
Déception avec cette histoire dont le point de départ m’avait attiré par son originalité : au vingtième siècle, la sorcellerie est déconseillée, mais certains en abusent, au point de succomber à une forme d’addiction et de participer à des réunions de repentance, style alcooliques anonymes. Et quand on va jusqu’à convoquer le diable pour un pacte d’éternelle jeunesse, il est bien difficile pour les ménagères vieillissantes de rompre le contrat.
En dehors de ce Faust aux allures de Desperate houswife, l’intrigue est aussi plate que le dessin. Un filon mal exploité.
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