
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